18 avril 2020
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Durant mon confinement (mais j'étais déjà seul avec Daphnée avant !), j'ai poursuivi mes recherches dans la généalogie des autres... Je viens de terminer ce que j'avais à faire, aussi, je me replonge dans ma généalogie et celle de Janick, même si je savais que nous étions au bout du bout !. Pourtant, voici un petit bout d'Histoire qui concerne la généalogie de Janick et bien entendu celle de sa soeur, même s'il est question dans cette histoire d'un LE GAC ! mais ce n'est pas ce LE GAC qui intéresse la généalogie de Janick mais celle des Grimault de la Noé!...
Voici le petit bout de l'arbre concernant les Grimault de la Noé de Ploumilliau 'près de Lannion) et Pont Melvez...
Union avec Mary GUEGAN
mariage: 1´ L'AFFAIRE. LE GAC DE VILLENEUVE (± Chez les moines rouges de Pont Melvez », P51 à 53) Le commandeur affermait sa commanderie, et le fermier général, chargé de l'administration des biens de l'Ordre,exploitait quelquefois les pauvres quevaisiers ; Le sieur Le Gac de Villeneuve en particulier multiplia les abus à la fin du XVIIème siècle.Il imposait chaque paroissien au paiement des dîmes par journal ± soit que la terre rapporte ou non », exigeant 5 livres par journal ± lequel n'a peut-être pas produit 5 livres en tout » ; faisait payer, pour droit de prémice, jusqu'à 40 sols le demi-boisseau de seigle qui ne valait que 16 ou 17 sols, imposait de pénibles corvées envoyant des particuliers à dix lieues loin pour quérir de la chaux ou, n'ayant rien trouvé il les y a fait retourner » sans fournir ni pain, ni foin, ni avoine; obligeait les vassaux à rendre aveu à chaque mutation ou changement de commandeur ± invention pernicieuse parce qu'étant dû aveu à chaque changement de vassal c'est une double exaction d'en demander encore à la venue de chaque seigneur, particulièrement à Pont-Melvez ou l'on ne met que de très anciens commandeurs »... etc... Et si les victimes de ces brimades (1) refusaient de payer ou d'obéir il les poursuivait devant le Tribunal de la Commanderie dont il était le seul juge et les condamnait à l'amende. Excédés les vassaux se plaignirent devant le Parlement de Bretagne et ce furent Jacques Grimault de La Noë, son fils Bernard et Jean Le Meur qui parlèrent au nom des habitants de Pont-Melvez. Jacques Grimault, originaire de Ploumilliau (2), avait épousé Marie Guégan, et demeurait à Guerduel. Il fut d'abord notaire et vécut en bons termes avec le Commandeur Bernard de Polastron de la Hillière qui habitait au manoir de Pont-Melvez. En 1664 par exemple, nous les trouvons au baptême de 1a petite Marie Hervé: ± Ont été parrain et marraine haut et puissant messire Bernard de Polastron de la Hillière, et honorable Marie Guégan, compagne de Maître Jacques Grimault ». Ce dernier n'était pas gentilhomme » ; il fréquentait cependant la noblesse du pays. Sa fille, Marthe, née en 1670, avait pour parrain et marraine haut et puissant Julien du Cleuz, marquis du Gage, demeurant au manoir des Salles à Guingamp, et haute et puissante Marthe du Bois, dame de Groesquer, paroisse de Pédernec ». A la suite de quelles circonstances Jacques Grimault) avait-il cessé ses fonctions de notaire? Avait-il eu maille à partir avec le sieur Le Gac de Villeneuve, à la fois fermier général et juge de la Commanderie ? Peut-être. Toujours est-il qu'il prit résolument la défense des paroissiens de Pont-Melvez et obtint gain de cause. Dans son arrêt du 4 novembre 1689 le Parlement fait défense au dit Le Gac de faire aucune fonction de sénéchal de la Commanderie pendant que son bail à ferme de la dite Commanderie durera ... à peine de nullité et de faux, et d'apprécier aucune corvée et lui enjoint de nourrir les hommes et leurs bestiaux les jours qu'ils feront les dites corvées, lui enjoint de prendre les rentes dues par grains en espèces et pour cet effet il tiendra les greniers ouverts quinze jours, après les termes que. les dites .rentes sont dues sans les obliger d'aller les