27 octobre 2019
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Toujours à la recherche de cousinages à partir de notre généalogie familiale voici, une suite de ces cousinages. Je ne pousserai pas les recherches jusqu'à un cousinage au niveau de Charlemagne car la liste serait aussi importante qu'un annuaire téléphonique.
BERTRAND DU GUESCLIN :
C'est dans les ascendants qu'il faut chercher car il n'aurait pas de descendants du moins en France, mais, il y aurait quelques bâtards du côté de l'Espagne...
Bertrand du Guesclin,né vers 1320 au château de la Motte-Broons, près de Dinan et mort le devant Châteauneuf-de-Randon, est un noble breton, costarmoricain, connétable de France et de Castille, personnage très important de la première partie de la guerre de Cent Ans.
Il commence à signaler sa bravoure dans les guerres que se livrent Charles de Blois et les comtes de Montfort, Jean II et son fils Jean III, pour l'héritage du duché de Bretagne. Il se fait remarquer aussi dès le début de la guerre de Cent Ans, notamment en 1354 en prenant par ruse le château de Grand-Fougeray et en 1357 en participant à la défense de Rennes assiégée par Henry de Grosmont, duc de Lancastre. Du Guesclin ayant gagné le respect de la noblesse à la pointe de son épée, le chevalier Alacres de Marès, dépendant du bailliage de Caux, l'adoube chevalier au château de Montmuran dans les Iffs en 1357 (ou 1354 d'après d'autres sources). Il prend alors pour devise « Le courage donne ce que la beauté refuse ». Il est nommé capitaine de Pontorson et du mont Saint-Michel sur recommandation de Pierre de Villiers. Il promet qu'il ne trouveroit jamais occasion qu'il ne chargeast les Anglois quelque part qu'il les renconstrat.
Soutenant Charles de Blois, époux de Jeanne de Penthièvre, prétendante à la couronne ducale, c'est en guerroyant plusieurs années dans la forêt de Paimpont et ses alentours qu'il devient celui que les Anglais vont craindre : Le Dogue noir de Brocéliande.
En 1360, il est lieutenant de Normandie, d'Anjou et du Maine puis, en 1364, capitaine général pour les pays entre Seine et Loire et chambellan de France.
Alerté par Guillaume de Craon, seigneur de Sablé, qu'une troupe anglaise dirigée par Hugues de Calveley se dirige vers Juigné-sur-Sarthe en janvier 1361, ce dernier se propose de se joindre à lui pour les attaquer. Du Guesclin se retrouve isolé et est fait prisonnier. Il retrouve sa liberté après le paiement d'une rançon de 30 000 écus. Hugues de Calveley devient par la suite l'un de ses lieutenants en Espagne.
Du Guesclin s'illustre en 1364 lors des prises de Rolleboise, de Mantes et de Meulan et célèbre l'avènement de Charles V en avril 1364, en remportant la bataille de Cocherel contre l'armée du roi de Navarre. Il prend ensuite Valognes où son fidèle Guillaume Boitel, qui commande l'avant-garde, joue le rôle déterminant. Il reçoit le comté de Longueville en Normandie.
La bataille d'Auray, d'après la Chronique de Bertrand du Guesclin par Cuvelier.
Après ces victoires, il vole de nouveau au secours de Charles de Blois en Bretagne ; mais, en septembre 1364, à la bataille d'Auray, malgré tous ses efforts, son parti est battu : il est fait prisonnier par John Chandos, chef de l'armée anglaise. Sa rançon est de 100 000 livres. Le roi de France paie 40 000 livres, Guy XII de Laval répond du reste
Remise de l'épée de connétable à Bertrand du Guesclin. Miniature des Grandes Chroniques de France attribuée à Jean Fouquet, vers 1455-1460, BnF, Fr.6465.
En octobre 1370, revenu en France, il est fait connétable de France par Charles V. Sa grande entreprise va être d'expulser les Anglais. Contrairement aux habitudes de la chevalerie française, il ne procède pas par grandes campagnes avec tout l'ost français, mais préfère reconquérir méthodiquement des provinces entières, assiégeant château après château. Il va chasser les Anglais de la Normandie, de la Guyenne, de la Saintonge et du Poitou.
Bien souvent, le siège ne dure pas, l'issue en étant accélérée par un assaut victorieux ou plus souvent encore par une ruse. Pour libérer Niort de la domination anglaise, il utilise un subterfuge : il fait revêtir à ses soldats l'uniforme anglais. L'ennemi, confiant, ouvre les portes de la ville et l'armée de du Guesclin s'en empare.
Georges Minois, historien du Moyen Âge, qualifie ainsi les victoires et la reconquête menées par Bertrand du Guesclin : « Certes, il ne conduit qu'une petite troupe de quelques centaines d'hommes, mais il obtient avec eux des résultats plus importants qu'avec une grosse armée, coûteuse, lourde, encombrante et lente. » Cette tactique victorieuse est menée pour trois raisons majeures :
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premièrement, Charles V règne sur un royaume fragilisé par les guerres, le connétable doit se contenter de peu de moyens ;
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deuxièmement, cela lui permet de tirer le maximum de ses maigres effectifs : il a obtenu plus de résultats en un mois de campagne (décembre 1370) que Robert Knollys, le meilleur capitaine d'Édouard III, en six ;
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troisièmement, ce type de guerre, guerre d'embuscades, autrement dit, guérilla avant l'heure, est la mieux adaptée aux circonstances, puisqu'il s'agit de reprendre des châteaux dispersés, qui commandent routes et carrefours ; son petit groupe, mobile, souple, avec un noyau d'élite breton, bien soudé, anticipe les actions des « commandos » du XXe siècle en frappant vite, à l'improviste, en restant insaisissable, en entretenant l'insécurité chez l'ennemi et en le décourageant petit à petit. Cette stratégie s'avère très payante.
En 1374, il combat à La Réole. La même année il se marie avec Jeanne de Laval dans la chapelle du château de Montmuran et en devient propriétaire par alliance jusqu'en 1380. En outre, son épouse lui apporte en dot le château de Montsabert en Anjou. Le château de Montsûrsest dès lors sa demeure, et il y réside dans les périodes hors-guerre. Il y traitera du mariage de sa nièce Marie d'Orange, avec Jean, vicomte de Vendôme.
En 1376, il reçoit la seigneurie de Pontorson en Normandie. Charles V, ayant en 1378 fait prononcer la confiscation du duché de Bretagne, occupé par ses officiers depuis 1373, le duc Jean IV étant en exil à Londres, provoque une fronde nobiliaire bretonne et le rappel du duc Jean IV de Bretagne exilé en Angleterre. L'inaction de du Guesclin lors du débarquement de Jean IV à Dinard le fait soupçonner de trahison. Il est indigné d'un tel soupçon, selon la version non établie de la chronique de Jean Cabaret d'Orville il aurait même renvoyé aussitôt au roi son épée de connétable et voulu passer en Espagne auprès d'Henri de Trastamare. Ayant retrouvé la confiance du roi grâce à l'entremise du duc d'Anjou, il retourne dans le Midi pour combattre encore les Anglais. En 1378, il participe à la campagne contre la Bretagne, avec son cousin Olivier de Mauny — chevalier banneret, seigneur de Lesnen et pair de France, qui fut nommé capitaine général de Normandie et chambellan de Charles V en 1372.
En 1380, il combat contre les Grandes compagnies en Auvergne dans le Sud du Massif central où il met le siège devant Châteauneuf-de-Randon (Gévaudan). Après plusieurs assauts terribles, la place promet de se rendre au connétable lui-même, si elle n'est pas secourue dans 15 jours. Du Guesclin, pris d'une forte fièvre, meurt dans l'intervalle. La tradition attribue son décès à la consommation d'eau glacée pendant les chaleurs de l'été, une allégation commune à cette époque. Il aurait étanché sa soif à la fontaine de la Cloze / Glauze (selon les sources), visible au hameau d'Albuges. Le jour de son décès, le le gouverneur vient, la trêve expirée, déposer en hommage les clefs de la place sur son cercueil. Son corps est déposé à Saint-Denis.
Quadruple sépulture
Mort de Bertrand du Guesclin.
Gisant de Bertrand du Guesclin dans la basilique Saint-Denis.
La reconnaissance politique que le roi Charles V veut témoigner à son connétable vaut à du Guesclin le privilège d'une quadruple sépulture. La partition de son corps (dilaceratio corporis, « division du corps » en cœur, entrailles, chairs et ossements) avec des sépultures multiples permet ainsi la multiplication des cérémonies (funérailles du corps, la plus importante, puis funérailles du cœur, des chairs et funérailles des entrailles) et des lieux (avec un tombeau de corps, de cœur, de chairs et un tombeau d'entrailles) où honorer le défunt. Bertrand du Guesclin est probablement le seul défunt au monde à posséder quatre tombeaux.
Du Guesclin a souhaité par testament que son corps repose en Bretagne après sa mort. Au cours d'un arrêt du cortège funèbre au Puy-en-Velay, le corps est éviscéré et subit un premier embaumement, les viscères étant inhumées en l'église du couvent des Dominicains. Arrivé à Montferrand quelques jours plus tard, on s'aperçoit qu'un nuage de mouches obscurcit le cortège, suivant de près la charrette sur laquelle le corps est déposé. En l'absence des embaumeurs royaux, l'opération d'embaumement a échoué : maladresse des praticiens ? Chaleur estivale trop forte ? Toujours est-il qu'on décide de faire bouillir le corps dans une marmite de vin aromatisé d'épices pour détacher les chairs du squelette, technique funéraire d'excarnation connue sous le nom de mos Teutonicus, l'« usage teuton ». Les chairs sont inhumées au couvent des Cordeliers de Montferrand. Le squelette et le cœur poursuivent leur route vers la Bretagne. Passant outre les dernières volontés du défunt, le roi Charles V décide de faire enterrer les ossements de son connétable dans la basilique royale de Saint-Denis, aux pieds même du tombeau qu'il se fait alors préparer pour lui-même. Son cœur seul parvient en Bretagne où il est déposé sous une dalle au couvent des Jacobins à Dinan. En 1810, la pierre tombale et l'urne contenant le cœur sont transférées dans l'église Saint-Sauveur de Dinan.
Sa sépulture à Saint-Denis (sous un gisant en armure avec ses deux solerets, genouillères et cubitières, un surcot et un baudrier sur lequel est attaché d'un côté une dague anachronique, de l'autre côté l’épée dans son fourreau de cuir et l’écu en métal doublé de cuir et gravé avec ses armoiries, l'œil gauche percé, marque d’un coup de lance reçu en combattant les Anglais en 1364), comme celles de la plupart des princes et dignitaires qui y reposaient, est profanée par des révolutionnaires en 1793, comme l'est aussi le tombeau contenant ses chairs bouillies (à Montferrand).
Quant au tombeau qui contient ses entrailles (église Saint-Laurent, au Puy), il échappe à la profanation : l'urne est mise en dépôt à la mairie en vue de lui donner une sépulture laïque puis est finalement replacée dans l'église Saint-Laurent avec son contenu ; ils y demeurent toujours.
