Ce dimanche 17 septembre 2017, notre visite du Patrimoine à Janick et à moi consistera à visiter les lieux saints fréquentés par nos ancêtres LE GAC (pour moi) et GUILLOUX (pour elle). La région visitée sera celle de la vue satellite ci-dessous, sorte d'escargot autour de Plougonver. Etant donné qu'à chaque mariage, un nom vient s'ajouter, nous n'avons pas que des LE GAC et des GUILLOUX qui sont concernés...
Nous sommes tout à l'ouest du département des Côtes d'Armor, à la limite du Finistère... Nous sommes dans le Trégor (la coiffe de Plougonver est la Touken) mais, nous sommes aussi dans l'évêché de cornouaille (Quimper).
Nous avons choisis de commencer notre périple par LOGUIVY PLOUGRAS et l'église ST EMILION. Cette église est datée de 1516 et le clocher de 1566. On peut donc dire qu'un certain nombre de nos ancêtres ont fréquenté cette église.
Le calvaire extérieur.
L’accès de l'édifice se présente alors sous un arc brisé, avec clé en console, entre deux colonnes cannelées à fût renflé au premier tiers. Celles-ci reposent sur socle et sont sommées de chapiteaux corynthiens supportant l'entablement à fronton. L’ensemble s'abrite sous une grande arcade en tiers point, base de la tour carrée flanquée de deux contreforts à la masse imposante d'où se détachent en ronde bosse sur culs de lampes, les silhouettes des apôtres Pierre et Paul à l'abri d’un fronton surbaissé. Ainsi placés, nos deux disciples constituent la garde d’honneur de Milion, le patron des lieux (en pierre polychrome à l'origine) sommant le fronton. De part et d'autre du porche s'étend le mur pignon, renforcé à ses extrémités de contreforts jumelés en équerre et terminés en lanternons.
Le clocher de l'église St Emilion serait un des plus hauts de Bretagne.
Loguivy Plougras, le chœur de l'église St Emilion.
Eglise St Emilion, la verrière du choeur.
Loguivy Plougras, église St Emilion, les fonts baptismaux.
Eglise St Emilion, la chaire...
Les autels latéraux de l'église St Emillion de Loguivy Plougras.
Nous terminerons avec les sablières originales de l'église St Emilion.
Comme dans les édifices bretons en général, nef, bas-côtés et transept sont couverts d'un lambris en berceau brisé aux planchettes fixées par des baguettes parallèles formant nervures transversales, le bois est ici préféré au granit, matériau jugé trop pesant ; de puissants tirants, aux extrémités « engoulées » entre les pointes acérées de gueules de brochets, présentent leurs flancs enlacés de formes fantastiques ou décorés de croix pattées.
Puis soulignant les combles d'étonnantes sablières qui par la multiplicité des scènes de chasse, des chimères et autres formes allégoriques demeurent les témoins de la verve populaire et constituent un recueil de la symbolique de l'époque.
Restons encore un peu à Loguivy Plougras et dirigeons-nous vers la chapelle St Yvy, sur les hauteurs du bourg...
L'église Saint-Ivy, ancienne église tréviale (Loguivy était une trêve de Plougras jusqu’en 1790) puis paroissiale du XVIème siècle, reconstruite entre 1860 et 1864. Elle s'est substituée à un édifice du XVème siècle, propriété des seigneurs de Trogorre et fondée d'après la tradition par les Templiers. Cette ancienne église, tréviale puis paroissiale devient chapelle en 1856.
