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30 octobre 2024 3 30 /10 /octobre /2024 09:17
LE MONT SAINT MICHEL VU PAR LES PUBLICITES...

J'ai déjà publié des affiches publicitaires sur le Mont St Michel, elles ont été classées, bien souvent, dans le thème "RELIGION".

Aujourd'hui, et déjà depuis très longtemps, les visiteurs du Mont ne sont plus des pélerins mais des touristes et le Mont Saint Michel est le site de France le plus visité après Paris.

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Le Mont-Saint-Michel est une commune française située dans la Manche en Normandie. Elle tire son nom de l'îlot rocheux consacré à saint Michel où s’élève aujourd’hui l’abbaye du Mont-Saint-Michel.

L’architecture du Mont-Saint-Michel et sa baie en font le site touristique le plus fréquenté de Normandie et l'un des dix plus fréquentés en France — premier site après ceux d'Île-de-France — avec près de deux millions et demi de visiteurs chaque année (3 250 000 en 2006, 2 376 000 en 2018) suscitant comme ailleurs une réflexion sur la régulation des flux touristiques.

Une statue de saint Michel placée au sommet de l’église abbatiale culmine à 157,10 mètres au-dessus du rivage. Élément majeur, l'abbaye et ses dépendances sont classées au titre des monuments historiques par liste de 1862 (Soixante autres constructions étant protégées par la suite) ; l'îlot et le cordon littoral de la baie figurent depuis 1979 sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO ainsi que le moulin de Moidrey depuis 2007. Par ailleurs, le mont bénéficie d'une seconde reconnaissance mondiale en tant qu'étape des Chemins de Compostelle en France pour « les pèlerins du Nord de l'Europe (qui) passaient par le Mont lorsqu'ils se rendaient en Galice ».

En 2021, la commune comptait 25 habitants, appelés les Montois. L'îlot du mont Saint-Michel est devenu au fil du temps un élément emblématique du patrimoine français.

En 2023, le village du Mont-Saint-Michel intègre la listes des villages labellisés Village patrimoine, qui œuvrent à mettre en avant leurs patrimoines matériels et/ou immatériels (historique, culturel, naturel, architectural, etc.

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Les anciennes affiches touristiques sur LE MONT SAINT MICHEL.

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À l'origine, il était connu sous l'appellation de mont Tombe. Il devait y avoir deux oratoires, l'un dédié à saint Symphorien, l'autre à saint Étienne, édifiés par des ermites aux VIe et VIIe siècles, ainsi que le rapporte la Revelatio ecclesiae sancti Michaelis archangeli in Monte Tumba. À la suite de cette première christianisation du mont Tombe, est érigé un oratoire en l’honneur de l’archange saint Michel en 708 (709 pour la dédicace), comme l'indiquent les Annales du Mont-Saint-Michel rédigées au début du XIIe siècle. Aubert, évêque d'Avranches, installe sur le site une communauté de douze chanoines pour servir le sanctuaire et accueillir les pèlerins. C'est à cette époque que le mont accueillit, à l'est du rocher, les premiers villageois qui fuyaient les raids vikings. Ce premier habitat a dû abriter les différents corps de métier nécessaires à l'édification du premier sanctuaire : tailleurs de pierre, maçons, tâcherons et charpentiers. Puis il a dû accueillir les laïcs chargés d’approvisionner la communauté religieuse. « Malgré les nombreuses reconstructions qui ont, petit à petit, façonné le bourg que nous connaissons aujourd'hui, le noyau primitif du village demeure encore perceptible : il correspond en effet à une zone caractérisée par une organisation parcellaire relativement complexe et un enchevêtrement de constructions desservies par des ruelles tortueuses ». Il s'agit, grosso modo, du secteur où se trouvent implantés l'église paroissiale Saint-Pierre et son cimetière. La plupart des habitations devaient être construites en bois et en torchis.

À partir de l'an 710 et pendant tout le Moyen Âge, le mont fut couramment surnommé par les clercs « mont Saint-Michel au péril de la mer » (Mons Sancti Michaeli in periculo mari).