Trois des quatre tombes sont encore visibles et ornées de monuments, celle de Montferrand ayant disparu lors de la Révolution française. Les gisants de Saint-Denis et celui du Puy permettent d'observer un personnage et un visage apparemment sculptés à la ressemblance du sujet, par ailleurs connu par des descriptions physiques et plusieurs miniatures contemporaines, insistant toutes sur la laideur et la pugnacité que révélait son visage.
Il existe à Chateauneuf-de-Randon (Lozère) et au lieu-dit « L'Habitarelle » où se situait le campement de du Guesclin au moment de sa mort, un cénotaphe construit par subvention et souscription nationales, dont le gisant reproduit celui du Puy : sans casque, car il n'est pas mort au combat, avec un chien à ses pieds, le connétable porte la barbe alors qu'il est imberbe sur le gisant de la basilique Saint-Denis.
(Wikipédia)
GUY DEGRENNE : fabricant de couverts...
Cousinage par Alain Le Sénéchal marié à Johanette du Pont-L'Abbé vers 1320/1372.
Sera également cousin dans la généalogie de la Famille de Thouars.
Auguste Joseph RENAULT
Cultivateur, dernier soldat mort lors de la Première Guerre mondiale
Sources : Geneanet
Né(e) : le 06 décembre 1897 à Saint-Trimoël, France
Décédé(e) : le 11 novembre 1918 à Robechies, Belgique
Cousinage par les branches de Gérault.
Pour tous les livres d'Histoire et sur Internet, le dernier soldat français mort au combat durant la Première Guerre mondiale est Augustin Joseph Louis Victorin Trébuchon, 1re classe du 415e Régiment d'infanterie.
Né à Malzieu-Forain en Lozère, il a été tué à Vrigne-Meuse dans les Ardennes d'une balle dans la tête, le 11 novembre 1918, à 10 h 55, soit cinq minutes avant l'entrée en vigueur de l'Armistice. Il avait 40 ans.
Spécialiste de la Grande Guerre, René Richard, de l'association Bretagne 14-18, a découvert qu'un homme était mort quelques minutes après Trébuchon. À 10 h 58 exactement ! Il s'agit d'Auguste Joseph Renault, né le 6 décembre 1897, à Saint-Trimoël, près de Lamballe, dans les Côtes-du-Nord, à l'époque. Il est soldat 1re classe du 411e RI.
Le 11 novembre 1918, son régiment est engagé en Belgique dans le secteur de Robechies, à Chimay, à la poursuite des Allemands en déroute. Lors d'un échange d'artillerie, le 1re classe Renault est touché par un éclat d'obus. « Peut-être même par un obus français, dit René Richard. Avant la fin des combats, les armées gaspillaient leurs armes dans un baroud d'honneur. »
Ce qui pour l'historien est attesté et acté par des témoins, c'est l'heure précise de la mort d'Auguste Renault : 10 h 58, soit deux minutes avant la fin de la grande tuerie. « Il n'y a pas de témoin direct de la mort de Trébuchon. Elle a été estimée entre 10 h 45 et 10 h 55 », dit René Richard.
Auguste Renault repose au cimetière de Dinant, en Belgique.
Un petit gars des Côtes-du-Nord, dernier Français mort au combat de la Première Guerre mondiale, ça lui fait une belle jambe ! Deux de ses frères, Théodule et François, ont aussi été emportés. Et que dire de la famille Ramel du même village : quatre fils sur sept tués, un cinquième qui meurt en 1921, sans doute des suites de la guerre, ainsi que deux gendres. Saint-Trimoël comptait 584 habitants avant la guerre. Cent vingt-huit furent mobilisés. Trente-trois sont morts pour la France. L'histoire retiendra que le premier mort au combat de la Grande Guerre s'appelait Peugeot (Jules-André) et le dernier Renault (Auguste).
Source : Ouest France.
Voici à suivre, une longue liste de "Cousins" qui ont tous des ancêtres communs par les nombreux de THOUARS de nôtre généalogie :
- Johnny HALLIDAY par Herbert 1 et Aimery IV
- Johnny HALLIDAY par Herbert 1 et Aimery IV
Pierre de Coubertin (né Charles Pierre Fredy de Coubertin), baron de Coubertin, né le à Paris et mort le à Genève en Suisse, est un historien et pédagogue français fortement influencé par la culture anglo-saxonne qui a particulièrement milité pour l'introduction du sport dans les établissements scolaires français.
Dans ce cadre, il prend part à l'éclosion et au développement du sport en France dès la fin du XIXe siècle avant d'être le rénovateur des Jeux olympiques de l'ère moderne en 1894 et de fonder le Comité international olympique, dont il est le président de 1896 à 1925.
Cet intérêt pour le domaine scolaire ne va pas sans le mettre en concurrence avec les tenants de la gymnastique et de l'éducation physique, plus proches des préoccupations de la IIIe République. Son intérêt pour les innovations pédagogiques d'outre-Manche ne peut pas non plus le laisser étranger au développement du scoutisme laïc français, et il participe à son émergence, là encore dans un contexte conflictuel.
Sa légendaire dimension humaniste, enfin, est contestée par des chercheurs qui, textes à l'appui mais non sans anachronisme, décèlent chez lui un esprit colonial teinté de racisme et une misogynie affirmée. Toutefois, des études récentes semblent émettre des avis plus nuancés. Coubertin est également connu pour l'ensemble de son œuvre écrite, partagée entre d'importants ouvrages pédagogiques, le plus souvent en étroite relation avec les pratiques sportives, et des œuvres historiques et politiques.
- Jules Sébastien César Dumont d’Urville, né à Condé-sur-Noireau le et mort accidentellement à Meudon le , est un officier de marine et explorateur français qui mena de nombreuses expéditions, notamment à bord de l'Astrolabe.
Brigitte Macron (née Trogneux, ex-Auzière), née le à Amiens, est l’épouse du président de la République française Emmanuel Macron.
Brigitte Marie-Claude Trogneux est issue d'une famille de chocolatiers amiénois réputés pour leurs macarons. Elle est la fille de Jean Trogneux (1909-1994) et de son épouse Simone Pujol (1913-1998), et la plus jeune de leurs six enfants. Le , son frère aîné Jean-Claude Trogneux meurt à l'âge de 85 ans.
Brigitte Trogneux épouse, le , André-Louis Auzière, jeune homme de son milieu social et futur banquier, avec qui elle a trois enfants, Sébastien (1975), Laurence (1977) et Tiphaine (1984), respectivement ingénieur statisticien (diplômé de l'École nationale de la statistique et de l'analyse de l'information), cardiologue et avocate.
En , dans l'atelier de théâtre qu'elle anime au lycée de la Providence, elle remarque Emmanuel Macron, alors âgé de quinze ans et élève de seconde dans la même classe que sa fille Laurence.
L'année suivante, le couple commence une relation. La différence d'âge (de plus de 24 années) entre les deux amants provoque un scandale dans la famille Trogneux : leur relation tombe sous le coup de la loi du et du délit d'atteinte sexuelle sur mineur, qui dispose qu’un enseignant qui a des relations sexuelles avec un élève mineur âgé de plus de quinze ans encourt jusqu’à trois ans de prison. Leur relation se poursuit discrètement à Paris, où Emmanuel Macron entre en classe de terminale, puis en classes préparatoires littéraires au lycée Henri-IV.
Brigitte Trogneux divorce le d'André-Louis Auzière. Le , elle épouse Emmanuel Macron au Touquet-Paris-Plage, où elle possède une maison. Son nouveau mari, alors inspecteur des finances, quitte la fonction publique pour rejoindre la banque Rothschild.
Brigitte Macron, surnommée « Bibi » par ses proches, est grand-mère de sept petits-enfants.
- François HOLLANDE par Guy de Thouars (1213) et geoffroy 990 - 1055)
François Hollande , né le à Rouen, est un haut fonctionnaire et homme d'État français, président de la République du au .
Magistrat à la Cour des comptes et brièvement avocat, il est élu pour la première fois député en 1988. Il exerce la fonction de premier secrétaire du Parti socialiste (PS) de 1997 à 2008, pendant la troisième cohabitation puis dans l'opposition. Au niveau local, il est maire de Tulle de 2001 à 2008 et président du conseil général de Corrèze de 2008 à 2012.
Désigné candidat du PS à l'élection présidentielle de 2012 à l'issue d'une primaire, il est élu chef de l'État face au président sortant, Nicolas Sarkozy, avec 51,6 % des suffrages exprimés au second tour. Sa présidence est marquée par une augmentation de la fiscalité puis par un virage social-libéral, par la loi sur le mariage homosexuel, par la tenue de la Conférence de Paris sur le climat, par des interventions militaires (au Mali, en Centrafrique et au Moyen-Orient), par la crise migratoire en Europe et par l'institution d'un état d'urgence à la suite de plusieurs attentats islamistes en France.
Confronté à de très faibles intentions de vote et au risque d'échec à une primaire, il renonce à se porter candidat à un second mandat, ce qui constitue une première sous la Cinquième République. Il se tient en retrait lors de l'élection de 2017, n'apportant pas son soutien au candidat du Parti socialiste, Benoît Hamon. Après sa présidence, il ne siège pas au Conseil constitutionnel — dont il est membre de droit et à vie — et n'occupe pas de mandat ou fonction de premier plan.
- Valéry Giscard d'Estaing par Guy de Thouars (1155 - 1213)
Valéry Giscard d'Estaing , communément appelé Giscard ou désigné par ses initiales VGE, né le à Coblence (Allemagne), est un haut fonctionnaire et homme d'État français. Il est président de la République française du au .
Inspecteur des finances de profession, il est élu député dans le Puy-de-Dôme à partir de 1956. Sous la présidence du général de Gaulle, il est secrétaire d'État aux Finances (1959-1962), puis ministre des Finances et des Affaires économiques (1962-1966) ; il exprime ensuite ses réserves envers le pouvoir gaulliste, notamment lors du référendum de 1969. Sous la présidence de Georges Pompidou, de 1969 à 1974, il occupe à nouveau la fonction de ministre de l'Économie et des Finances. Il préside alors la Fédération nationale des républicains indépendants (FNRI), qui constitue la deuxième composante de la majorité de droite.
Candidat à l'élection présidentielle de 1974, il élimine au premier tour le gaulliste Jacques Chaban-Delmas, et l'emporte au second tour face au candidat de l'Union de la gauche, François Mitterrand. À 48 ans, il est le plus jeune président de la République depuis 1848. Prônant une « société libérale avancée », il fait voter l'abaissement de la majorité civile et électorale, la dépénalisation de l'avortement, l'élargissement du droit de saisine du Conseil constitutionnel et la fin de la tutelle de la télévision publique. Sa politique internationale est marquée par le renforcement de la construction européenne et par l'implication militaire de la France dans la bataille de Kolwezi (Zaïre) et l'opération Caban (Centrafrique), qui renverse Bokassa.