porter...hors de la Commanderie, lui fait défense de rien prendre des sujets pour leurs quittances qu'il leur donnera de leurs rentes et de, faire aucune fonction de procureur fiscal de la commanderie en recevant et impunissant les aveux des vassaux.. ordonne que le présent arrêt soit lu aux paroisses de Pont Melvez, Maél et Louch aux prônes des grandes messes....» (4). Cette fois les vassaux, de Pont Melvez triomphaient mais le Parlement, comme nous allons le voir, ne leur donna pas toujours gain de cause.Archives des Côtes d'Armor,fonds de la commanderie de Pont Melvez et archives personnelles de M.Grimault de Lanoë. (2)Au XVIème siècle déjà les Grimault avaient de la famille à Pont Melvez. L'un d'eux, allant de Ploumilliau à Pont Melvez, se prit un jour de querelle à Belle-Isle-en-Terre avec un officier royal et le tua en duel; il fut condamné à mort. Ceci se passait sous le règne de Henri IV qui accorda sa grâce au sieur Grimault et lui fit remise de ses biens confisqués. Un cardinal, le cardinal Grimaldi, avait plaidé sa cause auprès du Roi. (les Grimault, Grimaldi en italien,étaient des descendants d'une famille Gênoise qui avaient suivi René d'Anjou en France (Arch. De la famille Grimault Delanoë). (3) Jacques Grimault Mourut â Pont-Melvez le 23 septembre 1708 ± Agé d'environ cent Ans ». (4) Archives des Côtes d'Armor, fonds de la commanderie de Pont Melvez. ... Seuls les familles aisées: les Grimault, les Desjars, habitaient des maisons plus confortables couvertes d'ardoises et dont les murs épais sont encore solides. (Chez les moines rouges de Pont Melvez », P85) Jacques Sr de la No GRIMAULT Evénements Décès : le 23/09/1708 à Pont-Melvez (22) à l'âge de 100 ans (GRIMAULT Guillaume (prètre), GRIMAULT René et Yves (enfants), BERNARD Jacques) .
Voir aussi une ancienne photo des ruines du château de Puyricard (dans les Bouches du Rhône), ancienne résidence du cardinal.
Comme quoi, une Histoire familiale n'est jamais terminée !.
Pont-Melvez est une commune située en Argoat, à l'est des Monts d'Arrée, entre Guingamp et Carhaix. La partie amont du fleuve côtier Léguer, qui a sa source à la limite des communes voisines de Bourbriac et Maël-Pestivien, longe la limite sud, puis ouest, de la commune : son altitude est de 190 mètres à sa sortie du territoire communal, alors que l'altitude la plus élevée rencontrée dans le finage communal est de 286 mètres entre Ty Person et Lein Pente. Le ruisseau de Rond ar Hord (nom que porte la partie amont du ruisseau du Bois de la Roche, affluent de rive gauche du Trieux) limite la partie orientale de la commune, et son propre affluent le ruisseau du Dourdu sa partie nord-est. La commune présente un paysage de bocage avec un habitat dispersé en de nombreux écarts formés de hameaux (les principaux étant Le Gollot, Guerduel, Kerfubu, Keranfouler, Keranquitton, Goscaër,etc..) et fermes isolées. Son éloignement de toute ville importante explique qu'elle ne présente aucune trace de rurbanisation, ni de périurbanisation.
La paroisse de Pont-Melvez fut, à partir du XIIIe siècle le fief des Templiers (surnommés "moines rouges"), puis des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem. La commanderie de Pont-Melvez figure en 1182, sous le nom de Penmaelvas parmi les biens des Chevaliers du Temple. Aucun vestige de leur commanderie ne subsiste (mais un lieu-dit de la commune s'appelle "La Commanderie"), mais on peut encore voir une croix très particulière, dénommée croaz ru ("croix rouge") car on suppose qu'elle était par le passé peinte en rouge en hommage aux Templiers .
Les terres dépendant de la commanderie de Pont-Melvez étant très étendues, plusieurs sièges de juridiction existaient : La Feuillée, Quimper, Le Croisty, Maël et Loc'h, Pont-Melvez, Saint-Jean-du-Temple et Le Palacret. Cette juridiction s'exerça à Guingamp entre 1440 et 1626, puis au Palacret. À partir de 1690, un arrêt du Parlement de Bretagne la situe alternativement (une quinzaine sur deux) au Palacret et à Pont-Melvez4.
