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30 juillet 2022 6 30 /07 /juillet /2022 08:16
LA  BALADE  DE  NATHALIE  ET  JEAN  CHRISTOPHE  A  BENODET...

Bénodet (prononcé [benɔdε] aujourd'hui, [benodεt] jusqu'aux années 1950) est une commune française située dans le sud du département du Finistère, en région Bretagne. C'est une station balnéaire classée. La commune se dénommait Perguet jusqu'en 1878. Ses habitants s'appellent les Bénodétois. Le slogan de la ville est « Bénodet, la station balnéaire 5 étoiles ! » auquel s'est récemment ajouté « La station cinq étoiles ». Bénodet fait désormais partie de la « Riviera bretonne », nouvelle appellation touristique réunissant, outre Bénodet, Fouesnant et La Forêt-Fouesnant.

LA  BALADE  DE  NATHALIE  ET  JEAN  CHRISTOPHE  A  BENODET...

Bénodet à l'embouchure de l'Odet (à gauche) et Sainte Marine  (à droite).

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La rivière l'Odet...

L'Odet (Oded en breton) est un fleuve côtier breton long de 62,7 km qui prend sa source dans les montagnes Noires à Saint-Goazec, au lieu-dit Yeun-ar-Vouster, et aboutit dans l'Atlantique entre Sainte-Marine et Bénodet – en breton Ben" = « embouchure » et donc « embouchure de l'Odet »

L'Odet prend sa source à Saint-Goazec, sur le versant sud des montagnes Noires, à 175 mètres d'altitude, au pied du Menez an Duc, une colline dont la hauteur avoisine les 285 mètres. Il coule dans un premier temps vers le sud-ouest, et s'éloigne progressivement de la chaîne de collines qui l'a vu naître. Les Montagnes Noires sont en effet orientées selon un axe OSO-ENE. Son cours s'infléchit ensuite sensiblement vers l'ouest. Sur cette partie de son cours, il reçoit sur sa rive droite des ruisseaux de plus en plus longs descendant des hauteurs des montagnes Noires : le Guip (6,2 km), le Ster Pont Nevez (8,7 km), et enfin le Langelin (13,3 km). Arrivé à la hauteur du village de Tréouzon en Kerfeunteun, il décrit un grand coude et tourne de 90 degrés vers le sud. Arrivé 2 km à l'est du centre-ville de Quimper, il est rejoint par le Jet (28,5 km) important affluent qui lui apporte les eaux de la région d'Elliant et reprend son chemin en direction de l'ouest. Au cours de sa traversée de la ville de Quimper, il est rejoint par un autre important affluent : le Steïr (27,9 km). La confluence de l'Odet et du Steïr est à l'origine du nom de la ville (confluent se dit en breton Kemper). Dans la partie amont de son cours, il coule dans la haute-vallée de l'Odet. Son cours est marqué par la traversée des gorges du Stangala, lieu touristique également réputé par les kayakistes. Son régime de type torrentiel comme la plupart des cours d'eau bretons crée des inondations d'automne et d'hiver dont il semble que l'importance soit augmentée par l'imperméabilisation des sols due à l'urbanisation et à l'arasement des terrains de culture (destruction des talus depuis les années 1960).

Sa partie maritime va officiellement du pont du Palais (devant le palais de Justice) à la mer, mais la marée est sensible 2 km en amont près de la gare. Un port de commerce comportant 500 m de quais a été établi au Corniguel (à l'entrée de la baie de Kerogan) en aval de Quimper pour les petits cargos et les sabliers. L'estuaire, long de 20 km, s'élargit progressivement à la sortie de la ville pour prendre les dimensions d'un vaste lac intérieur quelques km en aval, et former la baie de Kerogan, bordée sur sa rive gauche par les tourbières de Kerogan et Stang Zuqui abrite entre autres l'escargot de Quimper et des droseras, ce qui provoqua des polémiques, les écologistes protestant contre les projets d'urbanisation dans cette zone, finalement protégée par un périmètre de protection et de valorisation (décision du conseil municipal de Quimper en date du ).

Une zone de protection du biotope, dénommée "Chemin de halage de l'Odet" a été créée par l'Arrêté préfectoral de protection de biotope en date du afin de protéger le cranson des estuaires (Colchearia aestuaria), plante protégée au niveau national. Cette zone de protection se trouve sur la rive droite de l'Odet, le long du chemin de halage entrer la place des Acadiens et le bois du Corniguel.