Les premières traces écrites d’un établissement religieux au Mont le rattache au diocèse d'Avranches, lui-même suffragant du métropolitain de Rouen. Le cadre géographique de la province ecclésiastique de Rouen reprend d'ailleurs celui de la circonscription administrative romaine de Seconde Lyonnaise, dont fait partie l'Avranchin, lui-même correspondant peu ou prou au territoire de la tribu armoricaine des Abrincates. Puis, cette province ecclésiastique va servir de cadre à la future Normandie.

En 867, le traité de Compiègne concède le Cotentin, ainsi que l'Avranchin (bien que ça ne soit pas clairement stipulé), au roi de Bretagne, Salomon. En 870, à la suite d'un raid viking, la population des environs s'y réfugie et y crée un bourg. L'Avranchin, tout comme le Cotentin et la plus grande partie de ce qui sera appelé plus tard Basse-Normandie, ne faisaient pas partie du territoire concédé au chef viking Rollon en 911. Le mont Saint-Michel restait sous la domination politique du roi de Bretagne, bien que le pouvoir religieux continuât d'émaner essentiellement du diocèse d'Avranches dans l'antique province ecclésiastique de Rouen, ville devenue entre-temps la capitale d’un embryon d'État normand. Le territoire du Mont était encore sous domination bretonne en 933 lorsque Guillaume Ier de Normandie, dit Guillaume Longue Épée, « obtint du roi de France un agrandissement notable de son territoire, avec le Cotentin et l'Avranchin, jusqu'alors contrôlés par les Bretons. C'est donc à cette date que le Mont est officiellement rattaché à la Normandie », la frontière politique de l'Avranchin se fixant transitoirement à la Sélune, fleuve côtier qui se jetait à l'est du Mont. Guillaume Longue Épée fit d'importants dons de terres à la communauté des chanoines montais, ces domaines étant presque tous situés entre le Couesnon et la Sélune.

Richard Ier de Normandie, fils de Guillaume Longue Épée, eut à cœur de poursuivre l’œuvre de réforme monastique de son père et il ordonna aux chanoines à qui le Mont avait été confié de renoncer à leur vie dissolue ou de quitter les lieux. Tous partirent sauf un, Durand, qui se réforma par amour pour l'archange. C'est ainsi que s'y établirent en 966 des bénédictins issus de différentes abbayes telles, sans doute, Saint-Taurin d'Évreux et Saint-Wandrille. L'histoire de cette fondation est relatée dans l'Introductio monachorum, qui figure au début du Cartulaire du Mont-Saint-Michel. Le premier abbé fut Maynard Ier. Une tradition bien établie veut qu'il s'agisse du réformateur Mainard, chargé de restaurer l'abbaye de Saint-Wandrille mais cette hypothèse reste controversée. C'est lui qui aurait fait édifier l'église préromane appelée Notre-Dame-sous-Terre, construite à cette même période. En 992, un incendie détruit le village et l'abbaye. Maynard II, neveu du précédent, qui était aussi abbé de Redon, lui succéda jusqu'en 1009. « À cette époque, le Mont scelle la bonne entente entre les deux ducs, de Normandie et de Bretagne ».

Sont inhumés dans la chapelle Saint-Martin de l'abbaye les ducs de Bretagne, de la maison de Rennes :

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LE MONT SAINT MICHEL... Si dans sa folie, le Couesnon, le mis en Normandie mais, il est un peu partagé avec les bretons !.

En 1009, le duc de Normandie décide d'exercer un contrôle direct sur l'abbaye du Mont-Saint-Michel et l'abbé Maynard II, issu de la communauté de Saint-Wandrille, est évincé et doit se replier à l'abbaye Saint-Sauveur de Redon. pour être remplacé par l'abbé Hildebert Ier, préféré par Richard II.

Pendant le premier quart du XIe siècle, les bonnes relations perdurent entre les moines du Mont et les ducs, sous les abbés Hildebert Ier (1009-1017) puis Hildebert II (1017-1023) qui commence la reconstruction de l'église romane par la crypte du chevet. Mais elles se gâtent lorsque le duc normand Richard II, qui protégeait l'abbaye à l'instar de son père, décide de remplacer l'abbé montois par un abbé extérieur et réformateur, d'abord le Romain Supo puis le Bourguignon Thierry, déjà abbé de l'abbaye de Jumièges et gardien de l'abbaye de Bernay, alors dépendance de l'abbaye de Fécamp.

