14 août 2011
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Affiche touristique ancienne.
Statue de François René de Chateaubriand.
Jacques Cartier (« Iacques Quartier ») est un navigateur et explorateur malouin. Né en 1491 à Saint-Malo, il y meurt le 1er septembre 1557. Auteur de cartes ayant permis l'apparition du golfe du Saint-Laurent sur les représentations du globe, Cartier, par ses Relations, est le premier Européen à décrire et nommer ces eaux, leurs rives et leurs habitants, et le territoire visité sous le nom iroquois Canada (groupe de cabanes).
Statue de Jacques Cartier.
statue de Duguay Trouin.
René Trouin, sieur du Gué, dit Duguay-Trouin, né le à Saint-Malo et mort le à Paris est un corsaire français. Né dans une famille d'armateurs malouins, il commence sa carrière en 1689 et reçoit, dès 1691, le commandement d'un navire. Son courage, le respect qu'il a gagné auprès de ses hommes, ainsi que ses victoires contre les Anglais et les Hollandais au cours des deux dernières guerres de Louis XIV lui ont assuré une ascension très rapide dans la hiérarchie maritime. Ses campagnes sont parmi les plus belles de l'histoire navale française.
Il gravit très vite, grâce à son talent et sa pugnacité tous les échelons de la hiérarchie militaire : capitaine de navire corsaire à 18 ans, capitaine des vaisseaux du Roi à 24 ans, chevalier de l’ordre de Saint-Louis à 34 ans, anobli à 36 ans, chef d’escadre à 42 ans. Il siège à 50 ans en 1723 au Conseil des Indes, il est nommé lieutenant général des armées navales en 1728, pour finir par commander successivement les ports de Brest en 1731 et de Toulon en 1736. Trois grandes phases se distinguent dans cette carrière militaire. Tout d’abord, de 1689 à 1697, la période corsaire. Puis de 1697 (année où il reçoit son brevet de Capitaine de frégate) à 1713 il navigue comme officier supérieur de la Royale. Enfin, après la signature du traité d’Utrecht (11 avril 1713) qui ramène la paix en Europe, Duguay-Trouin se consacre au commandement à terre.
On estime à un peu plus de quatre-vingts le nombre de combats et d’abordages auxquels participa Duguay-Trouin ou qu’il dirigea de 1689 à 1711, soit en moyenne près de sept affrontements par an. Il est bien sûr impossible d’en faire un compte rendu détaillé ici, mais on peut s’appuyer sur le récit des Mémoires de Duguay-Trouin pour entrer dans les enjeux de la guerre navale au tournant du XVIIe et du XVIIIe siècle. La carrière de Duguay-Trouin se déroule sur les deux dernières guerres de Louis XIV : la guerre de la Ligue d'Augsbourg (1689-1697) et la guerre de Succession d’Espagne (1702-1713). Deux conflits longs, acharnés, d’envergure mondiale, où le royaume de France se retrouve seul (ou presque) sur terre comme sur mer contre tous ses voisins ligués contre lui. Deux conflits où la France doit soutenir un immense effort naval face aux deux puissances navales de l’époque : la Hollande et le royaume de Grande-Bretagne.
Image du net.
Surcouf, corsaire du roi.
Haut de porche, rue de dinan.
Puits, place du marché aux légumes.
Image du Net.
Image du Net.
Plaque d'égout aux armes de la ville. Lorsque l'on est 2 à faire des photos, c'est plus facile, l'un regarde en l'air, l'autre par terre....!
Le clocher de la cathédrale de St Malo.
François René de Chateaubriand.
La bourdonnais.
Maison de la Duchesse Anne.
Bertrand François Mahé, comte de La Bourdonnais, né à Saint-Malo le (baptisé le 16 février dans cette même ville) et mort à Paris le 10 novembre 1753, est un officier de marine français, amiral de France. Engagé jeune au service de la Compagnie française des Indes orientales, il se distingue une première fois lors de la prise de Mahé (Inde) en 1724. Nommé Gouverneur général des Mascareignes pour le compte de la Compagnie des Indes en 1733, il prend son poste en 1735 et modernise, à renforts de grands travaux, les établissements français des mers de l'Inde, l'Isle de France et l'île Bourbon. Ces travaux lui valent l'hostilité de certains directeurs de la Compagnie, à Paris, en raison de leur coût.