L’imposante colonnade a été édifiée avec les éléments provenant des ruines de l’ossuaire [Note : L’enclos primitif possédait un édifice composé d’un ossuaire et d’une petite chapelle avec autel. Ils avaient été construits en 1690 sous le rectorat de François Nicolas avec l’assentiment de Claude de Nevet, alors veuve de Vincent du Parc, marquis de Locmaria, seigneur de Coatfrec, Keradenet, Guerlesquin, Beffou, Trogorre, etc … Les armes de la maison de Locmaria ; d’argent à trois jumelles de gueules, peuvent toujours se voir en supériorité dans le vitrail midi du transept de Saint Emilion (L. Dudoret)]. Les piliers de l’entrée principale présentent des éléments intéressants : bénitiers en bosse, croix surmontées d’os en sautoir, idée de cadavre, de la mort matérielle, symboles qui apparaissent à la fin du XVème siècle puis du XVIIème siècle. A gauche de l’entrée, remarquons la date de 1690 ainsi que le nom de l’architecte : Messire Nicolas. Sur la droite une inscription est gravée : 1898 HODIE MIHI CRAS TIBI (Aujourd’hui c’est mon tour, demain ce sera le tien).
Cartes postales anciennes de Loguivy Plougras , église St Yvi.
Le clocher mur n'a jamais été terminé...
Un calvaire du XVIIème siècle (restauré en 1898) se dresse sur la gauche de la colonnade. Différents personnages entourant le Christ y sont sculptés. On pense qu’il s’agit de la Vierge encapuchonnée à l’enfant et de Sainte Véronique. Le deuxième calvaire est une croix de mission de 1890, œuvre du célèbre sculpteur lannionais Hernot.
Sur la gauche, le caveau des prêtres est placé tout contre le mur du presbytère. Le 26 juin 1898, les ossements des prêtres enterrés dans le reposoir de 1690, ont été transposés dans ce caveau. Mgr. Dubourg, évêque de Moulins, présidant la cérémonie [Note : La dépouille de Mgr. Dubourg se trouve depuis 1921 dans la cathédrale de Rennes]. Dans les murs sont incrustés les fenestrages latéraux du chevet de l’église Saint Emilion devenus inutiles à la suite des travaux de 1888-1887. Ils servent ici de cadre à la liste des recteurs et des quelques prêtres nés ou ayant servi à Loguivy-Plougras depuis la Révolution. En tête se trouve Joseph Le Quellec dont les restes reposaient sous la pierre servant de marchepied à l’autel, lieu précis qu’il choisit dès 1827.
Nous allons quitter le bourg de Loguivy Plougras mais nous restons dans la commune, nous nous dirigeons vers le village du Dresnay afin de visiter la chapelle.
La chapelle a été édifiée au XVIème siècle par les Quelen du Dresnay; Olivier II de Quelen et son épouse Claude de Boiséon, seigneur et dame du Dresnay en cette même année. Cet Olivier est un descendant direct de Jean de Quelen, qui épousa Marie du Dresnay, héritière de la maison du Dresnay vers 1400.
La chapelle possédait alors un placître, un calvaire et une fontaine, aujourd’hui inaccessible. La seigneurie Quelen du Dresnay s’étendait au delà de Loguivy-Plougras et de Plougonver. Le siège de la seigneurie était le manoir se trouvant au Dresnay.
La chapelle est dédiée à Notre-Dame. Elle est classée au monument historique depuis 1955, grâce à sa poutre de gloire en bois sculpté et à son clocher.
La seigneurie reste dans la famille Quelen du Dresnay jusqu’au XVIIème siècle. En 1681, Françoise Yvonne de Quelen déménage tous les biens à Montigny par son mariage au seigneur de Beauregard, François de Montigny. Leur héritier vend les terres et la seigneurie du Dresnay au marquis de la Rivière, Yves Joseph Thibaud, dont la fille épousera le marquis de La Fayette.
Leur fils, né en 1757 est le célèbre « La Fayette », général de la guerre d’indépendance américaine. Il sera le propriétaire de nombreuses terres en Bretagne, dont la seigneurie du Dresnay à l’époque de la révolution.
La seigneurie comprenait la chapelle Notre Dame du Dresnay, un moulin, un manoir, une métairie et plusieurs convenants.
Durant la révolution seule cette chapelle et la métairie du manoir n’ont pas été détruites sur les terres du Dresnay.
En 1792, la chapelle Notre Dame du Dresnay est vendue comme bien national à l’Etat.