Profitant de la Régence d'Havoise de Normandie, sa sœur, sur la Bretagne et de l'agression du chef viking Olaf sur Dol-de-Bretagne en 1014, le duc Richard II de Normandie repousse vers 1027-1030 la frontière avec la Bretagne de la Sélune au Couesnon.

Le nouveau duc Robert Ier de Normandie, dit Robert le Magnifique, nomme en 1027 un abbé d'origine mancelle, Aumode, à qui il confie en 1032 sa nouvelle fondation, l'abbaye de Cerisy. L'abbé Supo est donc rappelé et dirigea l'abbaye montoise jusqu'à sa retraite à l'abbaye de Fruttuaria avant 1048.

En 1030, Alain III, duc de Bretagne, entre en conflit avec son cousin, le duc Robert Ier de Normandie, fils de Richard II. C'est la toute puissance de Robert « le Magnifique » qui a dans son duché de Normandie, solidement rétabli le pouvoir ducal. C'est dans cette optique d'hégémonie qu'il demande à son cousin Alain III de lui prêter un serment de fidélité. Celui-ci refuse et oblige le duc de Normandie à utiliser la force. Après la construction d'une forteresse, celle de Cheruel, le duc de Normandie lance une expédition en Bretagne. Alain riposte en lançant une contre-offensive dans l'Avranchin, mais il est repoussé avec de lourdes pertes. Son oncle Robert le Danois, archevêque de Rouen, sert de médiateur lors d'une entrevue au Mont-Saint-Michel. En 1031, Alain et son frère Eon de Penthièvre font une donation au Mont-Saint-Michel.

Le duc Guillaume le Conquérant s’intéressa de près aux successions abbatiales et octroya des bénéfices, tant temporels que spirituels, à l'abbaye du Mont qui avait soutenu financièrement la conquête de l'Angleterre. Ainsi, certains moines montois furent appelés à diriger des abbayes anglaises. Grâce aux revenus des terres et prieurés octroyés par le duc, l'abbatiale romane est rapidement achevée. À la mort du Conquérant, le Mont traverse une période trouble, mais grâce à l'excellente administration de ses abbés, notamment Bernard du Bec, l'abbaye connaît un grand développement intellectuel.

C'est Henri Ier Beauclerc qui le premier bâtit un fort, sans doute sommaire, sur le rocher, et qui fut aussitôt assiégé par ses frères Robert Courteheuse et Guillaume le Roux, afin de le déloger, dans la guerre fratricide qui les opposaient. Après la bataille sur les grèves, le duc de Normandie, Robert, concède à son frère Henri le Cotentin.

XIIe – XVe siècle

L'abbaye échappa, en , au grand incendie que déclenchèrent les paysans révoltés de l'Avranchin et qui ravagea le village montois, à la suite d'un désaccord avec les moines sur la succession d'Henri Ier Beauclerc.

L'histoire et la légende se brouillent à cette date. Les textes de l'époque ne précisent pas le sort du mont Saint-Michel, mais son rattachement à la Normandie est attesté quelques décennies plus tard, et il est déjà effectif depuis longtemps lorsque les alliés bretons de Philippe Auguste, menés par Guy de Thouars, incendient le Mont en en représailles de l’assassinat d'Arthur par Jean sans Terre, et massacrent la population. À la suite de cet incendie, les abbés Jourdain et Richard Tustin, reconstruisent l'abbaye.

L'enceinte fortifiée de la ville est commencée à la suite des largesses de Saint Louis venu en pèlerinage en 1254, avec l'édification de la tour du Nord et vers 1257, d'une porte barrant le seul accès possible à la plate-forme par les grands escaliers à l'est. Le village, à cette époque, beaucoup plus petit, groupait ses maisons tout en haut du rocher près de l'entrée de l'abbaye. À la même époque, l'abbé Richard Turstin, construit, à l'entrée du monastère, la salle des gardes des bâtiments abbatiaux. Cette enceinte, qui ne ceinturait que le sommet du Mont, entre la tour du Nord, le chevet de l'église paroissiale Saint-Pierre et les murs du logis abbatial, sera achevée, vers 1311, par l'abbé Guillaume du Château.

