Cet article a pour sujet L'HISTOIRE en général et sa particularité est d'être illustré uniquement par des PUBLICITES.
... OU LE DEBUT DE NOTRE HISTOIRE.
Les sicambres sont un peuple originaire de Germanie... "Les fiers Sicambres !".
Les Vénètes sont l'un des peuples de Gaule celtique. Leur territoire occupait approximativement le royaume du Bro Waroch créé plus tard, au Ve siècle par les Bretons, correspondant au futur pays de Vannes et à l'actuel département du Morbihan. Le peuple des Vénètes, dont la capitale se situa probablement à Locmariaquer jusqu'au Ier siècle av. J.-C., et par la suite à Vannes, est notamment connu parce que cité par Jules César dans ses Commentaires sur la Guerre des Gaules en tant que peuple rebelle à l'empire romain. Au cours du Ier siècle av. J.-C., les Romains donnèrent comme nouvelle capitale aux Vénètes la cité de Darioritum, l'actuelle Vannes.
Même si l'homonymie avec le peuple des Vénètes d'Italie (en Vénétie) n'est à ce jour pas expliquée, certains historiens posent comme hypothèse l'existence d'un lien entre les deux peuples vénètes, ainsi qu'avec un peuple germanique ou slave, les Wendes.
Un certain nombre de publicités utilisent le personnage de Vercingétorix ou des Gaulois...
(vers 440) existence très controversée et personnage plutôt légendaire.
(vers 390 - vers 450)
Mérovée est le fils de Chilpéric 1er
Brunehaut est la fille d’Athanagilde Ier, roi des Wisigoths, et de Goswinthe. Étant princesse wisigothe, elle a été élevée dans la religion arienne.
Sa longévité lui a permis de jouer un rôle durant les règnes de son époux, de son fils et de ses petits-fils ; c'est sous le règne de son arrière-petit-fils qu'elle est livrée à un roi ennemi et mise à mort.
Au printemps 566, ayant abjuré l'arianisme, elle épouse à Metz Sigebert Ier, roi de Metz.
De ce mariage, naissent :
- Ingonde, qui épousera le prince wisigoth Herménégild, fils aîné du roi arien Léovigild ;
- Clodoswinthe, qui aurait épousé le roi des Wisigoths d'Espagne Récarède Ier (frère cadet d'Herménégild) ; elle serait la mère du roi wisigoth Swinthila4 ;
- Childebert en 570.
Un peu après son mariage, sa sœur aînée Galswinthe épouse Chilpéric, dont une concubine, Frédégonde, aspire fortement à devenir reine.
Le meurtre de Galswinthe vers 570, suivi par le remariage de Chilpéric avec Frédégonde, déclenche une longue guerre entre l’Austrasie et la Neustrie, au nom de la faide germanique. Avec l'appui de Gontran, Brunehaut obtient à titre de compensation (wergeld) la cession à elle-même du douaire de Galswinthe, consistant en plusieurs cités d'Aquitaine.
Mais Chilpéric ne tient pas son engagement et se lance au contraire dans une guerre contre Sigebert.
En 575, celui-ci réplique en lançant à partir de Paris deux attaques, d'une part vers Rouen, d'autre part vers la Picardie. Chilpéric s'enferme dans Tournai, tandis que Sigebert obtient le ralliement d'une partie de son armée à Vitry, près d'Arras : il est alors « hissé sur le pavois » (reconnu comme roi). Mais il est assassiné9 juste après par deux envoyés de Chilpéric.
Chilpéric s'empare alors de Paris où Brunehaut est faite prisonnière et emmenée à Rouen ; en revanche, Childebert est emmené à temps par un fidèle, Gondovald ; la noblesse du royaume de Sigebert le proclame ensuite roi à Metz et il reçoit l'appui de Gontran, qui devient son tuteur.
En 576, Brunehaut épouse le fils de Chilpéric, Mérovée. Chilpéric réagit à cet acte de rébellion en faisant tonsurer Mérovée qui est ensuite assassiné (577). Mais cet épisode permet à Brunehaut d'échapper à Chilpéric.
(vers 436 - 481) Fils de Mérovée et père de Clovis.
20 juin 451, défaite d'Attila, chef des Huns, dans la plaine de Champagne.
(vers 497 - 13 décembre 558).