Les rives de l'Odet se resserrent considérablement par la suite et son cours devient tortueux. Il coule alors au fond d'une gorge boisée, le passage des Vire-Court (deux rochers s'appellent "Le saut de la Pucelle" et un autre "La chaise de l'Évêque"), qui lui a valu le surnom de plus belle rivière de France. Ce lieu est visible par la route au niveau de la cale de Rosulien, mais surtout par bateau. La "Pointe des Espagnols" est dénommée ainsi car des pirates espagnols vinrent un jour de Bénodet dans l'espoir de piller la ville de Quimper. Apercevant les arbres des deux rives, ils eurent l'impression que la rivière s'arrêtait à cet endroit et rebroussèrent chemin, mais s'approvisionnèrent à la "Fontaine des Espagnols". Le lit de l' Odet s'élargit à nouveau et ce dernier termine sa course entre la station balnéaire de Bénodet et le port de Sainte-Marine. Un peu en amont de son embouchure, le pont de Cornouaille l'enjambe, reliant le pays Bigouden au pays Fouesnantais . L'estuaire de l'Odet est une attraction touristique visitable en bateau. La rivière est une escale très prisée des plaisanciers français et anglais.

Le Corentin est une copie exacte des bateaux marchands qui sillonnaient l'Odet et les zones maritimes avoisinantes aux XVIIIe siècle et XIXe siècle.

Des naufrages se sont parfois produits dans l'Odet. Par exemple, le , le canot Adèle, qui se rendait de Quimper à Bénodet, chavira sous une forte rafale de vent et son pilote disparut, saisi par le froid. Une autre noyade survenue en 1896, celle de René Keribin, est à l'origine de la fontaine Keribin.

 

LA  BALADE  DE  NATHALIE  ET  JEAN  CHRISTOPHE  A  BENODET...

Quimper vers 1930, carte postale ancienne, départ des bâteaux vers Bénodet.

LA  BALADE  DE  NATHALIE  ET  JEAN  CHRISTOPHE  A  BENODET...

Cette partie de la vallée de l'Odet, aux rives boisées, soumise à l'influence de la marée et navigable, a attiré depuis des siècles de nombreuses familles aristocratiques, puis aux XIXe siècle et XXe siècle des industriels et des artistes, qui se sont fait construire des manoirs ou des gentilhommières et grandes villas avec vue imprenable sur l'Odet, suscitant la création d'une véritable riviera. Leurs habitants, aisés, sont parfois dénommés du sobriquet un tantinet moqueur : "Ceux de la rivière".

Parmi ces propriétés :

  • le château de Lanniron, juste en aval de Quimper, ancienne résidence d'été des Évêques de Cornouaille, avec son jardin à la française et son orangerie. Ses propriétaires actuels (la famille du comte de Massol) y ont installé un camping "4 étoiles", un golf 9 trous, un restaurant "Le potager de Lanniron".

  • le manoir de Rossulien, qui date du XVIIIe siècle, est entouré de palmiers royaux. Ce manoir cacha des députés girondins pendant la Terreur.

  • le château de Toulven (en Quimper) date du XIXe siècle et est de style néogothique ; certaines de ses salles peuvent être louées pour des mariages ou autres évènements festifs.

  • le manoir de Penanros (en Plomelin)

  • le château de Kerdour (en Plomelin) date pour partie du milieu du XIXe siècle et pour le reste de l'extrême fin du XIXe siècle et du tout début du XXe siècle; son style est très éclectique.

  • le château de Kerouzien (en Plomelin) dont le parc est classé par les Monuments historiques (Référence base Mérimée : IA29000340). Des salles du château sont louées pour des mariages ou autres évènements festifs.

  • Le manoir de Kerbernez (en Plomelin), désormais lycée horticole.

