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18 avril 2022 1 18 /04 /avril /2022 10:02
PROMENADE  EN  BRETAGNE  :   ENCORE  DES  AFFICHES, DES  PUBLICITES  OU  DES  DESSINS... (2)
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Les publicités des anciennes brasseries bretonnes.

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Une publicité pour les écrémeuses Diabolo avec une illustration à partager entre la Bretagne et la Normandie.

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Elles ont marqué une époque, nos bigoudènes des publicités Tipiak. Elles sont aussi incontournables que la Mère Denis, la star des publicités de la marque Vedette.

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Je ne pouvais pas les ignorer alors que je ne publie, en principe, que les publicités ou affiches "papier"...

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Deux publicités pour le vin de Saumur Veuve Amiot, peintures de Jim Sevellec, le peintre finistérien...

Jim Sévellec, pseudonyme d’Eugène Sévellec, est un peintre et céramiste français né à Camaret-sur-Mer le et mort à Brest le .

Il est le père du peintre et sculpteur Ronan-Jim Sevellec (né en 1938).

Eugène Sévellec grandit à Camaret-sur-Mer avec la colonie artistique de l'entourage de l'écrivain Saint-Pol-Roux. Très jeune, il dessine la vie du port. Sous l'influence de Saint-Pol-Roux, il part pour Paris afin de suivre une formation artistique auprès de Louis-Marie Désiré-Lucas.

Lors de la Première Guerre mondiale, il est mobilisé en 1916 dans l'infanterie et il sert, entre autres, d'interprète auprès des soldats américains et écossais. C'est ainsi que ses compagnons lui donnent son prénom d'artiste « Jim », plus simple à prononcer que celui d'Eugène.

Jim Sévellec collabore dès 1928 avec la manufacture Henriot, une faïencerie de Quimper.

En 1936 il est nommé peintre de la Marine.

« Jim Sévellec n'avait pas son pareil pour croquer les scènes de la vie quotidienne, sur les quais de Brest notamment, où son père, mécanicien de marine, avait été muté lorsqu'il était enfant. Jim Sévellec réalisa entre autres quelque 180 modèles en faïence. Le monde maritime et particulièrement les marins en goguette, se taille la part du lion. Un journaliste écrivit d'ailleurs à leur propos : “Ces personnages luttant contre le vent, celui du noroît ou celui qui s'élève les jours de paye”. »

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Mathurin Méheut, le peintre lamballais.

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L'arrivée légendaire du doigt de saint Jean-Baptiste

Selon la légende racontée par Albert Le Grand dans la Vie des Saints de la Bretagne Armorique, c'est un jeune homme de Plougasnou qui en 1437 aurait ramené de Normandie, de la région de Saint-Lô où elle serait parvenue à l'époque des Croisades, cette phalange qui fut par la suite « authentifiée » par le duc de Bretagne lui-même et plusieurs évêques.

« Albert Le Grand a composé son « Histoire de la translation miraculeuse du doigt de saint Jean-Baptiste de Normandie en Bretagne » comme tous ses autres récits : les données fournies par les documents ou les textes anciens ont été copieusement augmentées à l'aide de prétendues traditions locales, et comme ces traditions étaient bien singulières et difficilement acceptables, l'auteur a voulu donner à toute son histoire une apparence de vérité en semant au milieu de son récit quelques dates et quelques noms de personnages historiques. »

La tradition rapporte que les Anglais, envoyés par Henri VII d'Angleterre au secours de la duchesse Anne, ayant pillé le bourg, en 1489, et enlevé le doigt du saint, pour le transporter dans leur île, ce doigt revint miraculeusement dans l'endroit où il avait été primitivement déposé.

Le duc de Bretagne Jean V aurait fait déposer la relique dans un étui d'or et, la petite chapelle de Traon-Meriadec étant devenue trop petite pour recevoir tous les fidèles attirés par les miracles attribués à la relique qui y venaient en pèlerinage, il fit construire celle que l'on voit aujourd'hui dont la première pierre fut posée le , mais qui ne fut achevée qu'en 1513, sa construction ayant été interrompue à plusieurs reprises (elle est dédiée à saint Jean-Baptiste par Antoine du Grignaux, évêque de Tréguier, le ). L'église possédait alors un riche mobilier (12 autels construits en haut de l'église sans compter ceux dédiés à saint Divy et saint Fiacre en bas de la nef, des retables, des croix et de nombreux chandeliers de cuivre, des fonts baptismaux surmontés d'un dôme de menuiserie, des orgues (remplacées en 1585, puis en 1652, dues à Robert Dallam, et maintes fois restaurées par la suite), etc.