(vers 498 - 29 novembre 561)
Ste RADEGONDE, épouse de CLOTAIRE 1er.
(vers 526 - septembre 584)
CHILDEBERT II (6 avril 570-mars 596)
THIERRY II (587 - 613).
Il est le fils de Childebert II, roi d'Austrasie de 575 à 595, roi de Burgondie (Chalon) de 592 à 595, fils de Brunehilde et de Sigebert Ier, roi d'Austrasie ; la mère de Thierry est la reine Faileube. À cette époque, le roi de Neustrie est un parent, Clotaire II, fils de Chilpéric Ier (mort en 585) et de Frédégonde (morte en 597).
Élevé en Alsace, Thierry devient roi de Burgondie à la mort de son père, tandis que son frère aîné Thibert II (585-612) devient roi d'Austrasie. La régence revient à la reine Brunehilde, qui s'installe d'abord à la cour d'Austrasie, mais elle en est chassée et il la reçoit à ses côtés en même temps que sa sœur Thidilane.
Thierry a eu des enfants de ses relations avec plusieurs concubines, notamment quatre fils :
-
Sigebert ;
-
Childebert ;
-
Chramn ou Corbus ;
-
Mérovée.
Cela lui vaut d'être blâmé par saint Colomban, qui refuse de bénir ses enfants sous le prétexte qu'ils sont « nés de prostituées ».
Un mariage avec une fille du roi wisigoth d'Espagne Wittéric a été engagé en 607, mais a abouti à un échec
(vers 601 - 10 octobre 613)
(mai 584 - 18 octobre 629)
(vers 603 - 19 janvier 639)
Cave du roi Dagobert à Strasbourg.
(633 - 31 octobre 657)
(vers 652 - 673)
CHILDERIC II (vers 655 - 675)
(vers 657 - 691)
(vers 671 - 676)
(vers 670 - 721)
(vers 685 - 719)
(vers 714 - vers 754)
Charles Martel est le fils de Pépin de Herstal et de sa deuxième femme Alpaïde. Il avait un frère nommé Childebrand, qui devint plus tard le dux franc (c'est à dire, duc) de Bourgogne.
Dans l'historiographie ancienne, il était commun de décrire Charles comme « illégitime ». Ceci est encore largement répété dans la culture populaire aujourd'hui. Mais, la polygamie était une pratique franque légitime à l'époque et il est peu probable que Charles ait été considéré comme « illégitime ». Il est probable que l'interprétation de l'« illégitimité » dérive du désir de la première épouse de Pépin, Plectrude, de voir sa progéniture comme héritière du pouvoir de Pépin.
Après le règne de Dagobert Ier (629-639), les Mérovingiens cédèrent effectivement le pouvoir aux maires pépinides du palais, qui gouvernèrent le royaume franc d'Austrasie en tout mais nominalement. Ils contrôlaient le trésor royal, dispensé de patronage et accordaient des terres et des privilèges au nom du roi de la figure de proue. Le père de Charles, Pépin de Herstal, réussit à unir le royaume des Francs en conquérant la Neustrie et la Bourgogne. Il fut le premier à se proclamer duc et prince des Francs, un titre plus tard repris par Charles.
(vers 715 - 24 septembre 768)
(vers 751 - 4 décembre 771)
(2 avril 742 - 28 janvier 814)
(778 - 20 juin 840)
(13 juin 823 - 6 octobre 877)
(1er novembre 846 - 10 avril 879)
(vers 864 - 5 août 882) et
( vers 867 - 6 décembre 884 )
(839 - 13 janvier 888)
(vers 860 - 1er janvier 898)
(17 septembre 879 - 7 octobre 929)
( vers 866 - 15 juin 923)
(vers 890 - 15 janvier 936)
(vers 921 - 10 septembre 954)
( vers 967 - 22 mai 987)
(vers 940 - 24 octobre 996)
(27 mars 972 - 20 juillet 1031)
(4 mai 1008 - 4 août 1060)
(23 mai 1052 - 29 juillet 1108)
(1er décembre 1081 - 1er août 1137)
L'arrivée de Rollon en Normandie explique la suite des publicités sur le thème des vikings.
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Mathilde de Flandre (vers 1031 – , Caen), fut l'épouse de Guillaume le Conquérant et donc duchesse de Normandie et reine d'Angleterre.
