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29 juillet 2022 5 29 /07 /juillet /2022 11:07
LA  BALADE  DE  NATHALIE  ET  JEAN  CHRISTOPHE  A PENMARCH...
LA  BALADE  DE  NATHALIE  ET  JEAN  CHRISTOPHE  A PENMARCH...

La pointe de Penmarc'h, Saint Pierre, les phares (le vieux phare et le phare d'Eckmühl), le sémaphore et Saint Guénolé.

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Le phare d'Eckmühl, le vieux phare de Penmarc'h et le sémaphore.

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Le haut du phare d'Eckmühl.

Le phare d'Eckmühl est un phare maritime situé sur la pointe de Saint-Pierre, à Penmarc'h, dans le Finistère en France. Il mesure plus de 60 mètres de haut. Il a été inauguré le et doit son nom au titre de noblesse de la donatrice qui l'a en grande partie financé. Il sécurise l'une des côtes les plus dangereuses de France en raison de ses nombreux récifs.

Ses murs sont entièrement bâtis en pierre de Kersanton et la paroi interne de sa cage d'escalier est recouverte de plaques d'opaline. C'est aujourd'hui l'un des monuments les plus visités du Finistère.

Le phare fait l’objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le et d’un classement depuis le .

La construction du phare d'Eckmühl intervient à une époque où, après plus de deux siècles de marasme, l'économie de Penmarc'h se relève notamment grâce au lancement de conserveries de sardine dans le quartier de Saint-Guénolé et à la pêche à la sardine et au maquereau, entraînant également un fort accroissement démographique. Il éclaire un des points les plus dangereux de la côte bretonne.

Le phare d'Eckmühl a été construit à côté des phares précédents, au village de Saint-Pierre. Avant lui ont été utilisés la « Vieille tour », puis le « Phare de Penmarc'h », mis en service en 1835 et prédécesseur direct d'Eckmühl. La France décide dans une loi du de moderniser la signalisation maritime de ses côtes, notamment en procédant à l'électrification de ses phares les plus importants, dont celui de Penmarc'h. Le projet de son nouvel éclairage prévoit un faisceau à 60 mètres de hauteur. Le phare de l'époque mesure 40 mètres et une étude conduit à l'impossibilité technique de suffisamment le rehausser, condition nécessaire à l'établissement d'un éclairage portant en moyenne à 100 kilomètres. En 1890 il est donc décidé de la construction d'un nouveau phare d'une hauteur de 54,20 mètres. Le projet est considéré abouti le , les plans et devis étant acceptés pour une somme totale de 110 000 francs.

Cependant le la nouvelle d'un financement inattendu vient modifier ce projet. En effet la marquise Adélaïde-Louise d'Eckmühl de Blocqueville lègue dans son  testament la somme de 300 000 francs pour la construction d'un phare. Ce phare devra se nommer « phare d'Eckmühl » en l'honneur de son père le maréchal Louis-Nicolas Davout (1770-1823), duc d'Auerstaedt, prince d'Eckmühl. Ce titre de noblesse vient de la bataille d’Eckmühl qu'il avait menée le 22 avril 1809 à proximité du village d'Eggmühl en Bavière. La marquise souhaite ainsi par ce geste que « les larmes versées par la fatalité des guerres, que je redoute et déteste plus que jamais, soient ainsi rachetées par les vies sauvées de la tempête. » Elle désire également que ce phare soit situé sur la côte bretonne et en un lieu sûr pour résister au temps. Après étude, une commission décide qu'il sera édifié sur la pointe de Penmarc'h. Afin de se conformer aux vœux de la donatrice, ils s'adjoignent les services d'un architecte parisien, Paul Marbeau, pour la partie décorative de la tour, une première dans l'histoire moderne des phares.

LA  BALADE  DE  NATHALIE  ET  JEAN  CHRISTOPHE  A PENMARCH...

Le phare dispose d'un budget de 600 000 francs et sera situé à 122 mètres à l'est de l'ancien phare. Les travaux débutent en et sont assurés par l'entreprise Vabre. L'ancienne maison des gardiens du phare et un calvaire sont détruits lors de la construction du phare d'Eckmühl.