  • le château du Pérennou, en Plomelin, (qui appartient à la famille du navigateur Bertrand de Broc), qui date du XIXe siècle, domine la vallée de l'Odet, et son parc des cinq continents qui fut aménagé par Félix du Marhallac'h et est dénommé ainsi à cause des espèces de plantes qui s'y trouvent dont des séquoias parmi les plus hauts de Bretagne, des magnolias et un gingko biloba. Le jardin fut dessiné dans la décennie 1840 par Denis Bülher, grand créateur de parcs en France au XIXe siècle. Le château, de style classique à l'origine, fut profondément transformé entre 1893 et 1899 en château de style néogothique. Un monument mégalithique (trois dolmens) et des vestiges de bains romains datant du Ier siècle apr. J.-C. se trouvent sur le domaine, ainsi qu'une glacière datant du XVIIIe siècle. En 2008, le Conseil général du Finistère a acheté deux ha situés en contrebas du château du Pérennou incluant les vestiges des thermes romains, qui firent l'objet de fouilles en 1833, puis en 1889 et à nouveau en 2012. Une partie du contenu de ces fouilles (dot des mosaïques) se trouve au Musée départemental breton de Quimper.

  • « Long de 16 m et large de 7 m, le balneum se divisait en six pièces : un vestibule, le fomix (chaufferie), le caldarium (salle chaude), le tepidarium (salle froide) et l' apodyterium (vestiaire et salle des onguents). Les fondations et le reste de l' hypocauste (système de chauffage par en dessous utilisé par les Romains) qui sont encore visibles ont été restaurés. Les salles froides et chaudes étaient décorées de pavements de marbres de quinze origines différentes et de couleurs variées ainsi que de peintures murales. (...) Une photo aérienne du site a par ailleurs permis de retrouver les traces d'un chemin menant à une villa romaine située à 450 mètres au-dessus, une « villa à portique en "U" ». »

  • le château de Keraval (date en partie des XVIe siècle, construit initialement par Guillaume Moreau, et XVIIe siècle). Il a été remanié au XIXe siècle et possède désormais des parties de style néogothique. Il est situé dans la commune de Plomelin.

  • le manoir de Lestremeur (en Plomelin).

  • le manoir de Bodivit (en Plomelin)

  • le château de Penfrat (en Gouesnach) date principalement de la 2e moitié du XIXe siècle (1859) (mais des agrandissements successifs datent de 1895 (aile gauche) et 1936 (aile droite); il est de style néo-Louis XIII ; il fut initialement construit comme relais de chasse pour la famille de Cambourg par Joseph Bigot.

  • le château de Boutiguéry (en Gouesnach) domine les "Vire-courts" de l'Odet ; son parc à l'anglaise de plus de 20 ha possède plus de 30 000 rhododendrons et azalées à la floraison printanière spectaculaire. Sa visite est autorisée pendant le printemps.

  • le château de Lanhuron (en Gouesnach) dont le parc est classé par les Monuments historiques (Référence base Mérimée : IA29000345)

  • le château de Kergoz (date du XVIe siècle)

  • le château néogothique de Kerambleiz (transformé en hôtel)

  • le Manoir de Keribinik, appelé aussi le Château rose (en raison la couleur de ses murs), à Sainte-Marine, date du XIXe siècle. Émile Zola et son épouse y séjournèrent en 1883.

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Le pont de Cornouaille reliant Bénodet à Fouesnant et Concarneau.

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Quelques vues sur Sainte Marine, sur l'autre rive...

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Le phare de Bénodet ou feu de la Pyramide est situé en rive gauche de l'Odet sur la commune de Bénodet.

La tour du feu d'une hauteur de 39 mètres, peinte en blanc, constitue l'élément amont de deux alignements :

  • l'un avec le phare de Sainte-Marine / Combrit en rive droite,

  • l'autre avec le feu du Coq sur la rive gauche.

Une maison de gardien se trouve de l'autre côté de la route.

Le nom du phare provient d'une pyramide de pierres, utilisée en alignement avec un rocher en forme de coq, qui servait à signaler l'embouchure de l'Odet2.

Le , le premier phare de la Pyramide est achevé et allumé. Il s'agit d'une tourelle qui mesure alors 9 m de haut et occupe l'espace circulaire se trouvant au bout de la première allée menant au feu actuel.

En 1887, une amélioration du balisage d'entrée dans l'Odet avec alignement est décidée sous la direction de l'ingénieur en chef Louis Plantier. Le phare de Combrit est construit, et le phare de la Pyramide est déplacé et surélevé à 38 mètres afin de servir à deux alignements à la fois. Il est réalisé en leucogranite breton, roche facilement façonnable. Il est achevé et allumé le .

Le , le phare est décapité à mi-hauteur par les Allemands. Il sera reconstruit à l'identique et rallumé en 1950, avec un feu à occultation toutes les 12 secondes.

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Le phare du Coq à Bénodet.