Elle est la fille de Baudouin V (v. 1012-1067), dit Baudouin de Lille, comte de Flandre, et d'Adèle de France, comtesse de Corbie. Elle est donc, par sa mère, petite-fille du roi de France Robert II. Elle est la sœur des comtes de Flandre Baudouin VI (v. 1030-1070), dit Baudouin de Mons, et Robert Ier (v. 1031-1093), dit Robert le Frison.
En 1050 voire 1051, elle épouse le duc de Normandie Guillaume l'Envahisseur (plus tard le Conquérant), fils illégitime de Robert Ier (v. 1010-1035), dit Robert le Magnifique, duc de Normandie, et d'Arlette de Falaise. Le mariage a lieu à Rouen, la capitale du duché de Normandie. Les négociations pour leur mariage débutent probablement dès 1048, mais en octobre 1049, au concile de Reims, le pape Léon IX l'interdit sur des bases apparemment inconnues . Toutefois, les futurs époux outrepassent l'interdiction. En 1059, le pape Nicolas II valide rétrospectivement ce mariage à condition que les deux époux fondent chacun une abbaye. Mathilde fonde alors l'abbaye aux Dames de Caen, dédiée à la Sainte-Trinité, et son époux fonde l'abbaye aux Hommes dédiée à saint Étienne. Son église abbatiale est dédicacée le 18 juin 1066. La fondation de l'église Notre-Dame du Pré de Quevilly lui est aussi attribuée.
Mathilde de Flandre a apparemment des relations cordiales avec tous ses enfants, et elle est notamment très proche de son aîné Robert. Elle est particulièrement peinée quand celui-ci se dispute avec son père et qu'il s'exile en France. Elle a l'habitude de lui envoyer de l'argent et de l'or aux dépens de son mari, mais quand celui-ci découvre le pot aux roses, il menace de sévices le messager breton qu'elle utilise. Elle est aussi en très bons termes avec son époux, et il semble qu'ils soient heureux en mariage. On ne connaît d'ailleurs aucune maîtresse ni aucun enfant illégitime à Guillaume le Conquérant.
(1120 - 18 septembre 1180)
(21 août 1165 - 14 juillet 1223)
Richard Ier d'Angleterre dit Cœur de Lion (, palais de Beaumont à Oxford – , château de Châlus-Chabrol) fut roi d'Angleterre, duc de Normandie, duc d'Aquitaine, comte de Poitiers, comte du Maine et comte d'Anjou de 1189 à sa mort en 1199. Fils d’Henri II d'Angleterre et d’Aliénor d'Aquitaine, Richard est élevé dans le duché d'Aquitaine à la cour de sa mère, ce qui lui vaut dans sa jeunesse le surnom de Poitevin. Il devient comte de Poitiers à l'âge de onze ans et duc d’Aquitaine lors de son couronnement à Limoges. Après la mort subite de son frère aîné le roi Henri le Jeune en 1183, il devient héritier de la couronne d’Angleterre, mais aussi de l’Anjou, de la Normandie et du Maine. Pendant son règne, qui dure dix ans, il ne séjournera que quelques mois dans le royaume d’Angleterre et n'apprendra jamais l'anglais. Il utilise toutes ses ressources pour partir à la troisième croisade, puis pour défendre ses territoires français contre le roi de France, Philippe Auguste, auquel il s’était pourtant auparavant allié contre son propre père. Ces territoires, pour lesquels il a prêté allégeance au roi Philippe, constituent la plus grande partie de son héritage Plantagenêt. Les Anglais l’appellent Richard I, les Français Richard Cœur de Lion, dans les régions occitanes, il est surnommé Oc e No (« Oui et non » à cause de son supposé laconisme), et les Sarrasins, Melek-Ric ou Malek al-Inkitar (roi d'Angleterre). En son temps, il est considéré comme un héros, et souvent décrit comme tel dans la littérature. Il est aussi un poète et un écrivain célèbre à son époque, notamment pour ses compositions en occitan, mais aussi en langue d'oïl.
(5 septembre 1187 - 8 novembre 1226)
(25 avril 1214 - 25 août 1270)
A qui fait-on allusion sur l'affiche, à Louis IX ou à Philippe III, tous les deux étant nés à Poissy.
