Le blog de christianlegac

Quelques photos de levers de soleils prises depuis la plage de Saint-Cyprien à l'heure où les papas chiens et les mamans chiens sortent leurs petits "toutous"...

Les levers de soleil sont beaux mais derrière nous, la tramontane est bien là !.

Lever de soleil sur le Racou à Argelès sur mer.

Lever de soleil depuis le Racou à Argelès et entrée du cargo dans le port de Port Vendres.

Le port d'Argelès sur mer, premiers rayons de soleil du matin sur le Canigou

Lever de soleil sur le fort Saint Elme à Collioure.

St Cyprien : Le village des pêcheurs , l'étang de St Nazaire et le Canigou.

Barque catalane près d'Argelès.

Argelès et la côte catalane depuis les hauts de Collioure.

Port Vendres, vue générale depuis la route du cap Béar et ci-dessous, l'entrée du port.

Banyuls depuis le cap Béar et ci-dessous, maisons isolées sous le cap Béar.

Quelques vues sur Argelès, le Racou et la côte catalane depuis les hauteurs des criques de Porteils.

Coucher de soleil à Argelès sur mer.

Le soleil se couche sur le Canigou, hélas, sans rougir!.

Les mamans chiens...

Daphnée et sa cousine Lilou.

Lilou : Si vous lui dites de poser, elle pose !.

Les palmiers de saint Cyprien.

Les lumières et couleurs de Collioure, l'église Notre Dame des anges transformée en scène...

Collioure, le château royal en début de soirée.

Après les vignobles de Banyuls, de Collioure, de Maury me voici cette fois dans celui de Rivesaltes près de Perpignan... Ce charmant et accueillant rond-point ne laisserait-il pas espérer de belles découvertes ?.

Nous voici à la maison CAZES, prestigieuse maison où nous allons déguster un magnifique Rivesaltes mais aussi de superbes Collioures...

Comme à Maury, à la cave Amiel, vieillissement du Rivesaltes en dame jeanne.

Voici venu le moment tant attendu... Celui des dégustations : Rivesaltes, Collioures blancs et rouges !.

Voici "UN PETIT JESUS EN CULOTTE DE VELOURS". Encore un me direz-vous, oui, mais vous avez vu le millésime, pour le prix allez voir voux même sur le site de la cave !

Coucher de soleil sur le Canigou vu depuis la route de Saint-Cyprien à Canet plage.

Bâtiment des douanes devant St Cyprien.

Sans doute le sujet le plus photographié de la région Roussillon, la montagne sacrée des catalans... LE CANIGOU. Photographié ici au lever du soleil depuis le route côtière joignant Saint Cyprien à Canet plage.

Le Canigou vu depuis Canet plage.

Quelques photos de la route des cols, de Collioure à Port Vendres ou à Banyuls sur mer. Quelque soit la saison, faire cette route des cols est toujours un enchantement, à chaque virage, un nouveau décor s'offre à vous, vous pouvez refaire cette route 10 fois, 20 fois, vous aurez toujours le même plaisir...

Les vues sur COLLIOURE...

Après Collioure... PORT VENDRES.

L'hiver est là mais l'activité continue dans les vignes: la taille et le brûlage des sarments.

Le village de Cosprons en contrebas et le cap Béar.

Le phare du cap Béar.

Les orangers vous accueillent à Banyuls sur mer.

La cote catalane avec le port d'Argelès et le village (à suivre), Saint Cyprien, l'étang de Saint Nazaire, Canet plage, le Barcarès...

Argelès village.

Collioure et le fort Saint Elme sur la droite.

Banyuls sur mer.

L'étang de Saint Nazaire - Canet... Une colonie de flamands roses y est à l'abri de la tramontaine.

La jolie fauvette mélanocéphale dans la roselière à Canet plage.

Lorsque vous faites des photos, il arrive que certaines personnes sympathiques viennent vous parler et c'est comme cela que j'ai pu prendre cette photo de la montagne de Bugarach... J'avoue ne pas savoir sauf que, deux jours avant j'ai vu un reportage sur ce village... Le voici maintenant situé sur la photo !.

Le village de l’Aude avait été promu par son maire en 2012 comme le lieu de survie à «la fin du monde». Depuis, il est devenu une étape obligée pour les mystiques en herbe, au grand dam des locaux.