Tout en développant le projet de train à grande vitesse (TGV) et en relançant l'industrie nucléaire, il est confronté à des difficultés économiques, les Trente Glorieuses touchant à leur fin. En 1976, après la démission de Jacques Chirac, il nomme au poste de Premier ministre l’économiste Raymond Barre, qui mène une politique de rigueur jusqu'à la fin de son septennat. En particulier en matière d'immigration, il se montre conservateur, créant un contraste avec son image de libéral dans d'autres domaines. Bien que sa majorité de droite ait remporté les élections législatives de 1978 et qu’il ait longtemps été donné réélu pour un second mandat, il est battu par François Mitterrand à l'élection présidentielle de 1981, principalement en raison des réticences du RPR de Jacques Chirac à le soutenir.
Par la suite, il est réélu à l’Assemblée nationale et devient président du conseil régional d'Auvergne. Élu à la présidence de l'Union pour la démocratie française (UDF), il est un des principaux dirigeants de l'opposition au pouvoir socialiste. Fervent partisan de la construction européenne, il est député européen et président de la Convention sur l'avenir de l'Europe. En 2004, il se retire de la vie politique pour siéger au Conseil constitutionnel, dont il est membre de droit et à vie en tant qu'ancien président de la République. Il devient en 2017 le président de la République française à la plus grande longévité.
Auteur de plusieurs essais et romans, il est élu à l'Académie française en 2003.
- James-Richard-Charles Hennessy est un homme politique français né le à Cherves-de-Cognac (Charente) et mort le à Paris.
Arrière-petit-fils de Jacques Hennessy et frère de Jean Hennessy, il sortit diplômé de l'École navale, mena une carrière d'officier de marine et prit sa retraite comme capitaine de corvette, avant de rejoindre l'entreprise familiale de Cognac. Il s'occupa également d'élevage de chevaux.
Conseiller général du Canton de Segonzac en 1895, il est également premier adjoint au maire de Cognac (jusqu'en 1929). Député de la Charente de 1906 à 1921 et sénateur de la Charente de 1921 à 1940, il s'intéresse principalement à la viticulture et aux affaires maritimes
- Catherine DENEUVE (DORLEAC) par Guy de Thouars (1165 - 1213).
Catherine Dorléac, dite Catherine Deneuve, née le dans le 17e arrondissement de Paris, est une actrice française.
Considérée comme l'une des plus grandes actrices françaises de sa génération et de la seconde partie du XXe siècle, elle est l'égérie de réalisateurs majeurs comme Jacques Demy, François Truffaut ou André Téchiné. Elle compte dans sa filmographie plusieurs autres grands noms de l'histoire du cinéma, comme Luis Buñuel, Roman Polanski, Mauro Bolognini, Robert Aldrich, Marco Ferreri, Dino Risi, Tony Scott, Manoel de Oliveira, Raoul Ruiz, Hirokazu Kore-eda ou encore Lars von Trier.
Elle obtient deux Césars de la meilleure actrice (pour Le Dernier Métro et pour Indochine), une nomination à l'Oscar de la meilleure actrice (pour Indochine) et un prix d'interprétation dans les trois plus grands festivals de cinéma— Cannes, Venise et Berlin.
Le père de Catherine Dorléac est l'acteur Maurice Dorléac (1901-1979). Il travaille au théâtre et au cinéma mais également comme directeur de doublage à la Paramount Pictures. Sa mère, Renée Simonot (née en 1911 et dont Catherine utilise le véritable patronyme, « Deneuve », Simonot n'étant qu'un nom de scène), est une ancienne pensionnaire du théâtre de l'Odéon où, sa grand-mère avait été souffleuse.
Elle est la troisième des quatre filles de la famille ; ses trois sœurs sont Danielle (née le ) (fille du comédien Aimé Clariond), Françoise (l'actrice Françoise Dorléac, née le , morte le dans un accident de voiture sur l'autoroute Esterel-Côte d'Azur) et Sylvie (née le ).
Comme sa sœur Françoise, alors petite fille, elle double des voix d'enfant dans des films de la Paramount.
Catherine Deneuve débute au cinéma en 1956 sous le nom de Catherine Dorléac avec un petit rôle dans Les Collégiennes, un film d'André Hunebelle. « Je joue en uniforme de collège, et c'est là que j'apprends à nouer des cravates », dira-t-elle.
Quatre ans plus tard, sa sœur Françoise lui dit : « Tu sais, ce serait amusant que tu fasses des essais. Je dois tourner cet été un film qui s'appelle Les portes claquent et le réalisateur, Jacques Poitrenaud, cherche une jeune fille pour jouer ma sœur. Tu devrais y aller ». Après avoir obtenu l'accord de ses parents, elle passe des essais et elle est choisie pour le rôle. Elle n'est cependant pas intéressée par le métier. Cet épisode l'amène pourtant à interrompre ses études, au cours de sa classe de seconde.
Le réalisateur Mel Ferrer lui trouve une ressemblance avec Audrey Hepburn et l'engage pour tourner L'Homme à femmes, avec Danielle Darrieux. Les critiques saluent sa performance.
« La révélation du film, c'est une petite personne exquise qui s'appelle Catherine Deneuve.
Discrète, sans être empaillée, proprette sans être banale, ingénue sans être niaise, et jolie si jolie, sans en avoir l'air de le savoir. Elle devrait-être, d'ici trois mois, la proie favorite des metteurs en scène, fatigués du style Saint-Germain-des-Prés. »
— France Roche, France-Soir (1960).
En 1962, elle rencontre Roger Vadim à l’Épi Club de Montparnasse. « Ce fut le coup de foudre. Vadim m'apprit à devenir femme, à me faire une personnalité et à vivre dans le bonheur».
Il lui offre un rôle dans Le Vice et la Vertu en 1962. Elle vit ensuite avec le cinéaste, de quinze ans son aîné, dont elle a un fils, Christian, né le .
... Voir la suite sur WIKIPEDIA
- Marie LAFARGE par Guy 1er et Aimery VII.
Marie Fortunée Capelle, connue sous son nom d'épouse Marie Lafarge, née à Paris le et morte à Ussat dans le département de l'Ariège le , est une personnalité française soupçonnée, puis reconnue coupable par la justice de l'époque d'avoir empoisonné son époux, Charles Pouch-Lafarge, dit Charles Lafarge.
Elle est condamnée en 1840 aux travaux forcés à perpétuité par la cour d'assises de Tulle et à l'exposition sur la place publique de cette ville, préfecture de la Corrèze. Certaines sources, évoquées dès l'époque du procès, font d'elle la supposée arrière-petite-fille de Philippe Égalité, et de Félicité de Genlis.
Elle a bénéficié d'une grâce présidentielle de la part du prince-président Louis-Napoléon Bonaparte, peu de temps avant sa mort, survenue en 1852. Sa tombe est située dans le cimetière d'Ornolac-Ussat-les-Bains.
- Jo Attia, de son vrai nom Joseph Victor Brahim Attia, né le et mort le , est un malfaiteur français qui fut une figure notoire du milieu dans les années 1940 à 1970.
Il commet ses premiers délits à la fin des années 1930. Expédié aux Bataillons d'infanterie légère d'Afrique, il combat dans les corps francs en 1939-1940. Démobilisé, il pratique l'extorsion de fonds et commet divers cambriolages, vols et trafics à Paris. Il est réputé avoir fait partie d'un réseau de résistance, mais des doutes subsistent à ce sujet. Arrêté, il est transféré le 16 mars 1943 dans les locaux de la Gestapo française, rue Lauriston où il est sévèrement corrigé, puis livré aux Allemands et déporté à Mauthausen. Son comportement énergique au sein du camp de concentration lui vaut la reconnaissance des autres déportés, dont plusieurs personnalités comme Edmond Michelet qui témoigneront en sa faveur lors de ses nombreux procès. Avec Pierre Loutrel, Abel Danos, Georges Boucheseiche, Raymond Naudy et Marcel Ruard, il fait partie du gang des Tractions Avant. Il est également réputé avoir participé à des opérations au profit du Service de documentation extérieure et de contre-espionnage (SDECE). Arrêté et jugé à plusieurs reprises, il n'est condamné qu'à des peines relativement légères, ce qui lui vaut le surnom de "roi du non-lieu". Il ouvre des cabarets à Paris et Abidjan tout en poursuivant des activités illicites : extorsion de fonds, escroquerie, cambriolages, détention d'armes... Il décède des suites d'un cancer de la gorge en 1972.
Charles Lucien Léandre, né le à Champsecret et mort le à Paris, est un illustrateur, lithographe, caricaturiste, dessinateur, sculpteur et peintre français.
Caricaturiste de journaux illustrés (Le Chat noir, La Vie moderne, Le Figaro, Le Rire, le Grand Guignol), il croqua avec entrain les grands de son époque (la reine Victoria, Clemenceau, Zola et beaucoup d’autres). Selon Théophile Gautier, Charles Léandre savait particulièrement mettre en valeur les « particularités ridicules d’une figure ou d’un individu ». Ses dessins irritent parfois jusqu'à ce que l'on lui conseille plusieurs fois « d’employer son art à des œuvres plus hautes. »
Marc Perrodon, né le à Vendôme (Loir-et-Cher) et mort le à Beauvais (Oise), est un escrimeur français, ayant pour arme le sabre. Médaillé d'argent aux JO de 1920 à Anvers. Cousinage par aimery VII.
- Gaston Alexandre Auguste de Galliffet, né à Paris le et mort dans cette même ville le , est un militaire français du XIXe siècle.
Il est ministre de la Guerre dans le gouvernement de gauche de Waldeck-Rousseau en 1899-1900. Sa carrière ministérielle est marquée par sa volonté de pacifier les esprits pendant l'Affaire Dreyfus. Il a également grandement contribué à réorganiser l'Armée après la guerre franco-allemande de 1870.
Le Massacreur de la Commune
À l'issue de sa captivité, il retourne en France pour commander une brigade de cavalerie de l'armée de Versailles et participe aux opérations contre la Commune où il se distingue par sa férocité envers les insurgés et gagne le surnom du « Marquis aux talons rouges » ou « Massacreur de la Commune » lors de la tragique Semaine Sanglante. Regardant passer les prisonniers communards se dirigeant sur Versailles, « la badine à la main, il sélectionne ses victimes d'une manière absolument arbitraire, sur leur mine ». Un jour, il ordonne : « Que ceux qui ont des cheveux gris sortent des rangs ! » ; 111 captifs s'avancent. « Vous, leur dit-il, vous avez vu juin 1848, vous êtes plus coupables que les autres ! » ; il les fait mitrailler dans les fossés des fortifications.
Marcel Gouzil indique que ces exécutions sommaires ont eu lieu « un dimanche de Pâques dans les fossés de Passy ».
« On estime à 3 000 le nombre de ses victimes, car il s'octroyait un droit de vie ou de mort ; selon son bon plaisir, il « prélevait » sur les convois de prisonniers la dime du sang […]. Ses victimes étaient choisies de préférence parmi les vieillards ou les blessés. »
actes qui inspirèrent à Georges Clemenceau ce mot terrible : « Galliffet n'a pas fusillé de prisonniers depuis plus de vingt ans. Monotone, la vie. Quelles joies nous resteront, bientôt ? ».
- Margaux Hemingway, née Margot Louise Hemingway, le à Portland (Oregon), morte par suicide le à Santa Monica (Californie), est une actrice et mannequin américaine. Elles est la petite fille d'Ernest Hemingway.