La région de Pont-Melvez est réputée posséder un nombre élevé de roux et rousses. La légende dit qu'il s'agirait de descendants des Templiers qui étaient les seigneurs du village et disposaient à ce titre du droit de cuissage. Bien entendu, la véracité de cette hypothèse est douteuse4.
L'église paroissiale, édifiée au XVIe siècle par les Hospitaliers, est consacrée à saint Jean-Baptiste. Mais on trouve aussi dans le cimetière une statue du XIVe siècle de saint Jean l'Évangéliste.
La cure de Pont-Melvez était soumise à la présentation du commandeur du Palacret habitant à La Feuillée, le choix du curé devant être approuvé par l'évêque de Tréguier; le recteur était généralement choisi parmi les prêtres originaires de Pont-Melvez.
Pont Melvez (22) le calvaire de la Croix rouge.
Pont Melvez détail de la piéta du calvaire de la Croix rouge.
Voici le portrait de Girolamo Grimaldi Cavalleroni (1595-1685) par Montcornet, c'est sans doute celui qui est probablement intervenu pour demander la grâce du sieur Grimault de la Noé auprès de Henri IV.
Girolamo Grimaldi-Cavalleroni, dont le nom est généralement francisé en Jérôme Grimaldi-Cavalleroni (20 août 1595 à Gênes – 4 novembre 1685 à Aix-en-Provence), est un cardinal catholique, d'abord archevêque in partibus de Séleucie d'Isaurie en 1641 puis archevêque d'Aix-en-Provence de 1648 à sa mort, en 1685. Il est le fils de Giacomo Grimaldi, historien italien et archiviste du Vatican et de Girolama di Agostino de' Mari. Il est créé cardinal par le pape Urbain VIII en 1643. Il est aussi abbé commendataire de Saint-Florent de Saumur de 1649 à sa mort. (voir ses armoiries).
Voir aussi une ancienne photo des ruines du château de Puyricard (dans les Bouches du Rhône), ancienne résidence du cardinal Grimaldi.
Comme quoi, une Histoire familiale n'est jamais terminée !.
Un lien évident avec la familles Grimaldi de Gênes et de Monaco...
Si l'on se réfère aux renseignements donnés plus haut, j'ai recherché la généalogie du cardinal Grimaldi... Sans doute, peut-on penser que la souche de notre Jacques Grimault (Grimaldi) se trouve être l'un de ces couples...
Otton 1er Canella né vers 1070 et mort avant 1143, consul de Gênes marié à ?..
Grimaud 1er Canella, mort après 1184. Consul de Gênes en 1160, amiral de Gênes marié à ?. Il a servi plus tard comme ambassadeur au Saint Empire Germanique de Frédéric Barbarossa (Barberousse).
Oberto Grimaldi, mort en 1252. Amiral gênois de la flotte des croisés à Damiette, commissaire de Gênes. Il était l'un des plus grands personnages de Gênes. Il était marié à Corradina Spinola, fille de Oberto Spinola et Sibilla della Volta. Il est le 1er a porter le nom de Grimaldi, c'est lla souche des princes de Monaco.
Ingone Grimaldi marié à ?.
Luc Grimaldi mort après 1277 marié à ?.
Gabriele Grimaldi, mort en 1271 marié à Caterina Zaccaria.
Rabella Grimaldi dit Bonifacio, marié à Lina Doria. Elle est la fille de Raffaele Doria et de Stéfania Coccarello, petite fille de Oberto Doria, lui-même fils de Piétro Doria (mort avant 1274) et de Mabilia Casiccia et petit fils de Oberto Dorica (mort après 1253) et de Mabilia N, lui-même fils de Piétro Doria.
Dorino Grimaldi dit aussi Barnabé Doria, né vers 1280 à Gênes et mort en juin 1325, capitaine de Gênes de 1299 à 1306. marié à Eliana Fieschi.Elle est la fille de Raffaele Fieschi, petite fille de Gugliemo Fieschi et de Floria di Marie et petite fille de Giacomo Fieschi marié à ?.
Rabella Grimaldi marié à Margharite Adorno.
Angélo Grimaldi marié à Marguerite N.