PHILIPPE III LE HARDI :
30 avril 1245 - 5 octobre 1285
(1268 - 29 novembre 1314)
(4 octobre 1289 - 5 juin 1316)
( 1293 - 3 janvier 1322)
(18 juin 1294 - 1er février 1328)
(1293 - 22 août 1350)
(25 avril 1319 - 8 avril 1364)
La bataille de Poitiers a été livrée au cours de la guerre de Cent Ans le 19 septembre 1356 à Nouaillé-Maupertuis, près de Poitiers en Aquitaine. Le roi de France Jean II le Bon cherche à intercepter l'armée anglaise conduite par Édouard de Woodstock, prince de Galles, qui est en train de mener une chevauchée dévastatrice. Par une tactique irréfléchie, Jean II conduit ses troupes, quoique numériquement très supérieures, au désastre et se fait prendre, ainsi que son fils Philippe et de nombreux membres éminents de la chevalerie française.
Les conséquences de la défaite française sont catastrophiques pour la couronne des Valois. Le pays est nominalement dirigé par l'héritier du trône, le dauphin Charles. Celui-ci doit affronter la Grande Jacquerie en 1358, qui conteste les privilèges de la noblesse, celle-ci ayant perdu de son prestige à Poitiers. La première phase de la guerre de Cent Ans s'achève par une indéniable victoire anglaise, qui est confirmée par la signature du traité de Brétigny en 1360.
(21 janvier 1338 - 16 septembre 1380)
(3 décembre 1368 - 22 octobre 1422)
(22 février 1403 - 22 juillet 1461)
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Jacques Cœur (vers 1395/1400, à Bourges – , dans l'île de Chios) est un marchand français, négociant, banquier et armateur. Il fut le premier Français à établir et entretenir des relations commerciales suivies avec les pays du Levant. En 1439, Charles VII le nomme Grand Argentier du royaume de France. Il se lance dans de nombreuses entreprises commerciales et industrielles, et amasse une fortune considérable qui lui permet d’aider Charles VII, à l’époque « le petit Roi de Bourges », à reconquérir son territoire occupé par les Anglais. Mais sa réussite éclatante l’amène à la disgrâce : en invoquant diverses accusations, ses rivaux et ses nombreux débiteurs, dont le roi, provoquent sa chute en 1451. Emprisonné puis banni en 1456, il meurt à Chios en Grèce (île près de la Turquie) lors d’une expédition contre les Turcs.
(3 juillet 1423 - 30 août 1483)
Charles de Valois-Bourgogne, dit Charles le Hardi ou Charles le Travaillant, plus connu sous son surnom posthume de Charles le Téméraire, né le 10 ou à Dijon, mort le près de Nancy, est, après Philippe II le Hardi, Jean sans Peur et Philippe III le Bon, le quatrième et dernier duc de Bourgogne de la branche des Capétiens-Valois (il est cousin du roi Louis XI, par leur trisaïeul commun Jean II de France), seigneur et maître d'un ensemble de provinces connu aujourd'hui sous le nom d'État bourguignon
(30 juin 1470 - 7 avril 1498)
Anne de Bretagne, a été épouse de Louis XII, roi de 1499–1514, Charles VIII (roi de 1491 à 1498 et de Maximilien Ier de 1490 à 1491.
(27 juin 1462 - 1er janvier 1515)
LE PÈRE ET LE RESTAURATEUR DES LETTRES.
(12 septembre 1494 - 31 mars 1547)
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(1494-1547), Lettre à Louise de Savoie, sa mère, après la bataille de Pavie, 25 février 1525.
(31 mars 1519 - 10 juillet 1559)
(19 janvier 1544 - 5 décembre 1560)
(27 juin 1550 - 30 mai 1574)
(19 septembre 1551 - 2 août 1589)
Henri de Lorraine, 3e duc de Guise, dit « le Balafré » (, Joinville - assassiné le , au château de Blois) est un prince issu d'une branche cadette de la maison de Lorraine.
À la tête d'un puissant clan aristocratique, il devint populaire pendant les guerres de religion en se posant comme le défenseur de la foi catholique. Après avoir participé au massacre de la Saint-Barthélemy (1572), il s'illustra à plusieurs reprises sur le champ de bataille en combattant les protestants. D'abord prince de Joinville, puis duc de Guise (1563), il tint en tant que grand maître et pair de France, une place d'importance à la cour.