- Jean (dit parfois Jean-Marie) Bastien-Thiry, né le à Lunéville, fusillé le au fort d'Ivry, est un ingénieur militaire français, avec rang de lieutenant-colonel de l'Armée de l'air, connu pour avoir organisé et dirigé l'attentat du Petit-Clamart, le , dans le but d'assassiner le général de Gaulle, alors président de la République.
Condamné par un tribunal d'exception, la Cour militaire de justice, Jean Bastien-Thiry est passé par les armes par un peloton de sous-officiers français au fort d'Ivry. Il est le dernier condamné à mort à avoir été fusillé en France.
- François CHAMBORD :
L'affaire de Hautefaye, dite également drame de Hautefaye, est un fait divers criminel survenu le lors d'une foire dans le village de Hautefaye en Dordogne (France), lors duquel Alain de Monéys, un jeune notable des environs, a été frappé puis supplicié et enfin brûlé vif par la foule.
Cette affaire se situe dans le contexte de la guerre de 1870 et des passions exacerbées qu'elle a provoquées dans la population de ce petit village. À la suite d'un simple malentendu, Alain de Monéys a en effet été pris pour un Prussien, ce qui a entraîné son lynchage. Le caractère barbare de l'événement a été encore amplifié par des rumeurs — à la suite de propos attribués au maire — sur des actes de cannibalisme qui auraient été commis par les villageois. Parmi les vingt-et-un accusés de cet assassinat, les quatre principaux responsables ont été condamnés à mort et un autre aux travaux forcés à perpétuité.
Plusieurs ouvrages ont été consacrés à cette affaire. Pour l'écrivain Georges Marbeck, elle symbolise le meurtre ritualisé du bouc émissaire, alors que pour l'historien Alain Corbin, les raisons tiennent davantage à la haine des paysans envers la noblesse.
La victime, Alain Romuald de Monéys d'Ordières, est le fils d'Amédée de Monéys, ancien maire de Beaussac. Il gère le domaine du château de Brétanges situé entre Hautefaye et Beaussac. Célibataire, âgé de 32 ans, il a été, du fait de sa constitution physique, exempté des obligations militaires, et par conséquent de la conscription qui survient en 1870 à la suite de la menace prussienne. Cependant, ayant manifesté le désir de s'engager pour son pays, il a fait lever cette immunité et prévoit de partir bientôt pour le front de Lorraine. Il est membre du conseil municipal de Beaussac depuis 1865 et premier adjoint de la commune. Sa famille possède 80 hectares de terres à Hautefaye. C'est au titre de gérant du domaine qu'il se rend à la foire de Hautefaye le 16 août 1870.
Les principaux responsables du drame, désignés comme tels par la justice, sont des habitants de Hautefaye et des villages voisins, venus à la foire. Il s'agit de : François Chambord, 33 ans, maréchal-ferrant à Pouvrière, localité de la commune de Souffrignac (Charente), située à 9 km de Beaussac (considéré comme le meneur du groupe, il ne connaissait pas personnellement la victime, ce qui est aussi le cas des autres principaux agresseurs) ; Léonard, dit « Piarrouty », 53 ans, chiffonnier à Nontronneau ; Pierre Buisson, dit « Arnaud » ou « Lirou », 33 ans, cultivateur ; François Mazière, dit « Silloux », 29 ans, métayer ; les frères Étienne et Jean Campot, agriculteurs à Mainzac.
Ceux qui tentent de protéger et de défendre Alain de Monéys sont l'abbé Victor Saint-Pasteur, curé de Hautefaye ; Philippe Dubois, scieur de long de Hautefaye ; Georges Mathieu, artisan de Beaussac et neveu de Bernard Mathieu, maire de Hautefaye ; Pascal, le domestique du château de Bretanges.
Édouard de Castelnau, né le à Saint-Affrique (Aveyron) et mort le à Montastruc-la-Conseillère (Haute-Garonne), est un général d'armée français, commandant de groupe d'armées et chef d'État-Major des armées durant la Première Guerre mondiale. Élu député en 1919, président de la Commission de l'armée pendant la législature, il prend ensuite la tête d'un mouvement politique confessionnel, la Fédération nationale catholique. Pendant la Seconde Guerre mondiale, opposé au maréchal Pétain et au régime de Vichy, il soutient la Résistance. Longtemps controversé en raison d'un catholicisme jugé outrancier par ses adversaires, les historiens modèrent très sensiblement ce portrait en soulignant sa très grand loyauté aux institutions républicaines, contestant notamment qu'il ait pu être réactionnaire.
Chant du 20e corps d'armée français en l'honneur du général de Castelnau .
Francis Heaulme, né le à Metz, est un tueur en série français, surnommé le « routard du crime », arrêté par l'adjudant de gendarmerie Jean-François Abgrall en 1992 et reconnu coupable de onze meurtres dans au moins neuf affaires criminelles françaises.
Georges Boulogne, né le 1er juillet 1917 à Haillicourt, Pas-de-Calais, et décédé le 23 août 1999, est un entraîneur et dirigeant de football français.
Carl Blanchet de la Sablière, né le à Quimper et mort le à Gouesnac'h, est un marin français.
Il est sacré champion olympique de voile en épreuve de 8 mètres JI aux Jeux olympiques d'été de 1928 d'Amsterdam.
( Cousinage par Hugues de Thouars (1285 - 1233) et bien d'autres !.)
Antoine de Maximy est un routard, animateur de télévision et réalisateur français né le à Lyon.
Issu d'une famille assez bohème avec deux parents artistes peintres soixante-huitards vivant à Lyon puis à Paris, Antoine de Maximy est l'aîné de quatre enfants. Il redouble sa troisième et arrête ses études de seconde au lycée dont il se fait exclure, puis rejoint les rangs du cinéma des armées comme ingénieur du son pendant trois ans et y fait ses premiers pas dans la réalisation.
De 1980 à 1983, il travaille comme grand reporter pour CBS News. Il est notamment envoyé à Beyrouth pendant la guerre civile, y réalisant un documentaire sur les Casques Bleus. Il couvre aussi la guerre Iran-Irak. Il y découvre son attrait pour l'aventure, le reportage de guerre, le voyage vers l'inconnu.
Mais voyager dans un pays sans le visiter ne lui plaît pas. En 1983, il est engagé par une équipe de la Guilde européenne du raid pour réaliser le film de leur expédition en Amazonie. Après cette expérience, il se dirige alors vers le journalisme scientifique et animalier où aventure, plaisir, culture et fascination sont mêlés, apprenant au fil des expéditions tous les métiers, cadreur, monteur, réalisateur. En 1994, en collaboration avec le réalisateur Jean-Yves Collet et l'aéronaute Dany Cleyet-Marrel, il invente la cinébulle, une montgolfière motorisée biplace de 1 400 ou 1 500 m3, spécialement conçue pour faire des prises de vue aériennes et adoptée par Nicolas Hulot.
Réalisateur, présentateur et cameraman, il s'est rendu dans quatre-vingts pays en vingt ans de carrière. Spécialiste des voyages à l'étranger — actualités internationales, films animaliers et expéditions scientifiques — il a réalisé ou présenté une trentaine de documentaires, dont Animal Zone, Zone sauvage, Un radeau sur la forêt, Les nouveaux mondes et Emmenez-moi sur France 2 (coproduite avec le Guide du Routard), ainsi que Au-delà des dunes et J'irai dormir chez vous sur France 5.
C'est grâce à cette dernière émission qu'il obtient un véritable succès populaire. Doté d'un harnais portatif maintenant une caméra, il voyage seul dans divers pays et se fait héberger chez de parfaits inconnus parmi les autochtones. Généralement, les émissions se déroulent bien avec de belles rencontres et des gens hospitaliers mais Antoine de Maximy a aussi connu plusieurs moments critiques lors de ses reportages : en Bolivie où une fausse policière membre d'un gang tente de lui voler son matériel (la police et les passants interviennent mais de Maximy est contraint de quitter le pays car le gang le recherche), à Sainte-Lucie aux Caraïbes où une fusillade éclate non loin du café où il se trouve, à Inujjuaq au Québec où un Inuit drogué lui casse sa caméra, au Vanuatu où les habitants d'un village l'ont obligé à leur donner de l'argent pour l'héberger ou encore aux États-Unis, lors du Burning Man, lorsqu'après avoir, dans un premier temps, décliné la proposition, il accepte finalement de tester un cookie fourré à la marijuana. En septembre 2016, Il rejoint l'équipe de chroniqueurs de l'émission La Cour des grands, animée par Alessandra Sublet, sur Europe 1.
Le 6 mars 2018, il participe à « La Veillée », événement où des personnes relatent leurs histoires extraordinaires sur scène devant un public. Il y narre sa jeunesse en tant que journaliste à Beyrouth en temps de guerre.
Le 16 mai 2019, Antoine de Maximy présente son projet de long-métrage intitulé J'irai mourir dans les Carpates, dont le tournage est prévu en septembre 2019. Il fait appel au financement participatif, via la plateforme KissKissBankBank, pour financer la production de ce film.
Le comte Robert Jean Marie de La Rochefoucauld, né le à Paris et mort le à Ouzouer-sur-Trézée, est un résistant français de la Seconde Guerre mondiale.
Claude Montcharmont ou Le braconnier du Morvan, né en 1822 à Saint-Prix (Saône-et-Loire) et mort guillotiné en 1851 à Chalon-sur-Saône, est un braconnier auteur d'un double meurtre. Les circonstances de sa mise à mort ont participé à alimenter une controverse sur la peine capitale, notamment par l'intervention de Charles Hugo relayé par la suite par son père Victor Hugo.
Claude Montcharmont est d'abord paysan puis maréchal-ferrant. Il est également chasseur : le prix des permis étant trop cher pour les payer, il chasse sans permis ,devenant donc braconnier. Il est arrêté pour cela et condamné à six mois de prison. Pour échapper à sa peine, il s'enfuit dans les bois où il passe le plus clair de son temps. Le 7 novembre 1850, deux gendarmes d'Autun (Emery et Brouet) sont à Saint-Prix : ils aperçoivent un individu armé (Claude Montcharmont) et le poursuivent. Prenant peur, Montcharmont tire sur les deux gendarmes : Brouet est blessé et Emery est tué. Le 9 novembre 1850, Montcharmont tue le garde champêtre de Saint-Prix, François Gauthey, qu'il tient pour responsable de sa condamnation pour défaut de permis de chasse, de même que pour la mort de son chien de chasse et ses plus nombreuses, bien que minimes, condamnations pour non-respect à la loi lors de ses parties de chasse.
Montcharmont est alors en cavale mais finit par être arrêté le 4 décembre 1850. Son procès débute le 29 mars 1851 à Chalon-sur-Saône. Il est condamné à mort : son exécution est prévue pour le 10 mai 1851. La foule et surtout l'état d'énervement de Montcharmont ne permettent pas de mener à bien l'exécution. C'est donc un bourreau dépêché expressément de Dijon qui se charge de la tâche quelques jours plus tard.
LES COUSINS PAR LA FAMILLE de CHATEAUBRIANT...
- Eugénie de MONTIJO.