Le sable vient de Toul ar Stêr, les moellons de Poulgallec, dont la carrière est remplacée par celle de Talarou en mars 1896, et de la grève à l'ouest du sémaphore. La chaux hydraulique, dont la qualité est étroitement surveillée, vient des fours de Marans d'où elle est convoyée par bateau jusqu'à Loctudy puis par charrette jusqu'à Saint-Pierre. Le ciment Portland vient de Boulogne. Enfin le granite de Kersanton vient de Brest où il est préalablement taillé en blocs puis acheminé par la mer dans des gabares jusqu'au port de Kérity. Préféré pour des raisons financières, le transport maritime est difficile et entraîne de nombreux retards, des augmentations du coût total et rallonge le chantier. Du retard est également causé par un manque d'ouvriers.

Du granite provient aussi de l'île de Penfret dans l'archipel des Glénan si l'on en croit le témoignage de Victor-Eugène Ardouin-Dumazet : « La petite cale où nous débarquons est animée en ce moment par la présence d'une grosse embarcation qui charge des pierres destinées à la construction d'un nouveau phare à Penmarc'h. Le granit de Penfret se débite facilement ; les abords de la cale sont devenus une carrière où l'on extrait la roche ».

La couche de mortier des fondations est recouverte de goudron pour empêcher l'humidité de monter dans les murs. Le socle est réalisé grâce à un échafaudage facilitant l'accès au chantier et à une sapine permettant de monter les blocs de granite. Le fût et la corniche sont réalisés à l'aide d'une sapine posée à l'intérieur de la tour, en haut de laquelle les blocs sont hissés par une chaîne qui passe en haut dans une poulie et en bas dans un treuil activé par un moteur à vapeur. Les blocs sont ajustés depuis un échafaudage extérieur amovible. Ces deux dispositifs sont périodiquement rehaussés, forçant une pause dans les travaux. Les plaques d'opaline revêtant la paroi interne sont posées depuis un échafaudage tiré par une chaîne remontant dans l'axe de la tour.

Le chantier est entaché d'un grave accident : pendant le lavage de l'extérieur, une chaîne soutenant un échafaudage casse et 7 ouvriers font une chute de 10 mètres et sont blessés. Un d'eux est rendu aveugle par l'acide qui est utilisé pour son travail.

Le phare, dont l'inauguration est initialement prévue pour le , date du 5e anniversaire de la mort d'Adélaïde-Louise d'Eckmühl de Blocqueville, est finalement repoussée au 17 octobre 1897 pour ne pas coïncider avec la grande foire annuelle de Pont-l'Abbé. Cette inauguration donne lieu à de nombreuses festivitésdécrites dans les journaux de l'époque.

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Le corps de la tour est octogonal à l'extérieur et cylindrique à l'intérieur. Ses murs sont percés de six fenêtres sur la façade est et cinq fenêtres sur la façade ouest, sur le long de laquelle courent également des câbles et sont plantées des antennes. La paroi interne est recouverte de carreaux blancs d'opaline.

Il contient un escalier à vis de 272 marches. Ces marches de granite mesurent 18 centimètres de haut, 80 centimètres de large et sont encastrées de 24 centimètres dans le mur. La paroi autour de l'escalier est ponctuée de renfoncements à chaque fenêtre. Le plafond est recouvert de 22 plaques de marbre bleu turquin nervurées de rayons de bronze. La rampe, faite de 2,565 tonnes de bronze, comporte un barreau par marche. Le pilastre a une forme qui imite celle du phare d'Eckmühl. Cet escalier permet d'atteindre une plateforme depuis laquelle une série de 13 marches plus raides mènent à la salle d'honneur du campanile

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Le campanile est constitué d'une tourelle octogonale entourée d'un balcon en encorbellement permettant d'en faire le tour. Cette tourelle contient une salle dite « salle d'honneur ». Entièrement lambrissée en chêne de France et chêne de Hongrie, on y trouve une statue en bronze de Louis-Nicolas Davout, réduction de la statue érigée à Auxerre en son hommage. La tourelle est percée de sept fenêtres et a une porte en bronze qui donne sur le balcon. Les rebords de celui-ci sont gardés par une balustrade en granite.