Au cours du XXème siècle d’importantes restaurations ont été entreprises. L’autel de bois polychrome du XVIIIème siècle et les vitraux de la chapelle ont été restaurés par le recteur Guégan, en 1954. Des restaurations ont également été entreprises au niveau de la charpente de bois.
Elle présente un plan en forme de crois latine composée de la nef et d’un transept. Le chevet, côté levant est plat. Le pignon, face au couchant, est percé d’un oculus et renforcé de deux contreforts latéraux, soutenant le campanile rectangulaire à baies géminées que chevauche une arcade se terminant en lanternon.
L’entrée principale, aux colonnes surmontées de chapiteaux sculptés, de style corinthien, et son fronton sont inspirés de la Renaissance.
On sait que la chapelle a été bâtie sur les vestiges d’un ancien sanctuaire (roman), bien que les archives ne révèlent pas grand-chose à ce sujet (ce n’est qu’en 1556 que la chapelle et son cimetière sont mentionnés). En témoignent d’anciens vestiges se trouvant dans la chapelle comme la colonne de granit, les bénitiers, le gisant et les statues du XVème et XVIème.
Une inscription se trouvant sur le linteau de l’une des baies du clocher nous informe qu’il date de 1588. Une seconde cloche a été ajoutée récemment. Il s’agit de la cloche de l’ancienne école de Loguivy-Plougras.
La poutre de gloire date du XVIème siècle. Jusqu'à la révolution, au centre de cette poutre, se trouvait un écu représentant les armes de la famille Quelen du Dresnay. Aujourd’hui il s’agit d’un écartelé, présentant au 1er et 3ème quart les armes des familles. Celles sur les 2ème et 4ème demeurent inconnues.
La chapelle possède de belles statues de saints patrons guérisseurs, récemment restaurées. Le vitrail au-dessus du chœur a été réalisé par le maître Lorin, maître verrier de la cathédrale de Chartres, en 1954. Il s’agit d’un don de la famille Du Dresnay.
La chapelle abrite un gisant de granit, appelé le gisant de Chateaufur ou « kastel vur ». Aucune précision n’indique pour qui il fut réalisé et on ne sait pas encore le dater précisément (vraisemblablement, du 15ème siècle). On émet plusieurs hypothèses: le comte de chateaufur, décédé en 1661; Bonabès du Dresnay, mort sous les murs d’un château en 1426; mais aucun document ne permet de confirmer. Aucune certitude également pour l’animal couché à ses pieds: lion, chien, agneau? Mystère..
Station de chemin de croix de la chapelle du Dresnay en Loguivy Plougras.
Vitrail de la chapelle du Dresnay en Loguivy Plougras.
Chapelle du Dresnay, la charpente.
La chapelle du Dresnay, détail d'un bénitier.
Loguivy Plougras, village du Dresnay, ferme et vieux puits.
Croix entre Loguivy et Lohuec.
L'étang du Beffou...
Plougras (22), l'église Saint Pierre avec son clocher de style Beaumanoir flanqué d'une tourelle d'escalier. La flèche de l'église s'est éffondrée le 17 février 1978. La construction de l'église s'étend de la fin du XVème au milieu du XVIII ème. Comme nous allons le voir à l'intérieur, cette église contient un beau mobilier...
Plougras, l'église St Pierre, l'intérieur.
Plougras, église St Pierre, riche en statuaire...
Nous remercions Monsieur le Maire de Plougras de nous avoir présenté son église alors qu'il était midi passé!. Je viens de dire que l'église était riche en statue mais, un ancien curé de la paroisse a vendu la chaire de l'église pour acquérir quelques statues, c'est pourquoi nous visitons aujourd'hui une église sans chaire !.
L'objectif fixé vers la base de la voûte afin de vous présenter les belles sablières sculptées...
Le chemin de croix a été réalisé par un artiste local.
Après cette belle surprise lors de la visite de l'église de Plougras, voici que nous nous dirigeons maintenant vers LOHUEC, une paroisse où nous avons un certain nombre d'ancêtres. C'est aussi une paroisse où les lacunes sont nombreuses...