María Eugenia Ignacia Agustina de Palafox y Kirkpatrick, 19e comtesse de Teba — dite Eugénie de Montijo —, née le à Grenade (Espagne) et morte le au palais de Liria à Madrid, est une personnalité politique française d’origine espagnole.
Elle est l'épouse de Napoléon III, empereur des Français, et donc impératrice des Français du au .
La régence qu'elle exerça au cours de la guerre de 1870 fait d'elle la dernière femme à avoir gouverné la France avec les prérogatives d'un chef d'État.
- Guy des Cars, écrivain.
- Robert de LA ROCHEFOUCAULD, résistant.
- Jean d'Ormesson, écrivain.
- Guy DEGRENNE
- James HENNESSY
- Hervé de CHARRETTE.
La branche de notre généalogie SANTO DOMINGO, nous offre un cousinage avec:
- La bienheureuse Marie de La Passion de Chappotin.
- Bruno LE MAIRE.
- Hélène de Chappotin
- Charles Marie Augustin de Goyon, militaire et homme politique.
- Charles Paul François de Beauvillers.
La bienheureuse Hélène Marie Philippine de Chappotin de Neuville (en religion: Mère Marie de la Passion), née à Nantes le et décédée à Sanremo (Italie) le , est une religieuse française, fondatrice en 1877 de la congrégation des Franciscaines missionnaires de Marie. Elle a été béatifiée par le pape Jean-Paul II en 2002.
Bruno Le Maire, né le à Neuilly-sur-Seine, est un homme politique français.
Normalien et énarque, il est directeur de cabinet du Premier ministre Dominique de Villepin entre 2006 et 2007 puis est élu député UMP dans l'Eure à partir de cette dernière année.
Il occupe ensuite les fonctions de secrétaire d'État aux Affaires européennes de 2008 à 2009, puis de ministre de l'Agriculture pendant près de trois ans au sein des deuxième et troisième gouvernements de François Fillon. Il est de nouveau élu député en 2012 et brigue sans succès la présidence de l'UMP en 2014 face à Nicolas Sarkozy. Il se présente à la primaire de la droite et du centre en vue de l'élection présidentielle de 2017, obtenant 2,4 % des voix.
En , il devient ministre de l'Économie dans le gouvernement Édouard Philippe, sous la présidence d'Emmanuel Macron. Son portefeuille est élargi aux Finances le mois suivant, dans le second gouvernement Philippe. Sa principale réforme, en tant que ministre de l'Économie, est la loi relative à la croissance et la transformation des entreprises adoptée en avril 2019.
Avec la branche de BEAUREPERE, nous découvrons un cousinage avec le chanteur lyrique basque français Rudy HIRIGOYEN.
Né au Pays basque, à Mendionde, le , Rudy Hirigoyen suit ses parents à Paris en 1927. Il débute dans la vie active comme chasseur à l'hôtel Georges V, puis exerce comme coiffeur durant quatre années. En 1938 il remporte deux radio-crochets, et, l'année suivante, sans formation musicale, se classe premier au concours de l'Opéra et de l'Opéra-Comique avec un air de La Bohème de Puccini (Que cette main est froide), devant cent concurrents. Ce succès l'encourage à aborder une carrière de chanteur. Rudy Hirigoyen est alors un jeune homme fringant, de petite taille mais robuste, avec un sourire franc comme l'or.
Mobilisé en 1939, il est fait prisonnier, puis libéré en 1941. Choriste au Théâtre du Châtelet, il se fait bientôt connaître en soliste. En 1944, il connait ces premiers succès : Ma belle au bois dormant, Au jardin de mon cœur, Pastourelle à Nina. Déjà, un certain Luis Mariano lui fait rude concurrence. En 1947 Rudy succède à ce même Luis Mariano dont il reprend La Belle de Cadix, de Francis Lopez, au Casino-Montparnasse d'abord puis en province. Rudy sera de fait le remplaçant officieux de Mariano, notamment avec Andalousie, le Chanteur de Mexico et le Secret de Marco-Polo. Marianistes et hirigoyennais sont alors en guerre déclarée mais c'est une guerre pour de rire à l'image des deux intéressés qui s'estiment beaucoup tout en ne se croisant guère ! Rudy recrée ensuite Le Brigand d'amour (1951), Les Caprices de Vichnou (1951) au Théâtre de l'Étoile et, plus tard, Méditerranée (1964) au Théâtre du Châtelet. En marge de ces reprises, il assure également des créations : Pour toi (musique de Georges Dherain), Maria-Flora (musique d'Henri Betti, 1957) au Théâtre du Châtelet, et surtout Viva Napoli (musique de Francis Lopez, 1970) au Théâtre Mogador. Jusqu'en 1987, il parcourt l'Europe interprétant des ouvrages de Francis Lopez (La Toison d'Or, La Route fleurie, Le Prince de Madrid, Gipsy). Sa dernière création est une opérette de Francis Lopez, Fandango, présentée en 1987 à l'Élysée-Montmartre.
Ce qui semble avoir manqué à Rudy Hirigoyen pour avoir la même réputation que Luis Mariano, Georges Guétary ou André Dassary, est un grand succès auquel son nom eût pu être attaché. Il fit de belles créations mais pas un “tube”.
Sans doute, Rudy Hirigoyen toucha-t-il son sommet personnel en assurant, en 1947, à la Gaîté-Lyrique, avec élégance et une rare chaleur, la première reprise française de l'opérette de Franz Lehar : le Pays du sourire.
Rudy Hirigoyen a tourné également plusieurs films musicaux comme L'Auberge en folie en 1953, avec des chansons signées par Henri Betti, Paul Bonneau, Francis Lopez, Rolf Marbot et André Salvet.
Sa voix de ténor montait dans l'aigu avec une grande aisance et il pouvait tenir sur une longue durée. Cette légèreté doublée de souplesse compensa un manque de puissance à l'émission (les voix légères sont de toute façon rarement puissantes ) et autorisa le chanteur à n'être jamais “criard”.
Dans les années 1980, il accepte de donner des leçons de chant à la Cité des Artistes, rue Ordener, Paris 18e mais il n'a pas la pédagogie indispensable. En revanche, sa générosité humaine et artistique s'impose. Rudy Hirigoyen offre son exemple, indubitable, et sa "clientèle" y puise l'enseignement voulu.
Enfin, il quitte Versailles pour s'installer à la Croix-Rousse à Lyon, où il finira ses jours à 81 ans. Président d'honneur des Amis du Théâtre d'opérette de Lyon, il y soutient constamment la pérennité de l'art de l'opérette. Après sa disparition, a été créé L'association des Amis de Rudy Hirigoyen qui publie ses souvenirs : Ma vie d'opérette. Marié trois fois, il laisse sa femme Sylviane et une fille, Valérie.
Un cousin beaucoup plus proche de Janick :
Michel Pécheux (1911 - 1985) était un escrimeur français. Membre de l'équipe de France d'épée, il fut à plusieurs reprises médaillé lors des Jeux olympiques et des Championnats du monde. Il a été médaillé d'or aux Jeux Olympiques de 1948 à Londres.
Marie Anne Charlotte de Corday d’Armont, retenue par l'Histoire sous le nom de Charlotte Corday (elle-même toutefois se faisait désigner et signait sa correspondance de son premier prénom Marie), née le à Saint-Saturnin-des-Ligneries1 près de Vimoutiers dans le pays d'Auge, guillotinée le à Paris, est une personnalité de la Révolution française, célèbre pour avoir assassiné Jean-Paul Marat le 13 juillet 1793.
Dominique Lavanant est une actrice française de cinéma et de théâtre, née le à Morlaix, dans le Finistère (France).
Son père, électricien, se noie en mer alors qu'elle n'avait que 2 ans. En compagnie de son frère, elle est alors élevée dans le plus grand dénuement par sa mère devenue veuve à 23 ans. Sa mère se remarie 11 années plus tard avec un cardiologue de Morlaix avec lequel elle a une fille.
De ses 14 ans jusqu'à ses 21 ans, elle passe l'ensemble de ses vacances en Angleterre au couvent des Filles de la Croix, fondé par sa grand-tante et se familiarise avec la langue anglaise.
Au milieu des années 1960, elle quitte la Bretagne pour Paris où elle s'inscrit en faculté de Langues à la Sorbonne mais retourne dans sa région natale à la suite des événements de mai 68. Durant cette période, elle découvre le théâtre et entreprend de suivre les cours d'art dramatique de Tania Balachova et Andréas Voutsinas, cours que suit aussi Josiane Balasko. En 1976, elle rejoint la troupe du Splendid pour la pièce de café théâtre Amours, coquillages et crustacés. Parallèlement, elle obtient ses premiers seconds rôles au cinéma dans Calmos, Diabolo menthe et surtout Les Galettes de Pont-Aven aux côtés de Jean-Pierre Marielle. Le succès arrive en 1978 avec Les Bronzés, adaptation de la pièce du Splendid Amours, coquillages et crustacés. L'année suivante, bien que son rôle soit moins important, le couple qu'elle forme avec Maurice Chevit dans Les Bronzés font du ski reste dans les mémoires. En 1980, elle partage l'affiche avec Coluche dans Inspecteur la Bavure, puis elle retrouve sa camarade Josiane Balasko dans Les Hommes préfèrent les grosses et La Smala. Dans la comédie d'aventures Le Léopard, elle tient la vedette aux côtés de Claude Brasseur. Elle continue principalement d'interpréter des seconds rôles, dont trois vont lui valoir une nomination aux Césars (Courage fuyons, Trois hommes et un couffin et Quelques jours avec moi de Claude Sautet). Elle finit par obtenir ce César du meilleur second rôle en 1988 pour Agent trouble. Elle se distingue successivement chez Jean-Pierre Mocky (Y a-t-il un Français dans la salle ?), Jean-Marie Poiré (Papy fait de la résistance), André Téchiné (Rendez-vous) et Jean-Luc Godard (Soigne ta droite).
En 1988, elle décroche le rôle d'Imogène dans une série télévisée de TF1. Elle incarnera ce rôle qui la rendra très populaire jusqu'en 1996.
Au théâtre, son ami Michel Blanc la dirige dans une pièce de Françoise Sagan, puis elle joue avec Pierre Palmade Ma sœur est un chic type. En 1998, elle joue dans Une douche écossaise de Philippe Collas et Éric Villedary, une comédie à succès grâce à laquelle elle rencontre Danielle Darrieux. On retrouvera les deux actrices en 2001 dans La Valse à Manhattan, avec moins de succès. Les deux femmes deviendront très amies.
En septembre 2002, elle revient à la télévision, toujours sur TF1, dans Sœur Thérèse.com, un personnage créé pour elle par son complice Michel Blanc. Fort succès d'audience pour la série pendant dix ans et nouveau regain de popularité pour Dominique Lavanant qui s'installe dans les foyers français.
À la fin de la série, elle se fait plus discrète. On la voit néanmoins dans la comédie à succès Paulette en 2012, puis Jean-Pierre Mocky lui offre un beau rôle dans Le Renard jaune l'année suivante.