En France, lorsque la guerre de Succession d'Autriche éclate, La Bourdonnais propose au ministre de la Marine, Maurepas, de prendre la tête d'une escadre pour assurer la supériorité de la France sur l'océan Indien. Il se distingue le 6 juillet 1746, à la bataille de Négapatam, contre une escadre anglaise, supérieure en nombre, commandée par Lord Peyton. Cinq mois plus tard, il prend Madras, pratiquement sans combattre, et négocie une rançon avec le commandant anglais de la place. Cet épisode sera à l'origine de l'opposition qu'il aura avec le général Dupleix, partisan d'une destruction de la ville. Accusé d'entente avec l'ennemi, il est destitué de son poste de gouverneur général des Mascareignes et envoyé en mission en Martinique. Il rentre en Europe sous un faux nom mais est reconnu et reste prisonnier quelque temps à Londres. Il obtient la permission de rentrer en France pour défendre son honneur, mais est rapidement embastillé sur ordre du Roi, en 1748. Il doit attendre 1751 pour être jugé, et profite de sa captivité pour rédiger ses Mémoires. Innocenté, il meurt peu après sa libération, le 10 novembre 1753, à l'âge de 54 ans.
Chateaubriand.
François-René, vicomte de Chateaubriand né à Saint-Malo le et mort à Paris le , est un écrivain et homme politique français. Il est considéré comme l'un des précurseurs du romantisme français et l'un des grands noms de la littérature française.
En matière politique, Chateaubriand s'inscrit dans la mouvance royaliste. Il est notamment nommé ministre des Affaires étrangères sous la Restauration. Mais c'est dans le domaine littéraire que sa notoriété est la plus grande. En effet ses descriptions de la nature et son analyse des sentiments du « moi » en ont fait un modèle pour la génération des écrivains romantiques en France (« Je veux être Chateaubriand ou rien » proclamait le jeune Victor Hugo). Il a aussi, le premier, dans René, ou les Effets des passions (1802) formulé le « vague des passions » qui deviendra un lieu commun du romantisme et fera de René le personnage emblématique de cette sensibilité nouvelle, créée avec une prose ample et rythmée que ses détracteurs qualifieront d'ampoulée.
Il participera aussi au goût pour l'exotisme de l'époque en évoquant l'Amérique du Nord où il a voyagé, dans Atala (1801) ou Les Natchez (1826), ou encore dans le récit de son voyage en Méditerranée dans Itinéraire de Paris à Jérusalem en 1811.
L'œuvre monumentale de Chateaubriand reste les Mémoires d'outre-tombe (posthumes, 1849-1850) dont les premiers livres recréent son enfance et sa formation dans son milieu social de petite noblesse bretonne à Saint-Malo ou à Combourg, alors que les livres suivants relèvent davantage du tableau historique des périodes dont il a été le témoin de 1789 à 1841, ce qui fait de ce texte à la fois un chef-d'œuvre d'autobiographie et une mine d'informations pour l'historien.
Quelques plaques de rues aux noms insolites...
Immeubles typiques de st Malo avec leurs très grandes cheminées.
Statue de René Duguay Trouin.
La Tour Solidor à Saint-Servan devenu aujourd'hui Saint-Malo.
Le Donjon.
Figure de proue dans le quartier des halles.
Ruelle photographiée depuis la rue de Dinan.
Rue Broussais
Intérieurs de la cathédrale de St Malo.
Niche votive, rue Porcon de la Barbinais.
Autre plaque d'égout aux armes de St Malo
Dessus de la Grande Porte, côté intra-muros.
Statue de Notre Dame de Bon-secours au-dessus de la grande porte, côté intra-muros.
Sur les remparts avec au premier plan, la grande porte et au fond la porte St Vincent.
Promenade sur les remparts de St Malo.
Les canons du bastion de la Hollande.
Face au bastion de la Hollande, le Fort du Petit Bé.
Aigrette sous les remparts...
Promenadesur les remparts, face au Fort National.
Une des forts nombreuses enseignes originales de Saint-Malo (Voir le reportage sur les enseignes de St Malo).
Le grand Bé et le fort du petit Bé...
Vue générale de St Malo, photo prise de Dinard.
Vitraux de la cathédrale de St Malo.
Chemin de croix...
Eglise saint-Benoît.
Jeune goéland sur les remparts.
Le Brittany Ferries à quai et paquebot de croisière en rade entre St Malo et Dinard.
Goéland marin sur le quai...
Le Bastion St Philippe.
Canon, Bastion de la Hollande devant le peit Bé et le grand Bé.
statue de Surcouf, corsaire malouin.
Le Cap Fréhel vu de St Malo (à l'horizon).
Vue sur le fort du petit Bé.
Tombeau de chateaubriand sur le grand bé.
Vue des remparts en direction de la plage du sillon. Les remparts (comme la digue du Sillon) sont protégés de la houle par des pieux.
Jeune goéland argenté.
Le Fort National.
La Porte St Vincent.
Vue partielle de St Malo intra muros depuis la jetée.
chateaubriand
tombeau de Chateaubriand sur le grand bé.
La Sillon.
Robert Surcouf.