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L'ancienne chapelle Saint Pierre et sa tour.

Partant de l'extrémité de la pointe, s'alignent plusieurs édifices…

  • L'actuel sémaphore est confié aux guetteurs de la Marine nationale.

  • La « vieille tour » est construite au début du XVe siècle. À la fois ouvrage de défense, sémaphore et clocher de la chapelle qui la jouxte, elle est peut-être utilisée comme tour à feu. Frappée par la foudre le , elle voit sa hauteur passer de 17 à 12 mètres. Pendant la construction du « vieux phare », elle est dotée d'un feu fixe blanc portant à quatre lieues.

  • La chapelle Saint-Pierre, accolée à la vieille tour, est raccourcie de moitié lors de la construction du « vieux phare ». Le pardon des enfants a lieu le 29 juin, ou le dimanche le plus proche.

  • Le « vieux phare », ou « phare de Penmarc'h », est construit de 1831 à 1835. Haut de 38 mètres (40 mètres au-dessus du niveau de la mer), il est en service jusqu'en 1897, puis remplacé par le phare d'Eckmühl.

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Le vieux phare de Penmarc'h.

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Les vues depuis le haut du phare...

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Le phare d'Eckmühl : point de vue vers le port de Saint Guénolé et entre le phare et le port de St Guénolé, la chapelle Notre Dame de la joie.

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Ici, nous sommes en pays bigouden mais la Bretagne n'est pas que le pays bigouden !.

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Point de vue vers Kérity.

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Penmarc'h, église Saint Nonna.

Pour ceux qui  souhaitent voir beaucoup plus de photos sur le pays bigouden, il faut voir mon reportage sur le pays bigouden...

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Saint-Guénolé est le quartier nord-ouest — formant une agglomération distincte — de la commune de Penmarc'h, en Pays Bigouden, dans le Finistère. Important port de pêche, il est en 2012, dans le classement des ventes en criée des bateaux français, le cinquième port de pêche de France en tonnage, et le septième en valeur. Il est le quatrième port sardinier de France.

1er port sardinier de France en 2015, 7ème port en pêche fraîche débarquée : un peu plus de 11 700 tonnes en 2015 ( valeur : 20 708 kilos d’euros ).
La spécificité du port de Saint-Guénolé est la pêche à la sardine. Les sardiniers aussi appelés “bolincheurs” pratiquent une pêche de nuit, les marins débarquent le poisson pour la criée de 6h30. A 16h30, c’est au tour des bateaux côtiers de débarquer la pêche du jour : lottes, lieus, raies, turbots et bien sûr la fameuse langoustine! A partir de 19h, les bateaux hauturiers livrent le produit d’une quinzaine de pêche qui sera vendue le lendemain matin.

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La pêche à la bolinche est conçue pour les poissons côtiers, en particulier les poissons bleus tels que la sardine, le maquereau, l’anchois… Elle est mise en œuvre dans la limite des eaux territoriales (12 milles) et dans une zone qui s’étend depuis la côte jusqu’à un maximum de 100 mètres de profondeur. Cette technique respectueuse permet de ne pas endommager les fonds marins et de cibler précisément certaines catégories de poissons. En effet, si ceux qui ont été capturés n’appartiennent pas à l’espèce prévue, ou si leur calibre n’est pas celui attendu, l’intégralité du banc est rejetée immédiatement à la mer. De plus, le poisson éventuellement relâché n’est pas étouffé, comme il peut l’être dans le cas de la pêche effectuée depuis un chalut pélagique.

La pêche à la bolinche utilise toujours les mêmes techniques. Elle a lieu entre les mois de mai et octobre, c’est-à-dire en dehors de la période de reproduction des sardines et au moment où les poissons sont les plus gras et fermes. Elle se déroule de nuit, car c’est le moment où les poissons montent à la surface (entre 15 et 40 mètres de profondeur) pour se nourrir (œufs de poisson, larves de crustacés, plancton…). Les bolincheurs rentrent au port après chaque pêche, qui est déchargée au petit matin.