Chef de la Sainte Union (1584), il aspirait à gouverner la France. Son but avoué était de réduire l'influence politique du parti protestant en France, en vertu du principe de catholicité de la couronne, mais on ne peut exclure une ambition personnelle appuyée sur une logique de clan et une rivalité entre diverses factions proches du pouvoir et de la famille royale. Il devint le maître de Paris après la journée des Barricades (12 mai 1588) mais fut assassiné sur l'ordre d'Henri III lors des états généraux de Blois. Sa mort provoqua indirectement l'assassinat du roi.
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(13 décembre 1553 - 14 mai 1610)
Marguerite d'Angoulême, mère d'Henri IV.
Marguerite de France ou Marguerite de Valois, surnommée Margot à partir du XIXe siècle, est une princesse de la branche de Valois-Angoulême de la dynastie capétienne, née le et morte le . Elle était fille du roi Henri II et de Catherine de Médicis et la sœur des rois François II, Charles IX et Henri III. Par son mariage avec le roi Henri de Navarre, elle devient reine de Navarre en 1572, puis reine de France en 1589 lorsque son époux accède au trône de France sous le titre de Henri IV. Sur la demande de ce dernier et avec l'accord du Pape, elle se démarie en 1599.
Son mariage, qui devait célébrer la réconciliation des catholiques et des protestants en 1572, fut terni par le massacre de la Saint-Barthélemy et la reprise des troubles religieux qui suivirent. Dans le conflit qui opposa le roi Henri III aux Malcontents, elle prit parti pour François d'Alençon, son frère cadet. Sa participation à la conjuration des Malcontents lui valut la rancune profonde de son frère Henri III.
En tant qu'épouse du roi de Navarre, elle essaya de jouer un rôle pacificateur et modéré dans les relations difficiles entre son mari et la monarchie. Ballottée entre les deux cours, elle s'efforça de mener une vie conjugale heureuse mais la stérilité de son couple et les tensions politiques propres aux guerres de religion eurent raison de son mariage. Malmenée par un frère ombrageux, rejetée par un mari léger et opportuniste, elle choisit en 1585 la voie de l'opposition. Elle prit le parti de la Ligue et fut contrainte de vivre en Auvergne dans un exil qui dura vingt ans.
Femme de lettres reconnue, esprit éclairé, mécène généreuse, elle joua un rôle important dans la vie culturelle de la cour, en particulier après son retour d'exil en 1605. Elle fut un vecteur de la pensée néoplatonicienne qui prône notamment la suprématie de l'amour platonique sur l'amour physique. Au XIXe siècle, son existence a donné naissance au mythe de la « Reine Margot », d'après le surnom popularisé par Alexandre Dumas dans son roman du même nom.
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Notre bon roi HENRI IV est bien loin d'être oublié et sera utilisé pour bon nombre de Maisons de vins, liqueur, Armagnac et autres produits du Sud Ouest de la France... Et sans oublier la POULE AU POT !.
Est-ce l'amour d'un si bon breuvage qui réunit deux personnages comme Henri IV et le président Fallières, d'époques différentes ?.
C'est d'abord le ministre d' Henri IV, SULLY qui sera représenté sur un billet de banque, vers 1939.
Henri IV se verra représenté plus tard, il y aura
même deux billets puisque l'on passera des
anciens francs aux nouveaux francs.
De mémoire, si je reviens environ 65 ans en arrière, ne serait-ce pas "labourages et pâturages sont les deux mamelles de la France" ?. Henri IV s'adressant à Sully.
Henri IV sur la bicyclette Régina...
(27 septembre 1601 - 14 mai 1643)
Henri de La Tour d'Auvergne (Sedan, – Salzbach, ), vicomte de Turenne, est un gentilhomme et militaire français talentueux passé à la postérité sous le nom que lui donne son titre Turenne.
Maréchal de France en 1643 et maréchal général des camps et armées du roi en 1660, il fut l'un des meilleurs généraux de Louis XIII puis de Louis XIV. Figure populaire, stratège de grand talent, gloire militaire du Grand Siècle par excellence, sa carrière se trouve néanmoins entachée par la première série d’exactions commises en Palatinat en 1674 plus généralement connue sous le nom de « ravage du Palatinat ».
Les billets de la banque de France avec le portrait de RICHELIEU. J'ai précisé "les" car il y a celui en anciens francs et celui en nouveaux francs.