L'essor du pèlerinage s'accompagne d'un intense mouvement commercial. Les marchands sont regroupés dans le chemin des Loges, venelle située au pied de l'abbaye. Les loges de commerçants sont de petites cellules (comme les trois visibles dans la maison de la Truie) dans lesquelles ils vendent aux miquelots des coquilles Saint-Jacques ou une spécialité montoise (l'ampoule en plomb que l'on remplit du sable des grèves), progressivement remplacées à partir du XIIIe siècle par des enseignes de pèlerinage (en).

En 1314, est installée au Mont la première garnison composée d'un homme d'armes et de cinq servants, logée par l'abbé dans la porterie et dont la solde est supportée par le roi, les moines arguant du fait que jusqu'à présent, ils s'étaient défendus eux-mêmes. Les abbés seront, pour la même raison, capitaines de la ville et abbaye du Mont-Saint-Michel tout au long du XIVe siècle et s'attachent, en donnant en fiefs pris sur les domaines de l'abbaye, le service armé de nombreux seigneurs du Cotentin et de l'Avranchin dont les Painel de Hambye. En 1346, les Anglais épargnent le Mont mais ravagent Avranches. En 1365, Tiphaine Raguenel, femme de Bertrand du Guesclin (alors gouverneur de Pontorson), jugeant la place sûre, s'y installe avant le départ de Du Guesclin pour l'Espagne. Sous le gouvernement du 29e abbé, Pierre le Roy, de 1386 à 1410, on y réalise quelques nouvelles fortifications : à l'angle nord-est de la Merveille, couronnement octogonal de la tour des Corbins ; aux pieds, longue courtine-terrasse dominant le bois. En 1393, on flanque la porte de 1257 de deux tourelles. On édifie en avant de la barbacane de grands degrés, et l'abbé se fait construire un logis fortifié, ainsi que la tour Pénine, à base carrée, en charge de surveiller le Grand Degré.

Les remparts urbains que l'on voit aujourd'hui sont pour l'essentiel l’œuvre de l'abbé Robert Jollivet. En 1417, il ceint la ville basse et le pied du Mont d'une enceinte continue à parapet crénelé sur mâchicoulis. La courtine est flanquée de six tours dont : tour du Roy, de l'Arcade, et Cholet, et on bâtit des entrepôts afin d'y tenir les provisions et les munitions. Au chevet de l'église, on creuse une citerne filtrante, et le seul accès à la ville est barré par une porte fortifiée, la porte du Roy. En 1420, le Mont résiste à l'invasion des Anglais, mais l'abbé Jolivet fait allégeance au roi Henri V d'Angleterre. C'est le prieur Jean Gonault qui assure l'intérim. En 1425, c'est Louis d'Estouteville qui est nommé par Charles VII capitaine du Mont et améliore encore les fortifications (la barbacane du Roi). Le , nouvel assaut des Anglais mené par Lord Scales, qui se solde encore par un échec, les assaillants abandonnant deux de leurs bombardes, que l'on peut voir à l'entrée de la ville. C'est Louis d'Estouteville, en 1441, qui aurait bâti la tour Boucle. Cette tour, d'un genre nouveau, capable de résister à l'artillerie, était équipée de batteries couvertes suffisamment aérées.

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Des affiches du MONT bien plus modernes...

En 1534, Gabriel du Puy, gouverneur militaire du Mont pour le roi François Ier y apporte encore quelques améliorations : éperon de la tour Boucle, porte de l'Avancée, tour Gabriel (du prénom de son concepteur et non de l'Archange). En 1577, des huguenots déguisés en pèlerins tenteront de s'emparer du Mont ; les habitants les chasseront. Le Mont est inspecté en 1691 par Vauban. En 1731, Louis XV prend possession du Mont, restaure les remparts et transforme en prison d'État, l'abbaye, fonction qu'elle assurera jusqu'au Second Empire. En 1830, la forteresse est transformée en prison politique après les émeutes de Juillet. En 1862, Napoléon III classe le Mont.