Joachim du Bellay ou Joachim Du Bellay est un poète français né vers 1522 à Liré en Anjou et mort le à Paris. Sa rencontre avec Pierre de Ronsard fut à l'origine de la formation de la Pléiade, groupe de poètes pour lequel du Bellay rédigea un manifeste, la Défense et illustration de la langue française. Son œuvre la plus célèbre, Les Regrets, est un recueil de sonnets d'inspiration élégiaque puis satirique et finalement encomiastique écrit à l'occasion de son voyage à Rome de 1553 à 1557.
Cousinage (comme pour Dominique Lavanant) par la branche de ROSTRENEN de notre généalogie.
Olivier Marie Emmanuel de Benoist de Gentissart, appelé Olivier de Benoist, est un comédien, humoriste et magicien français né le à Reims.
J'ai déjà publié un article sur ce cousinage avec les champions cyclistes Louison et Jean Bobet en août 2017... Nous avons de nombreux ancêtres en commun dans la région de Pacé (35). (par la branche Mainguy - fleuridas).
Louis Bobet, dit Louison Bobet, né le à Saint-Méen-le-Grand (Ille-et-Vilaine) et mort le (à 58 ans) à Biarritz (Pyrénées-Atlantiques), est un coureur cycliste français. Professionnel de 1947 à 1961, il est considéré comme l'un des plus grands coureurs de l'histoire du cyclisme et possède l'un des palmarès les plus riches de son sport.
Triple vainqueur du Tour de France entre 1953 et 1955, il est le premier coureur à remporter l'épreuve trois fois consécutives. Champion du monde en 1954, Champion de France en 1950 et 1951, il inscrit également son nom au palmarès des plus grandes classiques : Milan-San Remo et le Tour de Lombardie en 1951, le Tour des Flandres en 1955, Paris-Roubaix en 1956 et Bordeaux-Paris en 1959. Il compte aussi une victoire sur le Critérium du Dauphiné libéré, Paris-Nice et le Grand Prix des Nations. En 1957, il perd le Tour d'Italie pour dix-neuf secondes. Au total, il compte 122 victoires professionnelles.
Coureur intelligent et consciencieux, « héros prométhéen » selon Roland Barthes, il jouit d'une immense popularité au cours de sa carrière. Le public salue la volonté, le panache et le courage du coureur breton. Préparant minutieusement chacun de ses objectifs, il s'applique à suivre des règles diététiques strictes et des méthodes d'entraînement novatrices, inspiré en cela par les coureurs italiens comme Fausto Coppi et accompagné par son masseur Raymond Le Bert. Il reste fidèle à la formation régionale Stella jusqu'en 1954, avant de rejoindre l'équipe Mercier, firme avec laquelle il crée une marque à son propre nom, puis court sa dernière saison au sein de la formation italienne Ignis.
Sa carrière sportive s'achève à la fin de l'année 1961 lorsqu'il est victime d'un accident de voiture avec son frère Jean Bobet, entraînant plusieurs fractures du fémur et de la cheville. Il se reconvertit dans la thalassothérapie et ouvre le premier institut moderne de ce genre à Quiberon, en 1964. Il développe son entreprise et se consacre également à sa passion pour l'aviation en passant ses brevets de pilote. Quinze ans plus tard, il ouvre un nouveau centre à Biarritz où il meurt d'un cancer, à l'âge de 58 ans.
Jean Bobet est un coureur cycliste français né le à Saint-Méen-le-Grand. Sa reconversion s’est faite dans le journalisme sportif. Il a également publié des livres consacrés au sport cycliste.
Il est le frère cadet de Louison Bobet.
Une surprise qui nous arrive par la généalogie de Jeanne du CHASTEL (1355 - 1400)... Un cousinage avec SISSI.
Élisabeth de Wittelsbach, duchesse en Bavière puis, par son mariage, impératrice d'Autriche et reine de Hongrie, est née le à Munich, dans le royaume de Bavière, et morte assassinée le à Genève, en Suisse. Elle est en partie à l'origine du compromis austro-hongrois de 1867. Ne pouvant s'adapter à la vie de la cour, elle passe une grande partie de son existence à voyager.
Elle est universellement connue sous son surnom « Sissi », en référence aux films d'Ernst Marischka (qui révèlent la comédienne Romy Schneider dans le rôle)
Jacques Mareuil (de son vrai nom Xavier Jean Andre, né le à Brest et mort le à Mougins) est un acteur, auteur, et parolier français.
Julien François Tanguy, dit le père Tanguy, est un marchand de couleurs, né à Plédran en Bretagne, le et mort à Paris, le . Sa boutique, 14, rue Clauzel à Paris, fut un lieu essentiel du développement de l'impressionnisme, le père Tanguy comptant parmi les premiers collectionneurs et marchands de tableaux des peintres impressionnistes.
Julien Tanguy joue un rôle essentiel dans l'histoire de l'impressionnisme. D'abord ouvrier plâtrier, il devient charcutier après avoir épousé, à Saint-Brieuc, la charcutière Renée Briend originaire d'Hillion, le 23 avril 1855. En 1860, il monte à Paris et travaille au Chemin de fer de l'Ouest. En 1865, il devient ouvrier broyeur de couleurs, puis marchand de couleurs, rue Clauzel. En 1868, il ouvre son propre commerce ambulant, vendant aussi bien à Barbizon qu'à Argenteuil, mais, dès 1870, il adjoint au commerce de matériel la vente de tableaux.
Membre de la Commune, Julien Tanguy est arrêté emprisonné au camp de Satory, puis déporté à Brest après être passé devant le conseil de guerre. L'intervention du peintre académique et membre du conseil municipal de Paris, Félix Jobbé-Duval, lève la condamnation et lui permet de revenir à sa boutique, au 14, rue Clauzel. Cependant, le père Tanguy resta toute sa vie un adepte de la Commune et des théories anarchistes qu'il partageait avec Pissarro.
Figure paternelle et bienveillante, le « père Tanguy » compte parmi ses clients le docteur Paul Gachet, les peintres Pissarro, Monet, Renoir, Gauguin, Guillaumin, Lautrec, van Gogh et Vignon, dont il expose et vend les toiles. Les peintres et critiques intéressés par l'impressionnisme et surtout, plus tard, par les œuvres de Paul Cézanne, viennent voir ses collections dans l'arrière-boutique. C'est dans ce modeste lieu que se croiseront van Gogh et Cézanne ; Émile Bernard décrit la boutique de Tanguy comme un lieu de naissance du mouvement symboliste et, par extension, de l’école de Pont-Aven.
Il vend des couleurs aux artistes, en donne également, partageant à l'occasion son repas. Julien Tanguy reçoit aussi en dépôt des toiles qu'il est chargé de vendre.
À sa mort, ses collections sont vendues par ses amis, pour sa veuve, à l'Hôtel Drouot, le 2 juin 1894. Octave Mirbeau rend hommage au père Tanguy dans L'Écho de Paris, le 13 février 1894.
Deux portraits du Père TANGUY : ci-dessus celui de Vincent Van Gogh et ci-dessous celui d'Emile BERNARD (1868-1941).
Jos Le Doaré, pseudonyme de Joseph Le Doaré, né le à Châteaulin et mort le dans la même ville, est un photographe et éditeur français.
Il est le fondateur de la maison d'édition photographique JOS à Châteaulin.
Nous avons énormément d'ancêtres communs avec la généalogie de Jos Le Doaré, entre autres sur la commune de Loc Envel (22) près le Plougonver.
Caroline Tresca, née Marie-Caroline d'Indy le à Angers (Maine-et-Loire), est une animatrice et productrice de télévision et de radio, ainsi qu'une comédienne française de cinéma, de télévision et de théâtre. Elle est l'ex-femme de Roland Tresca, et l'ex-compagne de l'acteur Philippe Caroit. Aujourd'hui, elle se consacre essentiellement à son métier de peintre et de sculpteur et possède sa propre galerie d'art à Paris. Elle est également écrivaine.
Caroline Tresca naît le à Angers. Elle est l'arrière-petite-fille du compositeur Vincent d'Indy. En 1980, elle obtient une maîtrise universitaire en droit.
Après avoir effectué le tour du monde en 1981, elle se lance dans le mannequinat de 1982 à 1986. Ensuite, elle suivra des cours d'improvisation au Centre Américain de Paris, institution qui a compté parmi ses débutants en classe théâtrale Jacques Higelin ou encore Bulle Ogier.
Dans les années 80, elle sera la partenaire et l'assistante du magicien Gilles Arthur. On la verra le plus souvent dans les numéros de grandes illusions tel que la femme zig-zag.
Elle met fin à sa carrière de mannequin alors qu'elle débute à la télévision, sur FR3, en présentant des émissions telles que Télé Caroline, Chapiteau 3 et Dadou Babou ou 40° à l'ombre de la 3.
L'année de ses débuts à la télévision, en 1986, représente aussi pour elle, son seul rôle dans un long métrage au cinéma, celui d'Évelyne, offert par Max Pécas dans Deux enfoirés à Saint-Tropez. Elle rencontra Max Pécas et son alter-égo Claude Mulot à l'occasion d'une émission de 40° à l'ombre de la 3 en 1986, et à l'époque, elle pensait faire une brillante carrière au cinéma. Mais le film fut un navet, descendu par la critique (comme tous les précédents films de Max Pécas), et d'emblée, sa carrière au cinéma ne décollera pas, car les producteurs et réalisateurs hésitaient à engager des débutants qui avaient commencé leurs carrières avec ce réalisateur. Son choix était en fait précipité, sans porter de jugement sur la qualité des réalisation de Max Pécas.
Elle songera à partir de cette période à se tourner plutôt vers la production, et à proposer des concepts de programmes. C'est à partir de 1990 que, toujours sur FR3, elle va produire et animer deux émissions : Ce soir ou jamais et de 1991 à 1993, À vos amours, diffusé le dimanche à 18 h 15.
Ces années passées à la télévision ont été ponctuées, en 1989, par le Sept d'or du meilleur animateur de télévision.
Elle cesse ensuite, et de manière quasi définitive, l'animation et la production télé, pour se consacrer à la radio, où elle présentera la tranche info 7-9 heures sur Europe 1. Cela lui vaudra le prix Galère d'or, de la meilleure animatrice radio France.
De 1993, à 1999, elle joue dans une dizaine de téléfilms comme Les Grandes Personnes de Daniel Moosmann en 1995, ainsi que dans des séries télévisées comme Les Alsaciens ou les Deux Mathilde de Michel Favart. Ces quelques années passées devant la caméra en tant qu'actrice lui ont permis de jouer aux côtés de Francis Huster, François Berléand, Annie Girardot ou encore Line Renaud.
C'est vers la fin des années 1990 qu'elle arrête son métier d'actrice, pour celui de comédienne de théâtre. Elle jouera dans 8 pièces dont Madame Doubtfire au Théâtre de Paris.
Elle poursuit sa carrière de comédienne avec, notamment, la pièce La Règle de trois de Bruno Druart, mise en scène par Jean-Pierre Dravel et Olivier Macé, jouée en 2010 à travers toute la France.
Le , elle est invitée par Patrick Sébastien sur son émission Le Plus Grand Cabaret du monde3
Elle a été la compagne de l'acteur Philippe Caroit jusqu'en 2008.