(5 septembre 1638 - 1er septembre 1715)
François Vatel, de son vrai nom Fritz Karl Watel, né à Tournai le et mort à Chantilly le , d’origine suisse, est un pâtissier-traiteur, intendant, et maître d'hôtel français, successivement au service de Nicolas Fouquet, surintendant des Finances de Louis XIV, et du prince Louis II de Bourbon-Condé. Grand organisateur de fêtes et de festins fastueux d’exception au château de Vaux-le-Vicomte puis au château de Chantilly sous le règne de Louis XIV, il est passé à la postérité pour s’être suicidé pendant une réception alors que la livraison de la pêche du jour avait du retard.
Jean Bart, en flamand Jan Bart ou Jan Baert, né le à Dunkerque (comté de Flandre) et mort le dans cette même ville (Flandre française), est un corsaire célèbre pour ses exploits au service de la France durant les guerres de Louis XIV.
Il commence à naviguer à quinze ans sous les ordres de De Ruyter et participe en 1667 à la campagne de la Tamise. Pendant la guerre de Hollande, il est corsaire pour le compte de la France et accumule les prises (plus de cinquante entre 1674 et 1678). Admis dans la Marine royale avec le grade de lieutenant de vaisseau en , il croise en Méditerranée contre les Barbaresques et est promu capitaine de frégate en . En 1689, il est chargé, en compagnie de Forbin de conduire un convoi de Dunkerque à Brest, il est fait prisonnier par les Anglais, s'évade et revient à Saint-Malo en traversant la Manche à la rame. Promu capitaine de vaisseau en , il met au point une tactique de guerre fondée sur l'utilisation de divisions de frégates rapides et maniables, sorte de « préfiguration des meutes de sous-marins de la Seconde Guerre mondiale ».
En 1690, il commande L'Alcyon à la bataille du cap Béveziers, puis il escorte les convois en mer du Nord après avoir brisé le blocus imposé à Dunkerque. En 1692, il détruit une flottille de 80 navires de pêche hollandais. Son exploit, sans doute le plus célèbre, qui lui vaut des lettres de noblesse, est la reprise sur les Hollandais devant le Texel d'un énorme convoi de cent-dix navires chargés de blé que la France avait acheté à la Norvège (). En , il livre sur le Dogger Bank un violent combat à une escadre hollandaise, détruisant plus de 80 navires, et rentre à Dunkerque en déjouant la surveillance anglaise. Promu chef d'escadre en , il conduit le prince de Conti en Pologne, puis commande la marine à Dunkerque où il meurt le .
Marie de Rabutin-Chantal, connue comme la marquiseou, plus simplement, Madame de Sévigné, est une épistolière française, née le à Paris et morte le au château de Grignan (Drôme).
De très nombreuses autres publicités des chocolats Marquise de Sévigné sont visibles dans mon article sur les publicités et les PERSONNAGES de la LITTERATURE.
La Révolte du papier timbré est une révolte antifiscale d’Ancien Régime qu'a connue l’Ouest de la France, sous le règne de Louis XIV (d’avril à septembre 1675), à la suite d'une hausse des taxes, dont celle sur le papier timbré, requis pour les actes authentiques.
La révolte eut plus d’ampleur en Basse-Bretagne, en se nourrissant d'une hostilité aux seigneurs, sous le nom spécifique de révolte des Bonnets rouges, car des insurgés portaient des bonnets bleus ou rouges selon la région : ainsi dans le Centre-Ouest de la Bretagne et notamment dans le Poher où la révolte fut plus violente, le bonnet porté par les insurgés était de couleur rouge, tandis qu'il était bleu dans le pays Bigouden. On l'appelle également révolte des Torreben (« casse-lui la tête » ou des « Casse-Têtes »), un cri de guerre qui sert aussi de signature dans un des codes paysans.
Colbert, ministre de Louis XIV, honoré par la banque de France.
15 février 1710 - 10 mai 1774)
Jeanne Bécu, dite aussi Mademoiselle de Vaubernier, devenue par mariage comtesse du Barry, née le à Vaucouleurs, et morte guillotinée le à Paris, fut la dernière favorite du roi Louis XV de 1768 à 1774.
Son origine roturière et sa jeunesse agitée ont suscité un certain nombre de pamphlets injurieux, voire orduriers.
