Le blog de christianlegac

la publicité de SCHWEPPES avec le guépard (pour ceux qui ne l'ont pas reconnu !).

Horrible !!!.

Campagne pour une mer proprs, sans plastiques rejetés...

Kenya : Protégeons nôtre héritage...

Observez la barbe avec attention !.

Il veulent tous être un chien !.

Serge le lama est né le 29 juin 2005 à Saint-Nazaire, il a été nommé d'après le chanteur français Serge Lama. 

Jeudi 31 octobre 2013, à Bordeaux, au matin, avant l'aube, cinq jeunes qui sortaient d'une discothèque des Bassins à flot dans le quartier de Bacalan ont déambulé jusqu'à la rue Lucien Faure où s'était installé le cirque franco-italien. En état d'ivresse plus que manifeste, ils ont aperçu une cage dans laquelle étaient enfermés plusieurs animaux. Ils ont libéré un lama (dont ils apprendront plus tard qu'il était baptisé « Serge »), le faisant sortir de la cage en le tirant par la corde qu'il avait autour du cou. Ils l’ont surnommé Kuzco, personnage tiré du dessin animé Kuzco, l'empereur mégalo.

De la rue Lucien Faure, où se trouvait le cirque, le groupe a rejoint la station de tramway Bassins à flot. À l'arrivée du tramway, le lama « est monté sans problème, vraiment très simplement », raconte un autre membre du groupe sur BFM TV.

Le conducteur, à la vue de cet étrange passager, décide d’arrêter son véhicule et des agents de sécurité viennent s’occuper de Serge, qui finit attaché à une barrière le temps que son propriétaire, son dresseur, le directeur du cirque, John Beautour, vienne le chercher. Les cinq jeunes passent eux par l’étape garde à vue avant d’être relâchés.

À 12 h 19, un internaute, Xavier Cappelaere publie une première photo du lama à bord du tramway sur le réseau social Twitter, avec pour légende : « Tram de Bordeaux, ligne B ce matin. Un lama dans le tramway. » Et dans la foulée une photo du lama descendu de la rame avec pour légende « Le même descendu de la rame. Peut être qu'il attend la prochaine lol »

À 17 h 45 est publiée en réponse une photo du lama et des ravisseurs avec pour légende : « Moi je les ai trouvé. » À 18 h 38, le journal Sud Ouest publie un article ayant pour titre « Serge, le lama volé et promené dans le tramway de Bordeaux va bien ».

Au départ, le directeur du cirque, John Beautour, a porté plainte pour vol. Cependant, les photos sont devenues virales sur Internet, ce qui a donné lieu à beaucoup de publicité pour le cirque. Il retire finalement sa plainte pour vol.

Repris par les médias locaux tel que le journal Sud Ouest, la chaine TV7 Bordeaux, France 3 Aquitaine, puis relayé au niveau national par Le Parisien, mais aussi les chaines d'information telles que TF1, France 2, BFM TV, Itélé, l'histoire sera rapidement mentionnée dans la presse étrangère, notamment les journaux anglais The Telegraph , The Independent  ou The Guardian .

Interrogé par Le Parisien le 1^er novembre 2013 , le chanteur Serge Lama a expliqué s'être « bien marré » en lisant les aventures nocturnes de son homonyme.

Amusé un temps par ce buzz et des détournements, le directeur du cirque s'agace de « l'audace des marques, surtout des grosses enseignes, qui profitent de cette notoriété pour se faire de la publicité ». Il a donc décidé de déposer la marque « Serge le lama » auprès de l'Institut national de la propriété industrielle (INPI), le 6 novembre.

Superbe série d'affiches d'Otto NIELSEN pour SAS.

 SAS a été fondée le 1er Août 1946 avec la fusion de quatre sociétés scandinaves: deux de Suède: ABA et SLA (Svensk Intercontinental Lufttraffik), DNL un transporteur national de Norvège (Det Norske Luftfartselskap) et le transporteur national du Danemark (DDL - Danske Luftfartselskap AB). Ils ont formé les OSAS pour voler de Scandinavie vers les routes d'outre-mer. L'entreprise a rapidement été rebaptisée SAS "Scandinavian Airlines System". Le premier vol sous la bannière SAS utilisait un Douglas DC-4 vers New York, puis Bangkok et Buenos Aires. A partir de 1953, les Douglas DC-6 ont été utilisés sur les liaisons long-courrier. Les avions DC-7c ont pris le relais. SAS était connue pour la qualité de son service.

Vous ne connaissez peut-être pas son nom, mais vous connaissez sûrement son œuvre. John Gilroy était un génie de la peinture, doté d’un esprit différent de celui de ses pairs. C’est grâce à cela que les campagnes publicitaires pour Guinness® qu’il a créées de 1928 aux années 1960 sont aussi intemporelles. Ce sont les illustrations colorées de Gilroy qui ont fait avancer nos publicités. L’une des plus mémorables fut le résultat de son interprétation artistique d’une otarie savante qui avait attiré son attention au zoo. Cet animal, pensa Gilroy, serait assez doué pour jongler avec un verre de Guinness sur son nez. Ce concept est devenu l’une des campagnes publicitaires les plus longues de toute l’histoire : « My Goodness, My Guinness. »

Le gardien du zoo malchanceux, une caricature de Gilroy lui-même, présentait la famille des animaux ingérables. Depuis l’autruche avalant une Guinness avec son verre jusqu’au pélican au bec rempli de bouteilles. Un lion bondissant, un ours voleur. Un crocodile, un kangourou et un pingouin. Et, bien sûr, le plus célèbre d’entre eux, le toucan. L’évolution, via le toucan, à donné la campagne « Guinness-a-day ». Voir cette affiche aujourd’hui encore sur les murs des amateurs de Guinness est le témoignage du lien créatif entre Gilroy et la marque Guinness.

Encore des animaux à la pelle dans cette suite de publicités pour la bière GUINNESS.

Publicités GUINNESS pour les Jeux Olympiques de 1936 à Berlin.

Publicités de presse du centre d'études du sucre, deux autres publicités existent qui sont classées dans la sélection Europe.