Giorgo Grimaldi, mort avant 1519, marié à Isabella Fieschi. Il était gouverneur de Grasse et de St Paul. (En 1270, les Familles de Grimaldi et Fieschi sont contraintes de s'exiler de Gênes). Isabella est la fille de Giuliano Fieschi marié à ?, petite fille de Antonio Fieschi marié à Piétra de Negris, petit fille de Benetto Fiéchi, capitaine des armées de Gênes, lui-même fils de Ottobona Fieschi (1250-1302) marié à Andréola Castagna.
Giovanni Battista Grimaldi, nommé par Charles Quint en 1525, comte palatin et chevalier de la toison d'or. Il avait épousé Maddalena Pallvicini.
Giacomo Grimaldi, baron de San Félice dans le Royaume de Naples et sénateur de la République de Gênes. Il a épousé Girolama di Agostino de Marie...
Girolamo Grimaldi ( 1595 - 1685), cardinal né à Gênes et mort à Aix en Provence.
Oberto Grimaldi, amiral gênois de la flotte des croisés à Damiette.
Premier à être appelé Gimaldi = fils de Grimaud.
Il fut consul de la Commune de Gênes en 1162, 1170 et 1184, et la représenta notamment auprès de l'empereur Frédéric Barberousse, ainsi qu'auprès de l'empereur byzantin.
Il eut pour successeur, son fils ou petit-fils Oberto Grimaldi, amiral de la flotte génoise à Damiette, mort en 1252.
L'histoire de la maison Grimaldi est inextricablement liée à celles de la République de Gênes et de la principauté de Monaco. Elle descend de Grimaldo, un homme d'État génois de l'époque des premières Croisades, qui devint Consul de Gênes en 1162, 1170 et encore en 1184. Ses innombrables petits-enfants et leurs progénitures menèrent des expéditions maritimes d'envergure sur les eaux de la mer Méditerranée (Tunis, Benghazi), de la mer Noire et bientôt de la mer du Nord, et s'imposèrent rapidement comme l'une des plus puissantes familles de la Commune de Gênes.
Les Grimaldi craignaient qu'une famille rivale ne vînt à rompre le fragile équilibre politique par un coup d'État qui leur aurait imposé un seigneur, comme on a pu le voir dans d'autres villes italiennes. Ils entrèrent dans une alliance guelfe avec la famille Fieschi et défendirent leurs intérêts à la pointe de l'épée. Ayant essuyé un revers sanglant, les Guelfes furent bannis de la cité-État en 1271 et trouvèrent refuge dans leurs forts de Ligurie et en Provence. Fidèles aux Angevins, ils signèrent un traité avec Charles Ier d'Anjou, roi de Naples et comte de Provence, afin de reprendre le contrôle de Gênes et, plus généralement, de se promettre une assistance mutuelle. En 1276, ils acceptèrent une paix négociée sous les auspices du pape. Ce ne fut cependant qu'une pause, qui ne devait pas mettre fin à l'état de guerre civile chronique. Tous les Grimaldi ne rentrèrent pas à Gênes et certains choisirent de s'établir dans leurs fiefs où ils pouvaient plus facilement lever des armées.
En 1299, les Grimaldi et leurs alliés n'hésitèrent pas à lancer des galères à l'attaque du port de Gênes, avant de se retrancher sur la Riviera occidentale. Durant les années suivantes, les Grimaldi allaient adapter leurs alliances aux circonstances, leur permettant ainsi de revenir en force dans les institutions génoises. Cette fois, ce fut le tour de leur rivale, la famille Spinola, d'être bannie de la ville.
Durant toute cette période, les partis guelfes et gibelins prirent et abandonnèrent tour à tour le château génois de Monaco, qui était parfaitement situé pour lancer des opérations politiques et militaires contre Gênes. Pour l'anecdote, on retiendra la belle histoire de François Grimaldi qui, en 1297, s'introduisit astucieusement au sein de la forteresse de Monaco habillé en moine franciscain, mythe fondateur de la souveraineté des Grimaldi sur Monaco.
Au début du xive siècle, les Catalans harassaient les côtes de Provence et de Ligurie, défiant ainsi la puissance de Gênes et du roi Robert en Provence.