Ces mots auraient été prononcés au cours de la bataille de Fontenoy (le 11 mai 1745) , sous le règne de Louis XV. Cette bataille opposa les troupes franco-irlandaises, conduites par le Maréchal de Saxe, aux troupes anglaises, hanovriennes, hollandaises et autrichiennes, commandées par le Duc de Cumberland.
(23 août 1754 - 21 janvier 1793)
Gilbert du Motier, marquis de La Fayette, dit « La Fayette », né le au château de Chavaniac, paroisse de Saint-Georges-d'Aurac (province d'Auvergne, actuellement Chavaniac-Lafayette en Haute-Loire) et mort le à Paris (ancien 1er arrondissement), est un noble d'orientation libérale, officier et homme politique français.
Nommé général par George Washington, Lafayette a joué un rôle décisif aux côtés des Américains dans leur guerre d'indépendance contre le pouvoir colonial britannique et en particulier lors de la victoire de Yorktown le 19 octobre 1781. Lafayette a aussi œuvré à l'émergence en France d'un pouvoir royal moderne, avant de devenir une personnalité de la Révolution française jusqu'à son émigration, son arrestation et sa mise en prison pour cinq ans en 1792. Lafayette fut aussi un acteur politique majeur des débuts de la monarchie de Juillet. Surnommé le « héros des deux mondes », il est l'un des huit citoyens d'honneur des États-Unis d'Amérique.
La prise de la Bastille le 17 juillet 1789, chromo Phoscao.
Lazare Carnot est un mathématicien, physicien, général et homme politique français, né à Nolay le et mort en exil à Magdebourg le . Membre de la Convention nationale et du Comité de salut public, il est surnommé « L'Organisateur de la Victoire » ou « Le Grand Carnot ». Directeur, il est ensuite comte de l'Empire.
Jeanne Marie Philipon, plus connue sous le nom de Manon Roland ou Madame Roland (1754 – 1793) est une figure de la Révolution française, qui a joué un rôle majeur au sein du parti girondin.
La Révolution française
Le couple s’installe à Amiens où Manon, intéressée par la botanique, recueille et recense les plantes des canaux autour de la ville. Trois ans plus tard, Manon pousse son époux à obtenir le poste d’inspecteur des manufactures à Lyon et le couple s’installe à proximité. Cultivée, intelligente et convaincue par les idées des Lumières, elle écrit des articles politiques pour le Courrier de Lyon. Malgré tout, sa vie conjugale l’ennuie.
En 1791, en pleine Révolution française, le couple s’installe à Paris et Manon se lance dans la politique. Elle crée un salon qui accueille régulièrement des personnalités politiques comme Brissot, Pétion ou Robespierre et devient elle-même influente au sein du parti girondin. Elle y rencontre notamment Buzot, avec qui elle connait une passion partagée.
Grâce à ses relations, son mari devient ministre de l’Intérieur en mars 1792 et Manon joue un rôle très important à ses côtés. Après les Massacres de Septembre, pour lesquels elle le tient en partie responsable, Manon s’attaque à Danton et son mari et elle deviennent la cible des Montagnards. Fatigués de ces attaques, le couple se retire de la vie politique publique en janvier 1793, sans pour autant renoncer complètement à la politique.
« Ô Liberté, que de crimes on commet en ton nom ! »
Le 31 mai 1793, lors de la chute de la Gironde, de nombreux Girondins sont arrêtés ; son mari fuit, et Manon se laisse arrêter le lendemain à son domicile. Elle est libérée le 24 juin mais immédiatement arrêtée à nouveau et transférée à la Conciergerie où elle restera pendant cinq mois. En prison, elle écrit des Mémoires, qui demeurent un témoignage exceptionnel sur l’histoire de la Gironde. Elle est jugée le 8 novembre 1793 et condamnée à mort pour participation à la conspiration contre la République ; la sentence est exécutée le jour-même. Ses dernières paroles auraient été : « Ô Liberté, que de crimes on commet en ton nom ! »
La bataille du pont d'Arcole a eu lieu 15 au 17 novembre 1796.
Le général MARCEAU, général des armées de la Révolution.
Si la devise officielle LIBERTE EGALITE FRATERNITE date de 1948, l'idée avait déjà été lancée en 1789. par ROBESPIERRE.
De nombreuses et même, très nombreuses, étiquettes de vins ont été crées pour le bicentenaire de la Révolution française de 1789.