Le rocher, au fil du Couesnon

« Le Couesnon dans sa folie a mis le Mont en Normandie. Et quand le Couesnon retrouvera sa raison, le Mont redeviendra breton  ». Ce proverbe breton sous-entendant que l'appartenance du Mont dépendrait des divagations du fleuve s'avère sans fondement, le Mont-Saint-Michel étant déjà rattaché à la Normandie (en 933) quand le Couesnon n'était pas encore considéré comme frontière.

Le Mont-Saint-Michel aurait donc été breton de 867 à 933, de manière géopolitique, mais sans n'avoir jamais été intégré à l'archidiocèse de Dol. Il reste donc, à cette période, dépendant du diocèse d'Avranches (lui-même dépendant de la Province ecclésiastique de Rouen).

De même, la fondation d'un collège de chanoine par l'évêque d'Avranches dès le VIIe siècle, le choix de saint Michel comme saint protecteur de l'empire par Charlemagne, puis les donations de Rollon pour restaurer la collégiale et enfin sa conversion en abbaye bénédictine en 966 par une communauté de moines issue des abbayes de Saint-Wandrille, de Jumièges et de Saint-Taurin d'Évreux, toutes situées en Normandie, indiquent clairement l'appartenance permanente du Mont à la sphère d'influence de l'église franque puis normande, distinctes de l'église bretonne, ce qui rend la question de la localisation géographique exacte plutôt secondaire.

La limite officielle entre la Bretagne et la Normandie est désormais fixée indépendamment de la localisation d'un cours d'eau, à 4 km à l’ouest du rocher.

Il faut noter que l'hypothèse d'une divagation importante du Couesnon est parfaitement cohérente et vraisemblable, tant les lits des cours d'eau pouvaient varier, en l'absence de toute canalisation – et parfois de plusieurs dizaines de kilomètres. Le fait que l’embouchure du Couesnon se trouvait à 6 km du rocher au XVIIIe siècle n'apporte aucune information sur sa position au fil des siècles précédents – la topographie rend même inévitable qu'il ait bougé régulièrement. En revanche, aucun texte n'atteste qu'il ait basculé d'un côté du mont Saint-Michel à l'autre.

Le temps des pèlerinages

Le pèlerinage du mont Saint-Michel est attesté au IXe siècle et il est vraisemblable que les miquelots trouvent à cette époque le gîte et le couvert dans l'une des auberges du village, apparues pour les accueillir au pied du mont. Le village s'est ainsi développé à l’ombre de son abbaye médiévale, grandissant au tournant de l'an mil grâce à la protection des abbés bénédictins.

L’économie du Mont est tributaire, depuis douze siècles, des nombreux pèlerinages, notamment jusqu’à la Révolution française. On vient de toute l’Europe du Nord en pèlerinage à l’abbaye : depuis l’Angleterre, la France, notamment du nord et de l’ouest.

C’est sous l’épiscopat de Mgr Abel-Anastase Germain qu’ont lieu le , les fêtes grandioses du couronnement de saint Michel en présence d’un cardinal, de huit évêques, d’un millier de prêtres et d’une foule innombrable. Ce jour-là, alors que le canon tonne et que joue une musique militaire, l’évêque manque perdre la vie : en effet, juché au sommet d’une échelle pour couronner la tête de l’Archange, Mgr Germain est sur le point de perdre l’équilibre et de tomber dans le vide.

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Déjà depuis le XIXe siècle, les auteurs et peintres romantiques venaient au mont, pour son charme unique et ses qualités pittoresques, tel Guy de Maupassant. À la fin du siècle, plusieurs hôtels sont établis au Mont. Dans la deuxième moitié du XXe siècle, la mutation du site en un lieu de visite de rang mondial a fait de la petite commune normande l’une des premières destinations touristiques de France.