En 1353, une armada de quatre-vingts galères vénitiennes et catalanes se rassembla au large de la Sardaigne pour affronter la flotte de soixante vaisseaux sous le commandement d'Antoine Grimaldi. Seules dix-neuf galères génoises réchappèrent de cette sanglante bataille navale. Craignant une invasion ou un blocus de la part des Vénitiens, Gênes se rua pour se mettre sous la protection du seigneur de Milan, écartant à nouveau les Grimaldi du pouvoir.
Plusieurs des plus vieilles branches féodales de la Maison Grimaldi apparurent durant ces nombreux troubles, telles les branches d'Antibes, Beuil, Nice, Puget et Calabre.
En 1395, les Grimaldi profitèrent de la discorde à Gênes pour s'emparer de Monaco que ces co-seigneurs dirigèrent collectivement en indivision. On y voit l'origine de la principauté actuelle.
Comme les autres grandes familles génoises, les Grimaldi organisèrent leurs liens familiaux au sein d'une société appelée Albergo. Dans la réforme institutionnelle de 1528, cette ancienne famille seigneuriale devint l'une des vingt-huit alberghi de la République de Gênes.
La Maison Grimaldi fournit de nombreux personnages illustres tels que doges, cardinaux, sénéchaux, podestats, ministres, gouverneurs, banquiers et une panoplie de chevaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem et seigneurs féodaux
Données importées le 18/10/2017 depuis la publication en ligne de Aethelstan
Maître François, la flotte des croisés devant Damiette en 1249.
La famille Fieschi (ou Fiesque) est une famille patricienne de Gênes qui remonte aux premiers temps du Moyen Âge. Elle posséda d'abord en pleine souveraineté et à titre de comté la ville de Lavagna, située à l'est de Gênes, mais la céda à la République en 1198 en échange du droit de bourgeoisie et de noblesse.
Les Fieschi possédaient de nombreux fiefs dans la Ligurie, le Piémont, la Lombardie, l'Ombrie, et même dans le royaume de Naples. Ils ont donné à l'Église deux papes (Innocent IV et Adrien V), un grand nombre de cardinaux, de patriarches, d'évêques et d'archevêques.
On compte parmi eux plusieurs nobles du Saint-Empire, un maréchal de France sous Louis IX, plusieurs généraux, quatre amiraux.
Jacques GRIMAULT est dit Sieur de la Noe. Cette information, présente sur son acte de décès, est également donnée dans l’ouvrage «Les moines rouges de Pont-Melvez » avec comme source, les archives personnelles de la Noe.
Malheureusement, ces archives ont été détruites par leur dernier propriétaire il y a quelques dizaines d’années, supprimant ainsi une source importante d’informations sur cette famille.
André BOURGES, dans ses Moines Rouges de Pont-Melvez, indique qu’il serait natif de Ploumilliau, une commune située à une quarantaine de kilomètres de son lieu de décès.
Notaire, il aurait notamment plaidé à de nombreuses reprises contre la Commanderie des Templiers. Il est donc probable que je trouve d’autres documents le mentionnant, aux Archives des Côtes d'Armor et du Finistère.
Voici pour les faits avérés à ce jour, issus des archives. Passons maintenant aux suspicions.
Jacques GRIMAULT serait un descendant d’un GRIMALDI venu d’Italie avec Catherine de Medicis au 16ème siècle.
Obligé de quitter la cour de Versailles à la suite d'un duel interdit, ce GRIMALDI aurait rejoint la Bretagne et francisé son nom en Grimaud (ou Grimault).
Une lettre de grâce a été trouvée aux Archives de Rennes, toujours par Jeannine, même si elle ne me l’a pas fait parvenir. Ses dernières recherches l’ont mené vers Avignon, puisque cette demande de grâce serait issue d’une requête d’un cardinal Grimaldi, en Avignon.
Trouvé sur le Net...
UNE AUTRE ANECDOTE CONCERNANT JACQUES GRIMAULT DE LA NOE...
LES REJOUISSANCES DE PONT-MELVEZ...
L’action prend place le 24 Juin 1669, jour de la fête de Saint Jan. Une grande assemblée d’habitants s’est réunie sur la grande place du Bourg de Pont-Melvez, pour fêter cette journée. Où l'on apprend que les enfants de Jacques Grimault de la Noé ont un précepteur nommé Kergoas... Où l'on apprend aussi que Jacques Grimault utilise son épée et que 3 enfants (les ainés) sont présents, au moins 6 autres enfants suivront...
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