Lohuec, l'église St Judoce et la fontaine du même nom au 1er plan.
Lohuec, la fontaine St Judoce.
Lohuec, église St Judoce, détails.
Lohuec, sous le porche, haut relief en bois du XVI ème, représentation d'une piéta avec angelots soutenant le Christ.
Lohuec, clocher inspiré du type Beaumanoir. Le clocher et le porche sont du XIV ème.
Après Lohuec, nous voici à PLOURAC'H devant l'église St Jean Baptiste que l'on dit être "LA CATHEDRALE DE L'ARGOAT". Elle date de la fin du XIV ème, XV ème siècle, elle a été fondée par François de Méné, chambellan du duc de Bretagne François II (1458-1488).
Le clocher mur daterait de 1585. Il s'agit d'un simple campanile à 3 baies en 2 étages, surmonté d'une petite flèche octogonale. Une tourelle couronnée d'un dôme donne accés au campanile.
Le porche surmonté d'une secrétairerie daterait du début XVIème.
Le porche abrite une vierge à l'enfant entourée des 12 apôtres sculptés dans le granit.
Le chœur de l'église St Jean Baptiste de Plourac'h et sa verrière.
L'autel du choeur et ses panneaux en bois polychromes.
Quelques détails des décors de la voûte de l'église de Plourac'h.
Les sablières peintes sont décorées de scènes animalières.
Deux des stations du chemin de croix...
La verrière.
Plourac'h, l'autre face du calvaire du XVIème siècle.
CALANHEL (22) : L'église St Vincent Ferrier est plus récente que celles visitées ce matin, elle date de 1891.
LA CHAPELLE NEUVE (22), Eglise Notre Dame de la Pitié avec son clocher mur.
La Chapelle Neuve : ancienne carte postale.
Après La Chapelle Neuve, nous terminerons notre périple avec la visite de l'église St Pierre à Plougonver...
Plougonver (22), l'église St Pierre.
Le clocher porche de Plougonver date de 1711.
Plougonver, église St Pierre, le Christ aux outrages.
Les fonts baptismaux à deux cuves (datant du XVème), portant des masques avec traces de peinture.
Autel latéral du transept nord.
Église St Pierre de Plougonver, le maitre autel date de 1724 (œuvre de Guillaume Guérin de Lannion).
Plougonver, église St Pierre, la chaire (date du 17/18ème).
Maîtresse-vitre de l'église Saint-Pierre de Plougonver (Côtes-d'Armor). 1er registre : Annonciation, Tentation au désert, Comparution devant Pilate, Résurrection. 2d registre: les quatre évangélistes : Matthieu, Marc, Luc et Jean. Tympan : anges et colombe du Saint-Esprit.
Vitrail de l'église Saint-Pierre de Plougonver (Côtes-d'Armor). Sainte-Thérèse-de-L'Enfant-Jésus
Vitrail de l'église Saint-Pierre de Plougonver (Côtes-d'Armor). Sainte-Jeanne-d'Arc entendant les voix de Saint-Michel, Sainte-Catherine-d'Alexandrie et Sainte-Marguerite-d'Antioche.
Plougonver, église St Pierre, station du chemin de croix.
Autel latéral du transept sud couvert d'angelots et de séraphins.
Anciennes cartes postales de Plougonver.
Croix près de Plougonver...
La gare de Plougonver est située sur la ligne Guingamp - Carhaix. Elle a été achetée par un collectionneur suisse qui a fait venir quelques wagons du réseau helvétique, wagon postal, wagons de voyageurs...
BOTMEL (22), L'église Notre Dame de Bormel était, jusqu'au XIXème siècle, l'église paroissiale de Callac. En généalogie, dans les anciens régistres paroissiaux, c'est dans Botmel que l'on recherche et non pas dans Callac.
BOTMEL (22) (CALLAC), Ce qu'il subsiste de l'église Notre Dame de Botmel.