Depuis les années 60, les bancs sont repérés visuellement ou grâce à un sonar. Auparavant, la pêche était effectuée depuis des chaloupes et employait de la rogue de morue norvégienne comme appât. Il s’agit d’un mélange d’œufs de morue salés et de résidu d’extraction de l’huile d’arachide. Aujourd’hui, plus aucun appât n’est nécessaire, on parle ainsi de « pêche à la bolinche sans rogue ».

La pêche à la bolinche peut s’apparenter à une forme de chasse, car la recherche des bancs de poissons peut durer très longtemps et leur détection ne se produit parfois jamais. Lorsqu’un banc est repéré, la bolinche ou petite senne, filet en forme de rectangle, est déployée très rapidement, en tournant autour du groupe de sardines. Le haut du filet est équipé de flotteurs et la partie basse est lestée. Un filin, la coulisse, permet de fermer le filet par le bas en formant une poche : c’est le boursage. Cette poche est ramenée délicatement à la surface le long de la coque, afin de ne pas abîmer les poissons. Une épuisette spécifique, la salabarde, est portée par une petite grue pour déposer les poissons dans la cale.

Juste après la pêche, les sardines et maquereaux sont placés dans des bacs remplis de glace avant d’être rapportés au port. À l’arrivée, ils sont immédiatement traités pour être, le cas échéant, préparés et mis en conserve.

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Je me souviens de mon séjour de 4 jours à St Guénolé et de voir chaque soir, à la nuit tombée, les bolincheurs quitter le port de St Guénolé.

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Le port de Saint Guénolé Penmarc'h et au-dessus le site de La Torche.

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La chapelle Notre Dame de la Joie.

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Lucien Simon, la récolte des pommes de terre devant la chapelle Notre Dame de la Joie (1907).

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Lucien Simon, brulage du goémon devant la chapelle Notre Dame de la Joie.

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Un petit tour par Le Guilvinec mais trop tard pour voir arriver les chalutiers et assister au débarquement de la pêche. Voir mon reportage sur le pays bigouden !.

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Face à la criée du Guilvinec, le port de Léchiagat et le phare de Croas Malo.

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Le port de Treffiagat-Léchiagat fait face à celui du Guilvinec et fait partie du même ensemble portuaire ; il conserve une notable activité de pêche maritime. Le hameau de Léchiagat conserve un ensemble typique de maisons de pêcheurs le long de ruelles étroites. Ce fut longtemps un simple port d'échouage.

L'entrée du port est balisée par trois phares : le premier phare, dit « phare de Croas Malo », construit en 1869-1870, haut de 22 mètres, situé au fond du port (restauré en 2003) ; le « petit phare » qui se trouve à la pointe de Léchiagat, près de la promenade de la cale de Faoutès, dans l'« enclos des phares », haut de 6,5 mètres, mis en service en 1871 ; mais la vue de ce « petit phare » étant progressivement masquée par les constructions de plus en plus nombreuses, un troisième phare, rond cette-fois, situé à l'extrémité de la pointe, haut de 7,2 mètres, est mis en service en 1902. Il est resté en service jusqu'en 1987. Restaurés en 2010, ces phares sont désormais un témoignage du patrimoine maritime.

La construction de nouveaux quais, d'une darse et d'un élévateur de bateaux (slipway), et d'un large terrassement accueillant les chalutiers en réparation ont donné un certain regain de dynamisme au port de Léchiagat, qui abrite aussi désormais des bateaux de plaisance, mais qui reste nettement moins développé que le port du Guilvinec, situé sur la rive opposée.

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Le château d'eau peint en 2009 par Frédéric Gracia.

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Le cimetière des chalutiers de Léchiagat Le Guilvinec.

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commentaires

Je veux vraiment faire de la voile même une fois mais je n'en ai pas eu l'occasion et l'opportunité.
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Regarder l'épave me rappelle le film "Robbery of the Caribbean".
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G
L'escalier en colimaçon a l'air incroyable.
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