Elle reste l'une des animatrices télé emblématiques de la fin des années 1980 et du début des années 1990.
En 2010, elle est contactée par France 2 pour coanimer les Victoires de la musique 2010.
Elle est également réalisatrice de documentaires et reportages pour France 2, ainsi que nouvelliste et auteur de romans pour enfants.
En 2012, elle se consacre pleinement à son métier de peintre et sculpteur. Elle possède des expositions permanentes à la Galerie Martine Moisan, à Paris, ainsi qu'à Toulouse et L'Isle-sur-la-Sorgue.
Du 18 au 24 mars 2013, elle est la maîtresse de cérémonie de la troisième édition du Festival 2 cinéma de Valenciennes. Au mois de septembre de la même année, l'artiste inaugure sa propre galerie d'art, la Galerie Caroline Tresca dans le 6e arrondissement de Paris (rue Servandoni).
Elle est mère de trois enfants, deux filles et un garçon.
(cousinage par Alain IX de Rohan et Marguerite de Montfort).
Laure Marsa Frédérique de Clermont-Tonnerre (abrégé en Laure de Clermont), née le 26 juillet 1983 à Paris, est une comédienne et réalisatrice française.
(cousinage par Alain IX de Rohan et Marguerite de Montfort).
Pierre Jonquères d'Oriola, né le 1er février 1920 à Corneilla-del-Vercol (département des Pyrénées-Orientales, France) et mort le 19 juillet 2011 à l'âge de 91 ans dans sa propriété de Corneilla-del-Vercol, est le cavalier français le plus titré aux Jeux olympiques, en saut d'obstacles.
La médaille d'or aux Jeux olympiques de 1964 de Pierre Jonquères d'Oriola fut qualifiée de Bijou de famille avec monture par Antoine Blondin car la France qui n'avait pas encore remporté de médaille d'or lors de ces jeux olympiques, a dû attendre la toute dernière épreuve pour cela… Ses premières compétitions équestres remontent à l'âge de 12 ans, soit dès 1932. Il est alors interne au collège militaire de Sorèze, dans le Tarn, de 1935 à 1938.
(cousinage par Alain IX de Rohan et Marguerite de Montfort).
François-Marie Luzel ( Plouaret - Quimper), également connu sous la forme bretonne de son nom Fañch an Uhel, est un folkloriste breton, et également un poète en langue bretonne.
l naquit au manoir de Keramborgne, qui faisait alors partie de la commune trégorroise de Plouaret dans la section qui constitue maintenant la commune du Vieux-Marché (Côtes-d'Armor). Son père François et sa mère Rosalie Le Gac étaient des paysans enrichis sous la Révolution et c'est à Keramborgne que Luzel assista aux veillées qui étaient le moyen de délassement le plus courant des gens de la campagne, surtout en hiver. L’un de ses amis d’enfance est le futur peintre Yan' Dargent.
Grâce à son oncle Julien-Marie Le Huërou, qui y était professeur, il put aller au collège royal de Rennes et y passer son baccalauréat. Il y avait pour condisciples le futur historien Arthur de La Borderie et Émile Grimaud qui fut secrétaire de rédaction de la Revue de Bretagne et de Vendée.
Il caressa l'idée de devenir médecin de marine et alla pour cela étudier à Brest. Il fut un temps juge de paix à Daoulas, puis journaliste à Morlaix Il bifurqua ensuite vers le professorat, mais sans parvenir à trouver un poste fixe, ce qui l'amena à une vie nomade. La rencontre avec Adolphe Orain, folkloriste de Haute-Bretagne, son sens des relations, et surtout l'appui d'Ernest Renan, lui permirent d'obtenir plusieurs missions annuelles du ministre de l'Instruction publique pour la recherche de vieux textes littéraires en Basse-Bretagne. Il devint enfin conservateur des archives départementales du Finistère à Quimper.
Il réussit à collecter un énorme corpus de chants, contes, légendes et pièces de théâtre et put en faire la matière de plusieurs livres. L'essentiel de cette abondante collecte se fit dans tout le Trégor. Marguerite Philippe (en breton : Marc'harit Fulup) est la plus connue des personnes dont il a collecté la mémoire.
Cependant, l'une de ses premières publications, lui qui allait être réputé pour la collecte de contes, fut un recueil de poèmes personnels en 1865, Bepred Breizad, en breton avec traduction française. Il y célèbre la Bretagne, son peuple et sa langue. (En 1943 paraîtra un autre livre, Ma c'horn bro, regroupant un choix de poèmes écrits tout au long de sa vie).
En 1868, il commence à publier les résultats de ses collectes. Il trace le plan de publication dans la préface du premier volume : d'abord les Gwerziou (« Chants » ou complaintes), puis les Soniou (« Chansons »), dans une édition bilingue dont la traduction en français est au plus près du texte. Après le premier volume en 1868, le second volume de gwerziou parait en 1874. Puis Luzel se consacre à la publication des Contes et Récits populaires des Bretons armoricains, en traduction française seulement. Le recueil bilingue de Soniou ne parait qu'en 1890, avec la collaboration d'Anatole Le Braz qui rédige la préface, état des lieux et histoire du recueil des poésies populaires.
Portrait de LUZEL par Yan'Dargent, Musée des Beaux Arts de Morlaix..
Richard Virenque est un coureur cycliste français, né le à Casablanca (Maroc) , et actif de 1991 à 2004. Il est connu pour ses qualités de spécialiste de la montagne et de coureur charismatique, mais aussi pour son implication dans un scandale de dopage retentissant, l'affaire Festina, qui éclate en 1998.
Spécialiste du Tour de France, il a été un des plus jeunes porteurs du maillot jaune en 1992. Il est le coureur du Tour de France ayant remporté le plus de fois le maillot à pois du meilleur grimpeur, qu'il a endossé à 7 reprises (1994 à 1997, 1999, 2003 et 2004). Il a également remporté 7 étapes du Tour de France, qu'il a terminé deux fois sur le podium, en 1996 et 1997.
(cousinage par Renée LE BOURVA en 1610 à Brélévenez).
Anjela Duval (à l'état-civil Marie-Angèle Duval), née le au Vieux-Marché, près de Plouaret (Côtes-du-Nord) et morte le à Lannion (Côtes-d'Armor), est une poétesse bretonne.
Elle est la fille unique d'une famille de cultivateurs, et avait repris la ferme (son père mourut en 1941, sa mère en 1951). Elle était, en effet, leur fille unique, car sa sœur aînée Maia (morte à dix ans, mais restée présente dans certains poèmes) ainsi qu'un frère (Charles) étaient décédés avant sa naissance. Seule, car elle était restée célibataire (à cause de son refus obstiné de suivre dans l'« exil » l'homme qu'elle aurait aimé, un marin qu'elle fréquenta alors, en 1924-1926 dit-on). C'est une paysanne pauvre et simple qui écrit ses poèmes après sa rude journée de travail aux champs sur un cahier d'écolière dans sa petite maison du Vieux-Marché à Traoñ an Dour, hameau isolé.
Elle lisait le breton depuis très jeune, mais ne s'est mise à l'écrire que dans les années 1960. Elle n'a fréquenté l'école, chez les sœurs dans la commune voisine de Trégrom, que de huit à douze ans (1917) ; mais, victime d'une maladie des os, elle a ensuite suivi quelques cours par correspondance pour les jeunes filles du milieu rural. Elle maniait donc assez bien le français, alors qu'elle avait appris le catéchisme en breton, comme c'était alors la règle.
S'étant mise en quête de quelques revues en langue bretonne, on lui avait indiqué Ar Bed Keltiek, revue généraliste dirigée par Roparz Hemon.
Elle collabora à cette revue, ce qui était exceptionnel pour une paysanne. Selon d'autres sources, on doit à l'abbé Marsel Klerg, directeur de la revue catholique Barr-heol, de l'avoir découverte.
Gilles Servat, qui apprit en grande partie le breton à Traoñ an Dour, lui consacra une chanson justement intitulée Traoñ an Dour. Gilles Servat raconte que quand on lui disait que l'on comprenait le breton sans le parler, elle répondait pour plaisanter : « comme mon chien… ».
Elle s'était fait connaître du public français par l'émission d'André Voisin Les Conteurs , en 1971.
Ses œuvres complètes (sous le titre Oberenn glok), ont paru en 2000. Tirées en 1000 exemplaires et rapidement épuisées, elles ont été rééditées en 2005, à l’occasion du centième anniversaire de sa naissance.
En 2011, à l'occasion du trentième anniversaire de sa mort, l'association Chas plasenn Anjela-Duval organise une collecte de fonds afin d'ériger un granite à son effigie, sur la place du Vieux-Marché, une œuvre de Roland Carrée.
(Cousinage par Pierre LE GOFFIC à Brelevenez, 1619 -1686).
Statue d'Anjela DUVAL à Plouaret (22)
Philippe de Dieuleveult, né le à Versailles et disparu le aux environs d'Inga, au Zaïre, est un reporter et animateur de télévision français. De 1981 à 1985, il coanima sur Antenne 2 la célèbre émission de jeu télévisé française La Chasse aux trésors où, chaque semaine, il incarnait le rôle du journaliste-aventurier, prêt à tous les exploits aux quatre coins du monde. Sa disparition au Zaïre reste controversée et sujette à plusieurs hypothèses.
(Cousinage par Guillaume de Ploeuc et Marguerite du Chastel).
Sara Marie Henriette Bernhardt dite Sarah Bernhardt est une actrice française, née à Paris le 22 ou et morte dans la même ville le . Elle est considérée comme une des plus importantes actrices françaises du XIXe siècle et du début du XXe siècle.
Appelée par Victor Hugo « la Voix d'or », mais aussi par d'autres « la Divine » ou encore « l 'Impératrice du théâtre », elle est considérée comme une des plus grandes tragédiennes françaises du XIXe siècle. Première « star » internationale, elle est la première comédienne à avoir fait des tournées triomphales sur les cinq continents, Jean Cocteau inventant pour elle l'expression de « monstre sacré ».
Georges Guynemer (prononcé [ɡinmɛʁ]), né le à Paris (16e arrondissement) et mort au combat le à Poelkapelle (Belgique), est l'un des pilotes de guerre français les plus célèbres de la Première Guerre mondiale.
Capitaine dans l'aviation française, il remporte 53 victoires homologuées, plus une trentaine de victoires probables en combat aérien. Volant sur différents types de Morane-Saulnier, de Nieuport, de SPAD (VII, SPAD XII canon, SPAD XIII). Fait notable, il survit huit fois après que son avion a été abattu. Il est affecté durant sa carrière à l'escadrille Numéro 3 (MS 3, N 3 puis SPA 3), dite « Escadrille des Cigognes », unité de chasse la plus victorieuse des ailes françaises entre 1914 et 1918.
Sa devise est « Faire face » et ses avions sont habituellement peints en jaune et baptisés « Vieux Charles ». Sa postérité vaut à Georges Guynemer de devenir le héros emblématique de l'École de l'Air, à Salon-de-Provence.
(Cousinage à partire de Charles de Maure et de ses parents François de Maure et Hélène de Rohan).
Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord, communément nommé Talleyrand, est un homme d'État et diplomate français, né le à Paris, mort dans cette même ville le .
Issu d'une famille de la haute noblesse, souffrant d'un pied bot, il est orienté par sa famille vers la carrière ecclésiastique en vue de lui permettre de succéder à son oncle, l'archevêque de Reims : ordonné prêtre en 1779, il est nommé en 1788 évêque d'Autun. Il renonce à la prêtrise et quitte le clergé pendant la Révolution pour mener une vie laïque.
Talleyrand occupe des postes de pouvoir politique durant la majeure partie de sa vie et sous la plupart des régimes successifs que la France connaît à l'époque : il est notamment agent général du clergé (1787) après avoir été l'adjoint de l'abbé Mannay nommé à ce poste en 1780, puis député aux États généraux sous l'Ancien Régime, président de l'Assemblée nationale et ambassadeur pendant la Révolution française, ministre des Relations extérieures sous le Directoire, le Consulat puis sous le Premier Empire, président du gouvernement provisoire, ambassadeur, ministre des Affaires étrangères et président du Conseil des ministres sous la Restauration, ambassadeur sous la Monarchie de Juillet. Il assiste aux couronnements de Louis XVI (1775), Napoléon Ier (1804) et Charles X (1825).
Il intervient fréquemment dans les questions économiques et financières, pour lesquelles son acte le plus fameux est la proposition de nationalisation des biens du clergé. Toutefois, sa renommée provient surtout de sa carrière diplomatique exceptionnelle, dont l'apogée est le congrès de Vienne. Homme des Lumières, libéral convaincu, tant du point de vue politique et institutionnel que social et économique, Talleyrand théorise et cherche à appliquer un « équilibre européen » entre les grandes puissances.
Réputé pour sa conversation, son esprit et son intelligence, il mène une vie entre l'Ancien Régime et le XIXe siècle. Surnommé le « diable boiteux » et décrit comme un traître cynique plein de vices et de corruption ou au contraire comme un dirigeant pragmatique et visionnaire, soucieux d'harmonie et de raison, admiré ou détesté par ses contemporains, il suscite de nombreuses études historiques et artistiques.
(Cousinage à partire de Charles de Maure et de ses parents François de Maure et Hélène de Rohan).
Rainier Louis Henri Maxence Bertrand Grimaldi voit le jour le le 31 mai 1923 à Monaco, fils de la princesse Charlotte de Monaco et du prince Pierre, comte de Polignac. Ses parents se séparent après quelques années de mariage et Rainier grandit au Palais avec sa soeur aînée, Antoinette. Un précepteur est chargé de leur instruction puis Rainier poursuit sa scolarité en Angleterre, en Suisse avant un passage par l'Ecole de Sciences Politiques de Paris. Auprès de son grand-père, le prince souverain Louis II de Monaco, il se familiarise avec les rudiments du métier de souverain. Puis en septembre 1944, il s'engage comme volontaire dans l'armée française et reçoit en 1947 la Légion d'honneur et la Croix de guerre. A la mort de Louis II en mai 1949, Rainier succède à son grand-père – sa mère avait abdiqué en sa faveur dès 1944 – et Monaco célèbre l'avènement de son nouveau souverain, Rainier III, le 19 novembre 1949.
Rainier de Monaco, tout au long de son règne, s'évertue à hisser le Rocher sur la scène politique internationale. En 1962, suite au conflit qui l'oppose un temps au Général de Gaulle, il établit une nouvelle Constitution qui instaure une monarchie constitutionnelle et donne le droit de vote aux femmes. Surnommé le prince bâtisseur, Rainier pose la première pierre du quartier de Fontvieille, construit sur la mer, en juin 1981. Monaco devient membre de l'ONU en mai 1993, puis membre du Conseil de l'Europe en 2004. Parallèlement, le souverain rythme le calendrier de la vie monégasque et crée des évènements culturels. En 1961, le premier Festival de la Télévision de Monte-Carlo est organisé. En 1966, la Fondation Prince Pierre de Monaco, qui décerne un prix littéraire, un prix d'art contemporain et un prix de composition musicale, voit le jour. Passionné de cirque, le prince lance le premier Festival du cirque de Monte-Carlo en décembre 1974. En 1997, il célèbre le 700e anniversaire de règne des Grimaldi sur le Rocher, et deux ans plus tard il fête les 50 ans de son règne.
Côté vie privée, Rainier de Monaco épouse l'actrice américaine Grace Kelly le 19 avril 1956 devant les caméras du monde entier. Ce mariage princier est le plus médiatisé de l'époque. La naissance de leurs trois enfants – Caroline (née le 23/01/1957), Albert (né le 14/03/1958) puis Stéphanie (née le 01/02/1965) – qui reçoivent une éducation moderne, contribue à la popularité du couple princier. La famille passe ses week-ends loin de l'exposition médiatique dans sa résidence de Roc Agel sur les hauteurs de Monaco. Mais en septembre 1982, la princesse Grace décède dans un tragique accident de la route. La santé de Rainier de Monaco décline à partir de 1994, et il délègue progressivement le pouvoir à son fils Albert. Après 56 ans de règne, Rainier de Monaco meurt le 6 avril 2005 au centre cardio-thoracique de la Principauté.
(Cousinage à partire de Charles de Maure et de ses parents François de Maure et Hélène de Rohan).
Michel Aumont, né le à Paris et mort le à Paris, est un acteur français, sociétaire honoraire de la Comédie-Française.
(Cousinage par Eudes et Etienne de Penthièvre)
François-René, vicomte de Chateaubriand, né à Saint-Malo le et mort à Paris le , est un écrivain, mémorialiste et homme politique français. Il est considéré comme l'un des précurseurs du romantisme français et l'un des grands noms de la littérature française.
Issu de la noblesse bretonne, membre le plus célèbre de sa famille originaire de Saint-Malo, Chateaubriand s'inscrit politiquement dans la mouvance royaliste. Plusieurs fois ambassadeur auprès de souverains divers, il est nommé ministre des Affaires étrangères de 1822 à 1824 sous la Restauration et compte, sous le règne de Charles X, parmi les ultraroyalistes. Les nombreuses responsabilités politiques et diplomatiques qui jalonnent sa carrière ainsi que son goût pour le voyage, en Amérique puis dans le bassin méditerranéen, structurent une vie marquée par l'exil et la nostalgie de la stabilité.
Ses premières publications majeures, l'Essai sur les révolutions (1796) et le Génie du christianisme (1802), manifestent son engagement politique alors en faveur de la contre-révolution et en défense de la société d'Ancien Régime. Mais la question idéologique s'entremêle très rapidement à la promotion d'une esthétique originale qui remporte un grand succès populaire et littéraire : la description de la nature et l'analyse des sentiments du « Moi », qu'il met en œuvre dans les fictions Atala (1801) et René (1802), d'abord publiées comme illustrations des thèses du Génie puis rattachées au vaste cycle romanesque des Natchez (intégralement paru en 1826), en font un modèle pour la génération suivante des écrivains français. Sa propension au mystère, à l'amplitude, à l'emphase, à la grandeur mélancolique, sa tentative d'exprimer une souffrance indicible et sa soif d'exotisme, qu'il réaffirme dans le récit de son voyage en Méditerranée Itinéraire de Paris à Jérusalem (1811), lui ont valu d'être considéré a posteriori comme l'un des « préromantiques » les plus influents de sa génération. La sensibilité douloureuse de ce « vague des passions », illustré à travers le personnage de René, connaît une importante postérité dans le romantisme français : le « mal du siècle » de Musset ou le « spleen » de Baudelaire peuvent en être considérés, entre autres, comme de lointains avatars.
Néanmoins, l'œuvre monumentale de Chateaubriand réside dans les Mémoires d'outre-tombe, parues à titre posthume dès 1849, dont les premiers livres recréent son enfance et sa formation dans son milieu social de petite noblesse à Saint-Malo et à Combourg, tandis que les livres suivants relèvent davantage du tableau historique des périodes dont il a été le témoin de 1789 à 1841. Ce texte, à la fois chef-d'œuvre autobiographique et témoignage historique de premier plan, manifeste une évolution de sa prose qui ne demeure pas moins influente sur la littérature française.
(cousinage par Anne de Kergorlay en 1534)
Marcel Philippot est un comédien français né le à Guingamp et mort le à Paris.
Il est principalement connu pour son rôle du client mécontent dans la série Palace de Jean-Michel Ribes (1988) qu'il reprend des années plus tard pour la publicité télévisée de MAAF aux côtés de Philippe Khorsand.
À partir de septembre 2016, sa carrière jusqu'alors consacrée à la comédie et au théâtre de boulevard prend un tournantgrâce au rôle de « l'Auteur » qu'Arnaud Denis lui confie dans sa pièce Le Personnage désincarné.
(Cousinage par la branche LE GOUX)
- Tous les cousins ci-dessous le sont par Anne LE MEN (1713 - 1861) de Bourbriac épouse de Jean Mahé (la généalogie d'Anne LE MEN a été difficile à trouver, à une époque où l'informatique n'était pas ce qu'elle est aujourd'hui!).
- Jean Kerisel (18 novembre 1908 - 22 janvier 2005), ingénieur général des ponts et chaussées, fut un expert en mécanique des sols, science qu'il développa et enseigna à l'ENPC. Il a apporté une contribution essentielle au progrès de la géotechnique. En plus de 70 ans d'activité professionnelle, il a réalisé une œuvre considérable dans les domaines de l'art de construire et de l'archéologie.
Jean Lehuérou Kerisel, de son nom complet, originaire d’une famille de juristes bretons, est né le 18 novembre 1908 à Saint-Brieuc (Bretagne). Il entre à l'École Polytechnique (Promotion 1928), et sort major de l'École Nationale des Ponts et Chaussées en 1933.
Le destin de Jean Kerisel a été marqué par sa rencontre avec l’éminent ingénieur et savant Albert Caquot, dont il épouse la fille, Suzy, en 1931. Ingénieur des Ponts et Chaussées à Orléans de 1933 à 1940, il s’intéressa au développement théorique et pratique de ce qui allait devenir la mécanique des sols, dont il deviendra un expert mondialement reconnu.
- André Lorgeré est un homme politique français né le 26 janvier 1891 à Guingamp dans les Côtes-d'Armor et décédé le 20 janvier 1973 à Guingamp.
Député radical des Côtes-du-Nord de 1928 à 1936.
Sous-secrétaire d'État à l'Éducation physique du 30 janvier au 9 février 1934 dans le gouvernement Édouard Daladier.
- Yves Hippolyte Jean Marie Riou est un avocat et homme politique français, né le 18 mai 1849 à Guingamp et mort le 22 juillet 1902 dans cette même ville. Maire, puis député de sa ville natale, il a présidé à son important développement urbain.
Ses parents possédant des biens fonciers, il peut faire des études et devenir avocat. C'est dès l'âge de 30 ans qu'il est élu maire de sa ville. Cela l'amène à se présenter aux élections départementales et à devenir conseiller général du canton de Guingamp en 1886.
Aux élections législatives de mai 1898, il bat le député conservateur (Union des Droites) sortant, François Chrestien de Tréveneuc, au nom des Républicains progressistes.