La fréquentation du site et de l'abbaye est concentrée dans le temps. Elle est la plus forte au cours de la période estivale et de certains week-ends printaniers qui concentrent le tiers des visiteurs du Mont-Saint-Michel, avec une moyenne journalière approchant les 12 000 visiteurs et des pics dépassant les 16 000 visiteurs par jour, avec un flux de visiteurs de moins en moins dense au fur et à mesure de l'ascension vers l'abbaye (un tiers seulement montant jusqu’à l’abbaye). Le temps moyen de visite est de deux à trois heures. « Au cours d’une journée, c’est entre 11 h et 16 h que la densité de visiteurs sur le site est la plus forte ».

Le Mont connaît un déclin de fréquentation depuis le début du XXIe siècle, passant de 3,5 millions de visiteurs à 2,2 millions en 2013. Le site pâtit en effet des nouvelles conditions de desserte de la presqu’île et de la mauvaise réputation du Mont-Saint-Michel qui fait payer cher des prestations médiocres.

Depuis le , les visiteurs peuvent se rendre au Mont par les nouveaux ouvrages d'accès créés par l'architecte Dietmar Feichtinger qui a remporté le concours du projet Saint-Michel. Une nouvelle digue et une passerelle sur pilotis laissant passer l'eau en dessous desservent désormais l'île. Cependant, le déclin touristique se poursuit, en raison notamment de la hausse des tarifs de stationnement, de la traversée à pied qui prend 50 minutes ou des navettes qui n’effectuent qu’une partie du parcours.

L'abbaye et le Centre des monuments nationaux

L’abbaye, les remparts et certains immeubles, dont le bâtiment dit les Fanils, sont propriétés de l’État et gérés par le Centre des monuments nationaux, établissement public administratif placé sous la tutelle du ministère de la Culture. En 2011, l'abbaye a reçu 1 335 000 visiteurs. Elle est le second monument national le plus visité, après Notre-Dame de Paris (la tour Eiffel et le château de Versailles n'étant pas gérés par le CMN).

Présence religieuse

Depuis 2001, les Fraternités monastiques de Jérusalem assurent une présence religieuse toute l'année. Ils remplacent les moines bénédictins, réinstallés au mont depuis 1966. Depuis 2008, frère Théophane est le prieur des fraternités, présentes au mont avec onze religieux, cinq frères et six sœurs.

Ainsi, chaque jour, la communauté se retrouve pour les offices dans l’abbatiale ou dans la crypte Notre-Dame des Trente Cierges, rendant ainsi à l’édifice sa destination originelle, pour prier et chanter la gloire de Dieu. Visiteurs et pèlerins viennent assister aux célébrations liturgiques. Le « Logis Saint-Abraham », permet, depuis , d'héberger des pèlerins retraitants au sein des fraternités.[réf. souhaitée] Les religieux sont les locataires du Centre des monuments nationaux et n'interviennent pas dans la gestion de l'abbaye.

Depuis 2021, les fraternités travaillent ensemble avec des prêtres de la communauté Saint-Martin, appelés par l'évêque de Coutances, Laurent Le Boulc'h, pour desservir le sanctuaire du mont et le prieuré d’Ardevon. Pierre Doat y exerce la charge de recteur du sanctuaire et est assisté de deux autres membres de la communauté pour subvenir aux besoins des paroisses avoisinantes de Pontorson et de Saint-James. Il succède à Maurice Franc.

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De là aussi on voit le MONT SAINT MICHEL !.

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Vous entrez au Mont et sur la gauche... LA MERE POULARD sans aucun doute l'omelette la plus chère au monde !.

LA MERE POULARD et ses produits dérivés...

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Vous connaissez les vêtements de travail LE MONT ST MICHEL ?.

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Ils font figurer le Mont Saint Michel sur leurs publicités...

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« Un scandale ! » La pub XXL qui défigure le Mont-Saint-Michel en pleines grandes marées ne passe pas

Par Audrey VAIRÉ.

Autorisée pour un mois, une grande publicité pour Xiaomi déçoit les spectateurs de la marée décennale au Mont-Saint-Michel. Les recettes de l’affichage permettent à La Mère Poulard de financer ses travaux de restauration.