Le pèlerinage devint rapidement si célèbre qu'en 1505 la duchesse Anne de Bretagne, alors épouse du roi de France Louis XII, et qui avait les yeux malades, vint de Morlaix implorer la relique, faisant à pied les 5 ou 6 derniers kilomètres. Elle assista aux vêpres, puis le lendemain matin aux mâtines, puis à la messe, en l'église de Saint-Jean-du-Doigt. L'évêque de Nantes lui appliqua la relique sur les yeux et elle fut guérie ; en reconnaissance de ce miracle, Anne de Bretagne fit don à l'église de plusieurs pièces d'orfèvrerie dont un calice et une croix processionnelle en vermeil, et donna aussi de l'argent pour achever la construction de l'église paroissiale.

En fait la visite d'Anne de Bretagne à Saint-Jean-du-Doigt n'est pas prouvée historiquement : le chroniqueur Alain Bouchart, qui raconte dans son livre Grandes Chroniques de Bretaigne la seule visite faite par la reine Anne en Basse-Bretagne, ne mentionne pas la visite à Saint-Jean-du-Doigt. Il est toutefois prouvé qu'elle vint au Folgoët et séjourna à Morlaix qui ne sont pas très distants. Mais le récit fait par Albert le Grand 130 ans plus tard reste toutefois incertain compte tenu du manque de fiabilité de son récit évoqué précédemment.

D'après un arrêt du Parlement de Bretagne du , le tiers des offrandes de la chapellenie de Saint-Jean était, suivant l'usage, perçu par le recteur de Plougasnou (dont la cure était pour cette raison l'une des plus lucratives de Bretagne et était très convoitée), les recettes provenant de l'opulente chapelle profitant donc à la paroisse de Plougasnou ; les deux autres tiers étaient consacrés à l'entretien de l'église sous la direction d'un prêtre et d'un gentilhomme élus par les habitants. Les revenus liés au pèlerinage étaient tels que les deux voies menant à la chapelle provenant de Morlaix et de Lameur étaient pavées « aux frais de la fabrique de Saint-Jean pour l'utilité des paroissiens et commodité des pèlerins » dit l'ancien chartrier de Saint-Jean pour l'année 1573, ce qui était très rare en Basse-Bretagne à l'époque.

Vers le milieu du XVIe siècle, Saint-Jean-du-Doigt était l'un des sanctuaires les plus visités de Bretagne : la relique du doigt de Saint-Jean-Baptiste « attirait au grand pardon de juin des multitudes de fidèles animés d'une ardente dévotion (...). Aussi les offrandes (...) pleuvaient-elles dans les troncs bardés de fer placés aux deux bouts des balustres du maître-autel. (...) Une fois le tiers du recteur perçu, il restait encore, à la disposition de la fabrique, une somme rondelette dont elle usait judicieusement pour (...) le plus grand bien de la paroisse. On ne marchandait au Précurseur ni merveilles d'orfèvreries, ni retables sculptés, ni orgues, ni vitraux peints, ni oratoire, ni fontaine ; on faisait de son église la plus belle "maison de prière" qui fût à vingt lieues à la ronde. (...) Mais les gens ne croyaient pas mal agir en puisant dans les coffres pour bâtir le clocher de la paroisse, entretenir les grands chemins, payer les maîtres d'écoles, soulager les pauvres, aider au budget des autres chapelles (...) Il était inévitable qu'un sanctuaire auquel la faveur populaire assurait d'aussi beaux revenus éveillât d'âpres convoitises ». Deux personnes, Jean Eudes, abbé commendataire de Saint-Maurice de Carnoët et doyen du Folgoët, et Pierre Chouart, chanoine de Tréguier, prétendirent chacune entre 1552 et 1555 obtenir l'érection d'une chapellenie en leur faveur, ce qui irrita fort les paroissiens de Saint-Jean-du-Doigt. Le sénéchal de Carhaix, Regnault de Botloy, se déplaça en personne, montant une véritable expédition guerrière, pour s'emparer du contenu des coffres, ce qui provoqua des troubles le jour du pardon de 1555 entraînant la mort de l'un des serviteurs du sénéchal et l'arrestation de « plusieurs mariniers et aultres ». Les paroissiens parvinrent à mettre fin aux prétentions des personnages précités grâce à l'intervention en leur faveur de Charles de Bourbon, prince de La Roche-sur-Yon, dont la femme, Philipette de Montespédon, possédait de nombreux fiefs à Guizcasnou [Plougasnou] et à Bodister.

