9 août 2017
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GENEALOGIE CONCERNANT LES FLEURIDAS VENUS S'ETABLIR EN BRETAGNE : UN COUSINAGE AVEC LOUISON BOBET...C'est à PACE que notre Anne Guillemette HIREL épouse Pierre Françoise MAINGUY d'où ils auront Pauline MAINGUY qui épousera (en premières noces) Alphonse Isabel FLEURIDAS. Anne Guillemette HIREL a aussi un frère Julien Pierre HIREL de qui descend LOUISON BOBET ... Nous avons une bonne lignée d'ancêtres en commun au-dessus de Pacé (35). Nous démarrons ce cousinage à Pacé, mais, les archives de Pacé ayant été détruites par des incendies, c'est surtout dans les communes au nord de ce bourg que nous allons découvrir tous nos ancêtres en commun...
Alphonse Isabel Fleuridas (08/07/1845 Beaumont les Autels, 28 - 12/02/1896 Rennes).
Alphonse Isabel Fleuridas n'est pas cousin avec Louison Bobet, c'est par les grands parents de son épouse Pauline Mainguy que s'établit ce cousinage.
Pauline MAINGUY (25/02/1853 Pacé - 23/10/1913 Rennes), ici photographiée avec son 2ème mari Guillaume Marie Pillay mort en 1916.
Les descendants actuels des FLEURIDAS BRETONS ne portent plus ce nom puisque, étaient concernés les enfants de Alphonse Isabel Fleuridas et Pauline MAINGUY, c'est à dire :
Eugène FLEURIDAS (2 filles et 1 fils émigré aux USA où le patronyme demeure).
Alphonse FLEURIDAS (1 fils établi en Nouvelle Calédonie, sans enfant)
Auguste FLEURIDAS (marié à Félicité TROTTET), d'où 7 filles avec leurs descendants (mes cousines et cousins qui se reconnaitront) mais plus aucun ne porte le patronyme FLEURIDAS tout seul.
L'un des deux châteaux d'eau de St Meen le Grand récemment habillé d'une fresque représentant Louison Bobet natif de St Meen.
Zone de cousinage en commun...
Cet article est réalisé grâce à la publication de la généalogie de Marion Duvigneau sur Généanet (les Familles Duval et Corbes). Merci
Issu d'une branche cadette de la Famille Motier de La Fayette, une trés ancienne famille de la noblesse d'Auvergne éteinte en 1891, dont la filiation remonte au XIIIe siècle avec Pons Motier, seigneur de la fayette (la branche aîné (éteinte en 1694) donna, Gilbert Motier de La Fayette, maréchal de France en 1421), Gilbert du Motier naît au château de Chavaniac le 6 septembre 1757. Le nom de La Fayette vient de la terre du même nom, située dans l'actuelle commune d'Aix-la-Fayette, près de Saint-Germain-l'Herm (Puy-de-Dôme).
Son nom complet est Marie-Joseph Paul Yves Roch Gilbert du Motier, marquis de La Fayette, mais il est généralement désigné comme marquis de La Fayette ou de Lafayette. Son biographe Louis R. Gottschalk (en) indique que l'intéressé orthographiait son nom aussi bien sous la forme « Lafayette » que sous la forme « La Fayette ».
Son père, Michel Louis Christophe du Motier, marquis de La Fayette ( – ), colonel aux Grenadiers de France, meurt en Westphalie à l'âge de vingt-six ans, tué par un boulet de canon au cours de la bataille de Minden, le 1er août 1759, dans les bras du comte de Broglie. Sa mère, Marie Louise Jolie de La Rivière,d'une riche et noble famille de Saint-Brieuc, née en 1737, se retire à Paris au Palais du Luxembourg. Élevé par ses tantes et par sa grand-mère, Gilbert passe à Chavaniac une enfance libre et protégée dans les forêts d'Auvergne et rêve, à neuf ans, de chasser la bête du Gévaudan.
Sa mère meurt le 3 avril 1770. À l'âge de 12 ans, La Fayette se trouve orphelin, seul héritier potentiel de la fortune de son grand-père maternel, le marquis de La Rivière, qui meurt à son tour le 24 avril 1770 et lui laisse une rente de 25 000 livres. À la même époque, un autre oncle meurt, lui laissant un revenu annuel de 120 000 livres ; ces 145 000 livres de revenu font de lui un des hommes les plus riches de France.
Son arrière-grand-père, le comte de La Rivière, ancien lieutenant général des Armées du Roi, le fait venir à Paris pour son éducation. Il étudie jusqu'en 1771 au collège du Plessis (actuel lycée Louis-le-Grand) et suit parallèlement une formation d'élève-officier à la compagnie des mousquetaires noirs du roi. Il suit également les cours de l'Académie militaire de Versailles.
Le 11 avril 1774, à 17 ans, il épouse Marie Adrienne Françoise de Noailles (1759-1807) fille du duc d'Ayen, dotée de 200 000 livres. C'est un mariage arrangé, qui laissera place à une réelle affection entre les époux, malmenée régulièrement par les infidélités du marquis. De ce mariage naîtront un fils et trois filles :
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Henriette (1776-1778)
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Anastasie (1777-1863), qui épousera Juste-Charles de Latour-Maubourg (1774-1824) le (par elle, le marquis est l'aïeul de Paola Ruffo di Calabria, l'ancienne Reine des Belges, épouse du Roi Albert II) ;
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Georges Washington de La Fayette (1779-1849), qui épousera Émilie d'Estutt de Tracy.
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Virginie (1782-1849), qui épousera le Louis de Lasteyrie du Saillant (1781-1826) ;