« C’est un scandale ! Ça devrait être interdit de laisser passer ça. » Ce sentiment était partagé par les nombreuses personnes venues admirer la grande marée, ce mardi 12 mars 2024, au pied du Mont-Saint-Michel. Ils ont pu voir un spectacle inédit : l’îlot rocheux complètement encerclé par les eaux, avec en prime une immense pub pour Xiaomi Tech.

Installée pour un mois

Vantant leur smartphone, elle montre une photo de la Merveille prise dans une voiture. Elle est entourée par une façade en trompe-l’œil, qui sert à cacher l’échafaudage des travaux de restauration de l’Auberge de La Mère Poulard.

La grandeur impressionnante de l’affichage fait qu’on ne voit plus que ça. Surtout la nuit, où elle est légèrement éclairée. Pour le site classé au patrimoine mondial de l’Unesco depuis 1979, c’est une première : jamais une publicité aussi grande n’avait été visible depuis les remparts.

Installée depuis le 17 février 2024, elle doit rester un mois. Derrière ce choix, on ne retrouve pas les acteurs locaux, mais la Direction régionale des affaires culturelles (Drac) de Normandie. Comme l’indiquent des arrêtés placardés sur l’établissement, c’est elle qui a délivré l’autorisation, également signée par le préfet de la Normandie.

Elle finance les travaux

La raison ? Un article du Code du patrimoine qui permet, depuis 2007, d’avoir un affichage publicitaire sur les Monuments historiques en travaux. La pratique n’est pas rare dans les plus grandes villes et a été utilisée, par exemple, pour le Louvre.

« Cette publicité a aussi nécessité une instruction par les services de l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine de la Manche. Elle est conditionnée à une affectation totale des revenus au chantier : elle permet la restauration du restaurant », développe le responsable communication de la Drac, le lundi 11 mars 2024.

Une demande de prolongation refusée

Le groupe de La Mère Poulard a bien conscience que la pratique est nouvelle pour la Merveille normande. « Le caractère iconique du site nous a incités à tenter le pari d’une telle proposition pour nos travaux d’hiver. On remercie Xiaomi d’aider au financement de la restauration de notre patrimoine français », souligne-t-il dans un communiqué de presse.

D’une durée de six mois, les travaux, dont le coût total approche le million d’euros, vont permettre de « restituer les devantures d’origine, de remplacer des menuiseries, de restaurer les façades et couvertures ». Ils sont financés par le groupe d’hôtellerie-restauration, avec l’aide de la Drac.

L’entreprise Xiaomi, qui a remporté un appel d’offres pour cet affichage, espérait rester visible plus longtemps, mais la demande de prolongation a été refusée par la Drac, qui annonce que la publicité sera retirée « incessamment sous peu ». Trop tard pour les amateurs des grandes marées, qui auront l’image sur toutes leurs photos…

Ouest France 2024

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Les fromages et leurs étiquettes illustrées du Mont St Michel.

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La chapelle Sainte Anne de la grève entre Cherrueix et le Mont St Michel, un joli lieu à découvrir avec ses deux petits étangs sur lesquels on peut surprendre un certain nombre d'oiseaux comme les échasses ou le petit grèbe castagneux... A noter que de la chapelle, on ne voit pas le Mont !.

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Si, si... Il y a aussi les pélerinages !

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La généalogie LE GAC - PECHEU, par Janick et c'était une surprise, nous conduit au Mont St Michel dans les années 1423...

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Explorer les ascendances de nos aïeux défenseurs du Mont Saint Michel nous fait aussi découvrir un autre cousinage, par une Jeanne Bethencourt avec quelques personnages bien connus... Les BETTENCOURT !.

DU NOUVEAU dans la généalogie LE GAC - PECHEU. et dans nos cousinages.. C'est dans la branche PECHEU que nous découvrons cette nouveauté et plus précisément dans la branche CHEVALIER, celle venue de Normandie.
Dans cette branche , quelques aïeux qui ont été les défenseurs du Mont Saint Michel vers 1423. En remontant dans leurs ascendances, nous allons faire la connaissance d'une Jeanne Bethencourt épouse d'un Raoul Toustain...
Pour la suite, il vous reste à lire cet article de Jean Louis Beaucarnot de 2012...