Aux XVIIe siècle et XVIIIe siècle, les paroissiens élisaient deux marguilliers et ceux-ci, au bout d'un an, à l'époque de Pâques, présentaient leurs comptes à deux prêtres, deux gentilshommes et deux roturiers, désignés au prône de la messe paroissiale. Les comptes étaient ensuite soumis, suivant la règle ordinaire, au général de la paroisse, puis à l'évêque.

Le culte de Jean-Baptiste a beaucoup évolué au fil des siècles. Il a même donné naissance à des courants particuliers du christianisme. Le personnage de Saint-Jean Baptiste s’est aussi fait une place dans la culture populaire.

Au fil des siècles, Jean le Baptiste est ainsi devenu le saint patron des aubergistes, des ramoneurs, des couteliers et des notaires. Il incarne aussi le protecteur des bergers, des moutons et des bêtes d’élevage. On prie Saint Jean-Baptiste pour des maladies telles que l’épilepsie et les convulsions des enfants, ou tout simplement pour se donner du courage.

Jean-Baptiste est une figure complexe, particulièrement riche de sens. Une médaille de Saint-Jean Baptiste évoque toutefois toujours l’idée d’accompagner l’autre tout au long de sa vie et de le guider au travers des difficultés. Le présent idéal pour un baptême !

La fête de la Saint-Jean célèbre la mémoire de Jean le Baptiste. Le calendrier la situe au 24 juin, mais elle est traditionnellement souhaitée la veille, le 23 juin au soir, avec le traditionnel feu de la Saint-Jean qui souligne aussi le solstice d’été.

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Les affiches scolaires murales.

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LES CYCLES ARMOR, une marque née à Brest.

« Forcément bretonne, la marque Armor est née à Brest en 1901 sur l’initiative de Joseph Le Guellec.
Pour le Tour de France 1906, la société inscrit 11 coureurs, et se voit d’ailleurs récompensée avec Eugène Christophe (1885-1970) qui termine 9ème de l’événement.
Rapidement ensuite, comme beaucoup de constructeurs de l’époque, Armor fait faillite sans doute à cause de la trop grande offre sur le marché et le manque de compétitivité de l’entreprise.
En 1909, Edmond Gentil, le puissant fondateur de la maison Gentil et Cie et propriétaire des marques de cycles, motocyclettes, automobiles et moteur Deauville, Alcyon, Labor veut investir le marché de l’Ouest de la France. Pour ce faire, il rachète à J. Le Guellec sa marque Armor et il l’a transportée alors à Paris, 23, rue de Trudaine (siège). Edmond Gentil fait ainsi d’une pierre deux coups, Armor conserve sa forte identité et sa clientèle régionale mais conquiert une nouvelle clientèle parisienne car on trouve dans la capitale un grand nombre de bretons.
En parallèle des usines et ateliers de Courbevoie, le magasin principal et siège social se trouve 23, avenue Trudaine à Paris.
A partir de ce moment-là, les deux marques, intégrées au même groupe (Gentil) fabriqueront des cycles, motocyclettes et même automobiles avec les mêmes caractéristiques à quelques détails près ». peut-on lire sur le site Tonton vélo.
Pour illustrer un modèle de la marque, deux clichés pris par un internaute sur le site Tonton vélo, avant et après restauration.