Quatre ans moins le quart après l’annonce de la fin du monde, le village de Bugarach, dans l’Aude, surfe toujours sur l’incroyable «buzz» qui l’avait propulsé sous les feux médiatiques. Rappelez-vous : le 21 décembre 2012, nous devions tous mourir. Tous, sauf ceux qui parviendraient à rejoindre le pic de Bugarach. Cette montagne réputée accueillir des extraterrestres représentait le seul salut des Terriens, l’unique lieu épargné par cette Apocalypse annoncée par le calendrier maya…

La veille du jour J, la préfecture de l’Aude, sur les dents, avait interdit le site au public. Mais ce village de 220 habitants fut tout de même envahi : ni par des survivalistes ni par des aliens, mais par 300 journalistes accourus de tous les pays. L’un d’eux résumait alors la situation : «On ne peut pas ne pas être là.» Un documentaire intitulé Mediapocalypse retrace ces heures suspendues : on y voit des journalistes tourner en rond, réduits à s’interviewer entre eux ou à se ruer sur les rares habitants présents. Un artisan chargé d’installer des toilettes sèches y raconte avoir été interrogé trente fois «par des médias du monde entier», tandis qu’une mamie s’indigne : «Je prenais mon petit-déjeuner et il y avait des Japonais qui me filmaient à travers la vitre !»

Lorsqu’on lui reparle de ces jours tourmentés, la gérante de la Maison de la nature explose, excédée : «Non, non, on n’en parle pas ! On n’en parle plus !» Le seul qui sourit encore volontiers à l’évocation de 2012, c’est celui qui occupe depuis bientôt quarante ans le fauteuil de maire de Bugarach, Jean-Pierre Delord. Avec les yeux malicieux d’un gamin qui a fait une blague très rigolote, il avoue à demi-mot avoir lui-même allumé le feu médiatique qui a embrasé son village. «J’avais vu sur Internet quelques rumeurs qui circulaient sur cette fin du monde annoncée par les Mayas, raconte-t-il. Dès 2010, certains disaient qu’il fallait se trouver sur le pic de Bugarach pour être sauvé. Il faut dire que dans notre région, il y a toujours eu des croyances autour du pic, de son magnétisme, des extraterrestres… J’ai appelé un journaliste de l’Indépendant pour lui parler de tout ça, et je l’ai motivé pour qu’il fasse un article là-dessus. Deux jours après, l’AFP a repris l’info et, là, c’est parti pour de bon. Les rédacteurs en chef ont tous envoyé quelqu’un ici : de France, j’en parle pas, mais d’Europe, des Etats-Unis, du Canada, même Al-Jezira !»

Joueur, le maire de Bugarach, même à 72 ans… Mais pas tricheur, puisqu’il avoue : «C’est moi qui ai fait monter la mayonnaise. Le préfet m’a même appelé pour me dire : "Arrêtez, vous mettez le feu !" Mais bon, c’était un sacré coup de pub. Si j’avais dû prendre une agence pour faire la promotion du village, jamais elle ne serait parvenue à un tel résultat. Je pense qu’on ne pourra plus faire mieux.»Pourtant, il y songe : après avoir cogité sur une «fin du monde annuelle», Jean-Pierre Delord envisage de transformer le château du village, actuellement en restauration, en un centre «éco-mythologique» qui mettrait en scène «les légendes, contes, fantasmes et autres ovnis de toute la chaîne pyrénéenne»…

Le pic de Madrès est un sommet des Pyrénées françaises, situé en région Occitanie à cheval sur le département de l'Aude, dont il est le point culminant (commune du Bousquet), et les Pyrénées-Orientales (communes de Sansa et Mosset), à proximité de l'Ariège, distante de moins de 3 km par le petit terroir du Donezan. Le pic de Madrès est le plus haut sommet du massif du même nom.

Le lac de Villeneuve de la Raho photographié vers 9 heures du matin.

Le lac de la Raho est utilisé comme réserve d'eau pour alimenter les Canadairs et hélicoptères contre les incendies de forêt.

Foulque macroule au lac de Villeneuve de la Raho.

Grèbe huppé avec son plumage d'hiver sur le lac de Villeneuve de la Raho.