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Quand derrière une Bettencourt se cache une Betancourt

Par Jean-Louis Beaucarnot  27.11.2012

 

Lapsus calami, confusion, excuse facile ? Que l’on ait pu se tromper entre les noms de Betancourt (Ingrid) et de Bettencourt (Liliane), est bien normal, puisque curés et secrétaires de mairies n’ont pas cessé de le faire.

Pourtant, comme je l’ai évoqué ce week-end dans Le Journal du Dimanche, il semble bien que l’on ait affaire à une seule et même famille.

Je rappelle d’abord, bien sûr, comme tout généalogiste le sait, que nos noms de famille, nés du langage parlé, n’ont pas eu d’orthographe fixe avant le 20e siècle et j’ajoute que les prépositions et particules n’ont pas cessé d’aller et venir, tantôt détachées, attachées ou supprimées.

Sous des orthographes différentes, les deux patronymes conduisent cependant manifestement à la même souche : une vieille lignée de seigneurs normands, les sires de Béthencourt (un hameau de l’actuelle commune de Sigy-en-Bray, en Seine-Maritime, ancien domaine entouré d’une cour et fondé par un homme franc nommé Béto).

Cette lignée serait connue depuis un Jean de Béthencourt, né vers 1200, et que certains disent mort à la bataille de Hastings (en 1066, ce qui est difficile). Mais au fil des générations, sa généalogie se précise, pour être mieux connue à partir d’un autre Jean de Béthencourt (né vers 1270/80), époux d’une Nicole de Grainville et arrière grand-père d’un Regnault (= Renaud) de Béthencourt (vers 1362-1425), surnommé Morelet, époux de Philippotte de Troyes et qui sera l’ancêtre commun des deux lignées concernées.

Le frère de ce Regnault, Jean de Béthencourt, grand chambellan du roi Charles VI, est en effet parti guerroyer en Espagne et a conquis 1402 les îles Canaries, dont il s’est fait reconnaître roi.

Il y aura pour successeur son neveu Maciot (ou Massiot, diminutif de Thomas), qui est un des fils de Regnault. Ce Masiot cédera les îles au roi de Portugal, tout en y demeurant, lui et sa descendance. Descendance nombreuse, puisque le patronyme Betancur dénomme aujourd’hui à lui seul plus de 4 % des habitants de l’île de Lanzarote. Mais une branche a migré au 17e ou 18e siècle vers Amérique du Sud, où elle a donné les Betancourt, de Colombie (ceux d’Ingrid).

Parallèlement, un frère de ce Maciot, resté en Normandie, a donné une lignée, dont la filiation semble suivie de façon correcte, qui s’établira d’abord à Guerbaville (La Mailleraye-sur-Seine), près de Rouen, où le nom deviendra Bettencourt et où ils cultiveront la terre, pour "remonter" socialement avec Jacques Bettencourt, né en 1794, qui sera géomètre. Après être descendu la Seine jusqu’à Saint Maurice-d’Ételan, où ils seront maire et juge, ils verront un de leurs descendants s’établir à Paris comme avocat, qui sera le père d’André Bettencourt, ministre du général de Gaulle et époux Liliane, la fille d’Eugène Schueller, fondateur de L’Oréal.

Ces généalogies pourront être notamment approchées par l’arbre mis en ligne sur GeneaNet par Claudine Maillard, née Riant, qui trouve cette famille dans l’ascendance de ses enfants et par celui mis en ligne sur le même site par Pascal Neve de Mevergnies.

J’ai donc conclu que par son mari, la milliardaire cousinait de façon très éloignée avec Ingrid (environ au 30e degré !) en rappelant que j’avais démontré que par sa mère, née Doncieux, d’une famille originaire de l’Isère, Liliane Schueller-Bettencourt cousinait aussi (et là seulement au 20e degré) avec Nicolas Sarkozy, pour descendre du même couple Benoît Candy / Clauda Contrevoz, de Soleymieu (38), mariés vers 1700.

Quand derrière une Bettencourt se cache une Betancourt

Par Jean-Louis Beaucarnot

 

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