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Maison phare de la pointe de Combrit à Sainte Marine.

Le phare de Sainte-Marine se trouve sur la pointe de Combrit dans le Finistère, à côté du fort, près du petit port de Sainte-Marine, rue des Glénan.

Située à l’embouchure du fleuve Odet, la commune de Combrit se situe à côté de Sainte-Marine, juste en face du port de Bénodet. Elle possède un phare, appelé le feu de Combrit, sur le côté droit de l’Odet.

La construction du phare remonte à 1885 : un feu fixe blanc, sur une tour carrée en pignon du corps de logis de 13,20 m de hauteur, réalisé par un entrepreneur de Pont-l'Abbé, César Maubrat. Le phare fut électrifié en 1943, puis endommagé le par les troupes allemandes.

Il matérialise, avec le feu du phare de Bénodet, un alignement au nord qui permet d'arriver sur rade devant ce dernier port.

Le phare est constitué d’une tour carrée surmontée d’une lanterne rouge en métal et accolée à la maison du gardien. Le mur sud est percé de quatre fenêtres disposées verticalement. La maison est appareillée dans le même matériau que le phare et sa toiture est doublée de zinc.

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Villa KerMadalen ou Magdalena : communément appelée « Le Minaret », elle est construite entre 1926 et 1928 par Albert Laprade et son assistant Léon Bazin pour Maurice Heitz-Boyer. L’architecte et le commanditaire ont tous-deux séjourné au Maroc ; Laprade en tant qu'architecte et urbaniste, Heitz-Boyer comme médecin de Thami El Glaoui, pacha de Marrakech. Cette expérience commune du mode de vie marocain est certainement à l'origine de cette villa. Située à l'embouchure de l'Odet, elle présente en effet une synthèse de style andalous-marocain et moderne, introduisant à la fois des modèles d'architecture paquebot employés par les architectes parisiens comme Pierre Patout, mais aussi des éléments caractéristiques du riad marocain. Pour sa construction, on fait appel à des ouvriers italiens dont certains s'installent par la suite à Bénodet. Pour sa part, le Glaoui contribue au chantier en envoyant une dizaine d'ouvriers mosaïstes marocains afin d'orner l'intérieur de la maison de zelliges. Il en résulte une architecture moderne décorée à l'orientale, dotée de tout le confort dont peut jouir une villa balnéaire aussi luxueuse à cette époque : hammam et sauna en sous-sol, solarium sur le toit, accès direct en sous-sol vers le garage à bateau de la plage du Coq, etc. La villa prend place au milieu d'un jardin architecturé, inspiré des riad marocains. Il est totalement architecturé, conçu pour être traversé en empruntant des allées pavées de galets polychromes, bordées de parterres plantés en damiers enserrés de pièces de verdure, ouvrant des vues sur le rivages, menant à des fontaines et une piscine. Le lien entre l'architecture, son environnement végétal et minéral et le paysage est particulièrement étroit. Très vite, la tour de l'édifice offrant une vue sur l'estuaire, qui peut rappeler la cheminée d'un paquebot, donne pourtant à la villa son surnom de « Minaret ». L'histoire de sa construction et son propriétaire, très liés au Maroc, explique davantage ce nom d'usage. Maurice Heitz-Boyer y reçoit notamment le maréchal Hubet Lyautey et bien-sûr le Glaoui. En 1951, la villa est vendue et devient l'hôtel restaurant « Le Minaret ». En 1983, le bâtiment est surélevé d'un étage pour pouvoir accueillir davantage de touristes. Depuis quelques années, le Minaret est redevenu une villa privée, entièrement rénovée, en grande partie selon les plans et les décors d'origine. Seule la terrasse dominant la corniche et aménagée en 1983 pour en faire un bar-restaurant, « L'Alhambra », conserve son activité commerciale et offre à ses clients l'une des plus belles vues que l'on puisse trouver à Bénodet dans un établissement de ce type.

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commentaires

G
J'aime la façon dont vous écrivez et capturez vos propres expériences.
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Vous avez vécu une expérience formidable. Merci de l'avoir partagé.
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Les photos de ton parcours sont très nettes et très belles. Cependant, j'ai quelques suggestions pour vous. Vous devez écrire plus clairement sur l'espacement, la taille de la police et les paragraphes pour couper la ligne, car lorsque je lis votre article, il est très difficile à lire et confus.
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