Il y a même eu, une série de 12 étiquettes sur les mois du calendrier révolutionnaire.
François Étienne Kellermann (1770-1835) est un général de division français du Premier Empire. Second duc de Valmy, il fut pair de France sous la Monarchie de Juillet.
(26 octobre 1795 au 9 novembre 1799)
( 9 novembre 1799 - 18 mai 1804)
(17 novembre 1755 - 16 septembre 1824)
Le général Daumesnil dit "jambe de bois", devant la château de Vincennes en 1814.
9 octobre 1757 - 6 novembre 1836)
La Liberté guidant le peuple d'Eugène DELACROIX fait référence à la révolution dite des 3 glorieuses sous le règne de CHARLES X, les 27, 28 et 29 juillet 1830.
(6 octobre 1773 - 26 août 1850)
Le 24 février 1848, LAMARTINE proclame la 2ème REPUBLIQUE.
Le 26 juin 1848, Louis Eugène CAVAIGNAC devient le 1er chef de l'ETAT FRANCAIS.
Le 11 décembre 1848, Louis Napoléon BONAPARTE est élu 1er président de la REPUBLIQUE.
2 décembre 1851, coup d'état de Louis Napoléon BONAPARTE et transition vers le SECOND EMPIRE le 2 décembre 1852.
Le SECOND EMPIRE et NAPOLEON III de 1852 à 1870.
Née le à Francfort-sur-le-Main, elle est la fille d'Alexandre Victor François de Flavigny (1770-1819), noble français émigré pendant la Révolution et de Maria Elisabeth Bethmann (1772-1847), d'une vieille famille de banquiers allemands de religion protestante.
La famille revient en France après la naissance de Marie. De 1819 à 1821, celle-ci est éduquée au couvent des Sœurs du Sacré-Cœur de Jésus, dans l'ancien hôtel Biron (actuel musée Rodin).
Le 16 mai 1827, elle épouse le comte Charles Louis Constant d’Agoult (13 janvier 1790 - 16 mars 1875), colonel de cavalerie, premier écuyer de Madame la Dauphine qui a laissé d'intéressants mémoires sur la guerre d'indépendance espagnole durant la période napoléonienne. Elle lui donne deux filles :
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Louise (1828-1834) ;
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Claire (1830-1912), qui épousera le marquis Guy de Charnacé (1825-1909).
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En 1833 commence sa liaison avec le compositeur Franz Liszt, rencontré lors d'un concert dans un salon de la noblesse parisienne. La comtesse a alors vingt-huit ans, l'artiste six ans de moins. Malgré leur différente position sociale, ils éprouvent aussitôt une violente passion réciproque. Pour lui, elle quitte son mari en 1835. Ensemble, ils quittent la France et arrivent à Genève le 21 août 1835. Puis ils voyagent en Italie, où ils demeurent de 1837 à 1839, séjournant successivement à Bellagio, Milan, Venise, Lugano, Modène, Florence, Bologne et Rome. Ce sont ces voyages qui ont inspiré au compositeur son cycle de recueils pour piano intitulé Années de pèlerinage.
Trois enfants qu'elle a de Liszt naissent pendant ces années d'errance :
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Blandine(1835-1862) épousera en 1857 Émile Ollivier, avocat et homme politique français. Ils auront un fils, Daniel ;
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Cosima (1837-1930) épousera le chef d'orchestre Hans von Bülow, puis le compositeur Richard Wagner ;
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Daniel (1839-1859), mort de la tuberculose (le roman Nélida est l'anagramme de Daniel).
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Selon Sabine Cantacuzène, elle aurait en outre eu un garçon, Charles d'Avila, non reconnu par Franz Liszt, adopté et élevé par la famille D'Avila à Parme en Italie. Ce garçon pourrait être issu de sa liaison avec Pierre Tribert, riche propriétaire foncier dans la région de Champdeniers ; elle séjourna dans son logis de Puyraveau. Selon un des fils Tribert, celui-ci aidait financièrement Marie d'Agoult en lui versant un revenu régulier par le fruit de différents placements boursiers, comme en 1866 où il place pour elle 30 000 francs ; il n'habitait pas avec elle boulevard Malesherbes, mais avec le personnel dans une maison de la rue de Chaillot, « dans l'illusion d'une vie de couple ».