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C’est dans une publicité qu’est apparu ce nom du constructeur nantais Pierre Lodenos, constructeur des vélos Petit-Breton.
Le surnom de ce coureur a donc été utilisé pour une marque de vélos après sa disparition, tant pour honorer sa mémoire qu’a à fins publicitaires, franchise et loyauté étaient la devise de la marque.
Plus que le constructeur, dont il ne nous est resté que le nom, c’est sur le coureur qu’il faut évoquer.
Lucien Georges Mazan, dit Lucien Petit-Breton, est un coureur cycliste né en 1882 et décédé en 1917.
Sa fiche Wikipedia raconte une vie pleine de rebondissement :
« Clément Mazan, son père, exerce avec talent et succès à Plessé, en Loire-Inférieure, la profession d’horloger bijoutier. En 1880, il se présente aux élections législatives où il essuie un cinglant revers. Un tel échec est difficile à supporter dans une petite ville de province où les réputations se font et se défont de bouche à oreille. Il perd rapidement une importante partie de sa clientèle. C’est à cette époque que l’Argentine recherche des gens qualifiés, artisans particulièrement. Fin 1882, il s’embarque avec sa femme Désirée pour Buenos Aires créant un nouveau magasin dans la même profession. Les enfants Mazan, Paul (né en 1879) et Lucien (1882) sont confiés à la garde d’une tante Félicité, sœur de Désirée. Deux ans plus tard, Désirée revient les chercher et toute la famille est réunie à Buenos Aires. La famille s’agrandit. Paul et Lucien ont un frère Anselme (1884) et deux sœurs Adrienne (1886) et Gabrielle (1888) et Vincent (1905). Par nécessité, les enfants Mazan furent élevés « à la dure », mis au travail dès leur plus jeune âge. À 14 ans, Lucien travaille en qualité de groom au Jockey club, le plus grand hôtel de Buenos Aires.
Lucien Mazan se passionne dès son plus jeune âge, pour les exploits de coureurs cyclistes et les randonnées Bordeaux-Paris, Paris-Brest-Paris 1891 et dévore les magazines de sport. Il achète une bicyclette et se lance aussitôt dans la compétition cycliste, sur piste particulièrement où il remporte rapidement de beaux succès. Pour cacher cette pratique sportive à son père qui la désapprouve fermement, il se fait appeler « Breton », sans doute par rapport à sa province d’origine, la Bretagne. À l’époque, personne ne remettait en cause l’appartenance de la Loire-Inférieure à la Bretagne. Il devient champion d’Argentine sur piste, puis sur route en 1899 et se construit une solide réputation : coureur batailleur, combattant, très apprécié du public.
En 1902, il débarque à Paris, quelques jours seulement avant l’inauguration du nouveau vélodrome Buffalo de Neuilly-sur-Seine, décidé à venir tenter sa chance en France. À l’époque, le cyclisme se pratique principalement sur les très nombreux vélodromes que compte la France.
Un autre coureur s’appelant « Breton », il décide, afin d’éviter toute confusion, de se faire appeler « Petit Breton », pseudonyme qu’il transmettra à son fils. Ce qui n’empêche pas le public de le surnommer également « L’Argentin » ou « L’élégant Argentin » en raison de la beauté de son style et de son élégance vestimentaire !
Il débute chez les professionnels en 1902 et gagne sur piste le Bol d’or en 1904 avant d’établir l’année suivante un nouveau record du monde de l’heure avec 41,110 km réalisé au vélodrome Buffalo de Paris. Vainqueur de Paris-Tours en 1906, de la première édition de la classique Milan-San Remo en 1907, il gagne également deux Tours de France en 1907 et 1908, enlevant deux étapes sur la Grande Boucle 1907, cinq en 1908. Lucien Petit-Breton est le premier cycliste à remporter deux fois le Tour de France.
C’est en l’église de Vallet (Loire-Inférieure), capitale du muscadet, qu’est célébrée, le 24 novembre 1908, l’union de Lucien Petit-Breton et de Marie-Madeleine Macheteau, la fille cadette d’un chapelier.
Il meurt à l’hospice de Troyes des suites d’un accident automobile sur le front en 1917 alors qu’il est soldat au 20e escadron du train.
Parmi les 1 310 000 morts recensés durant le conflit mondial, l’on déplore également deux autres anciens vainqueurs de Tour de France : François Faber et Octave Lapize, respectivement vainqueurs en 1909 et 1910.
Ses deux frères, Paul et Anselme, ainsi que son fils Yves, furent également de bons coureurs cyclistes. Yves Petit-Breton fut également directeur sportif de l’équipe de l’Ouest au Tour de France 1948. »

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Dessus de boîte à gâteaux qui devient boîte à sucre.

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Un petit plaisir avec les publicités (affiches ou boîtes métal) réalisées par de grands affichistes comme Willemot ou Vilquin...

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Le homard en pince pour la belle bretonne...

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