LES RUINES DE BOTMEL. Au nord de la ville de Callac se trouvent les ruines de l'antique église de Botmel. Bâtie au cours du XIVème siècle elle eut à subir de nombreuses vicissitudes tantôt de la part du temps, mais surtout de la part des hommes. Elle fut maintes fois restaurée, si bien que peu à peu elle perdit son cachet primitif, et en 1863, l'abbé David écrivait dans " Le Lannionnais " que seule subsistait une fenêtre du XIVème siècle. Ce qui en reste, (puisque l'église de Botmel fut démolie il y a plusieurs années) la tour et trois arcades, est classé monument historique. La tour fut reconstruite en 1634 elle menaçait ruine, dit un manuscrit du temps ; c'est de cette époque que date le joli campanile qui la surmonte. Faisons donc le tour de ces ruines. Voici le porche surmonté d'une niche, où se trouvait autrefois la statue de Notre-Dame de Botmel. Ce porche est flanqué d'accolades affectant la forme de colonnettes, du plus gracieux effet ; en dessus rampent des crochets délicatement fouillés, et en haut, juste en dessous de la niche, se trouve un joli fleuron. Ce porche d'un dessin sobre et hardi, est surmonté d'une balustrade au-dessous de laquelle on remarque une grande pierre portant une inscription. A droite du porche se voient deux tourelles, l'une à hauteur de la balustrade, par où l'on accède sur cette dernière, l'autre, plus basse, dont on remarque le pignon surmonté d'un chien sculpté. Un escalier en colimaçon se trouve à l'intérieur de ces deux tourelles, il donne accès sur la balustrade d'où l'on jouit d'un merveilleux spectacle. L'église de Botmel était d'un style sobre à peine quelques pierres sculptées, gargouilles et autres, ce qui d'ailleurs n'enlevait rien à son charme. Des deux cloches qui se trouvaient autrefois dans la tour, il n'en reste plus qu'une. Elle se trouve dans la tour de l'église actuelle et, on la sonne la veille et le jour de la fête de saint Laurent, c'est pour cela qu'on la nomme " cloche de saint Laurent ". Elle fut baptisée en 1467. La statue de Notre-Dame de Botmel existe toujours. C'est une statue très ancienne et très curieuse. En effet, la Vierge a les bras en croix et, son attitude semble indiquer qu'elle s'élève. Autrefois lors des grands pardons on revêtait cette statue d'habits somptueux : tunique blanche richement brodée et voile bleu piqué d'étoiles d'or. On entourait la niche de feuillages et de guirlandes de verdure. C'était un touchant spectacle de voir les fidèles défiler sous le porche où trônait Marie et se former en une longue théorie qui se déroulait lentement dans la campagne au chant des cantiques et des invocations. Notre-Dame de Botmel, priez pour nous ! Hélas, Botmel est en ruines. Les ronces poussent dans le sanctuaire et sur les tombes du petit cimetière. Le vieux beffroi vide de cloches, n'est plus maintenant que le refuge des corneilles et des hiboux. De loin il a l'aspect d'un burg sauvage ou de quelque vieux donjon seigneurial abandonné (J. Guillotin).(site infobretagne).
La chapelle de l'Isle, village au nord de Botmel, entre Botmel et Plougonver. C'est dans ce secteur, l'Isles, le Bas Launay, le Haut Launay qu'ont vécu la majorité des LE GAC avant de rejoindre le bourg de Plougonver. Et c'est mon grand-père qui a quitté Plougonver pour Guingamp. Terrible migration que celle des LE GAC !.
Logiquement, je devrais continuer mes reportages concernant les églises fréquentées par les LE GAC, GUILLOUX et autres avec les paroisses de :
- LOUARGAT.
- BELLE ISLE EN TERRE.
- LOC ENVEL.
- GURUNHUEL.
- TREGLAMUS.
Mais, pour toutes ces paroisses, les reportages ont déjà été réalisés... VOIR " PROMENADE ENTRE GOELO ET TREGOR".